Décryptage de connivence [ft. Sakura] - 06.06.24 22:39
message.
en provenance du passé
C'est sous henge que Minato approcha un des hôpitaux ouvert par une certaine kunoichi du pays du feu. Son choix, loin d'être fait par hasard après toutes ces années, c'était porté suffisamment loin de Konoha pour ne pas attirer l'attention tout en se mêlant à une population dense pour ne pas amener de suspicion sur ses déplacements. Décidé et loin d'être sans ressources, il avait donc choisis cet hôpital et s'était présenté à l'accueil pour laisser un message au shinobi mêlé aux civils.
C'était après tout un hôpital capable de traiter des ninjas, savoir repérer les plus a même de te soigner était vital.
Il avait donc délivré son message en utilisant des signes de mains distincts de la communication non verbale entre shinobis du pays du feu avant de repartir. Il savait que le parchemin serait au minimum scanné pour vérifié qu'il n'était pas piégé et au "pire" lu. Ce qui expliquait pourquoi il l'avait crypté. Un moyen autant de tester cette jeune kunoichi que de ne pas juste dévoiler ses plans à tout le monde.
L'homme dont il avait pris l'apparence disparu dans la forêt alentour sans un bruit et ce n'est que quelques jours plus tard qu'il réapparu non loin. Il n'attendait pas de réponse mais avait donné une date si elle souhaitait donner suite à sa proposition. Après avoir été vu discuter avec des marchands, il s'enfonça dans un passage entre deux rues et disparu sans un bruit à l'aide du Hiraishin. Il réapparu plusieurs kilomètres plus loin dans la forêt, en haut d'un relief montagneux et plus particulièrement sur un tori où il avait dissimulé un de ses kunais.
À l'endroit où il avait donné rendez vous à la kunoichi, près d'un ancien temple, désormais laissé à l'abandon mais toujours majestueux. Il regarda vers le bas avant de sauter.
- Haruno Sakura-san. engagea l'ancien hokage avec une attitude ouverte et amicale.
Il n'était ni un ennemi ni une menace pour elle, et malgré son statut de nukenin, il espérait qu'elle se souvenait. Il continua donc de l'observer attentivement mais discrètement.
- Un visage et une réputation qui te précèdes je dois l'avouer.
Elle se faisait un nom autant que Tsunade à son époque. Et pour Minato cela prouvait une chose : la nouvelle génération n'avait rien à envier aux anciennes, peu importe jusqu'à quand on remontait dans le passé.
C'était après tout un hôpital capable de traiter des ninjas, savoir repérer les plus a même de te soigner était vital.
Il avait donc délivré son message en utilisant des signes de mains distincts de la communication non verbale entre shinobis du pays du feu avant de repartir. Il savait que le parchemin serait au minimum scanné pour vérifié qu'il n'était pas piégé et au "pire" lu. Ce qui expliquait pourquoi il l'avait crypté. Un moyen autant de tester cette jeune kunoichi que de ne pas juste dévoiler ses plans à tout le monde.
L'homme dont il avait pris l'apparence disparu dans la forêt alentour sans un bruit et ce n'est que quelques jours plus tard qu'il réapparu non loin. Il n'attendait pas de réponse mais avait donné une date si elle souhaitait donner suite à sa proposition. Après avoir été vu discuter avec des marchands, il s'enfonça dans un passage entre deux rues et disparu sans un bruit à l'aide du Hiraishin. Il réapparu plusieurs kilomètres plus loin dans la forêt, en haut d'un relief montagneux et plus particulièrement sur un tori où il avait dissimulé un de ses kunais.
À l'endroit où il avait donné rendez vous à la kunoichi, près d'un ancien temple, désormais laissé à l'abandon mais toujours majestueux. Il regarda vers le bas avant de sauter.
- Haruno Sakura-san. engagea l'ancien hokage avec une attitude ouverte et amicale.
Il n'était ni un ennemi ni une menace pour elle, et malgré son statut de nukenin, il espérait qu'elle se souvenait. Il continua donc de l'observer attentivement mais discrètement.
- Un visage et une réputation qui te précèdes je dois l'avouer.
Elle se faisait un nom autant que Tsunade à son époque. Et pour Minato cela prouvait une chose : la nouvelle génération n'avait rien à envier aux anciennes, peu importe jusqu'à quand on remontait dans le passé.
Code by Midnight Shadow
Re: Décryptage de connivence [ft. Sakura] - 15.06.24 20:52
sakura menait la direction de plusieurs hôpitaux. les principaux du pays du feu se trouvaient être ceux de konoha et tanzakugakure, puisqu’ils étaient les plus fournis en ressources. souvent, sakura faisait des aller-retours entre les deux villages pour s’assurer qu’ils ne soient pas en reste. ils représentaient la force de leur pays. cette force était à l’attention toute particulière de leur nouvelle daimyo qui tenait la rose à l’œil. haruno sakura, cette ancienne kunoichi de la team 7, était certainement complice du terroriste international uchiha et de ce destitué renégat uzumaki. les deux avaient entaché sa réputation, en un certain sens, mais la rose ne le percevait pas ainsi. elle portait sasuke et naruto dans son cœur comme ses frères qu’elle n’abandonnerait jamais. c’était d’ailleurs ce qui l’avait motivée à rejoindre la racine. en apprenant que le frère de danzô allait reprendre le groupe, et parce qu’elle s’était mise en tête de les retrouver, elle avait fait le choix de rejoindre cette organisation. plus particulièrement, l’équipe de celui au masque d’oiseau qu’on nommait washi.
sakura se levait généralement tôt le matin. elle arrivait avant les premiers médecins. cela lui permettait de vérifier les courriers importants avant de reprendre les dossiers les plus compliqués ou venir en aide à ceux qui avaient besoin de ses précieuses décisions. à l’aube, alors qu’elle tenait une tasse de thé encore fumante, elle ne s’attendait pas à recevoir un rouleau à déchiffrer. que cela pouvait-il bien être ? qui m’enverrait un rouleau de la sorte ? un hôpital hors du pays du feu qui aurait un souci ? mmh… sakura se laissait avoir par ces quelques pensées avant de parvenir à déchiffrer le parchemin. soudain, ses yeux s’écarquillèrent. elle bondit au point qu’elle se renversa du thé dessus et grimaça de sa propre maladresse. oh, vraiment, quelle idiote je fais ! pesta-t-elle après elle-même avant de rétablir sa faute en se changeant et accourant vers un lieu plus sûr, à l’abri des regards. elle apposa délicatement sa main à hauteur de ses lèvres et nez, encore choquée de comprendre qui s’adressait à elle. s’il s’agissait vraiment de la personne qui lui avait adressé cette missive, alors il y avait un réel espoir pour ce monde déchu ! sakura referma le bout de papier à l’intérieur de sa paume et ferma très fort les yeux en pleurant, tout sourire.
munie d’un simple capuchon beige sur la tête et de sa cape flottant au vent, sakura fila entre les arbres à la recherche du lieu-dit. elle ne tarda pas à gravir les marches qui la menèrent bientôt jusqu’au temple. une simple corde lui permit de ne pas crouler tant les escaliers se dessinaient sur le pente de la montagne. le froid se faisait remarquer, mais les températures restaient bonnes à l’horizon de l’été. la montagne sur laquelle il l’attendait était d’une beauté magnifique. les feuilles vertes étaient taillées de plusieurs manières, car les arbres différaient. sakura effleura les fleurs sur son chemin avant de s’arrêter à la dernière marche. elle porta sa main à son cœur qui tambourinait dans sa poitrine et baissa lentement la tête. en rouvrant les yeux, elle se décida enfin d’approcher, c’est là qu’elle entendit cette voix familière.
namikaze minato se tenait devant elle.
sakura se dérobait sur ses jambes.
elle avait les phalanges à ses lèvres, les yeux pétillants, et son pied détala vers lui. elle se jeta dans ses bras. en le faisant, elle se sentit prise d’un grand soulagement. il y avait quelqu’un, dans ce monde, qui était là pour naruto. il y avait son père. l’une des personnes qui comptait le plus aux yeux du petit blond entêté. sakura avait enserré ses omoplates et roulait sa tête contre son torse frénétiquement.
— s’il vous plaît, minato-san, dites-moi qu’il va bien… implora-t-elle.
sakura se levait généralement tôt le matin. elle arrivait avant les premiers médecins. cela lui permettait de vérifier les courriers importants avant de reprendre les dossiers les plus compliqués ou venir en aide à ceux qui avaient besoin de ses précieuses décisions. à l’aube, alors qu’elle tenait une tasse de thé encore fumante, elle ne s’attendait pas à recevoir un rouleau à déchiffrer. que cela pouvait-il bien être ? qui m’enverrait un rouleau de la sorte ? un hôpital hors du pays du feu qui aurait un souci ? mmh… sakura se laissait avoir par ces quelques pensées avant de parvenir à déchiffrer le parchemin. soudain, ses yeux s’écarquillèrent. elle bondit au point qu’elle se renversa du thé dessus et grimaça de sa propre maladresse. oh, vraiment, quelle idiote je fais ! pesta-t-elle après elle-même avant de rétablir sa faute en se changeant et accourant vers un lieu plus sûr, à l’abri des regards. elle apposa délicatement sa main à hauteur de ses lèvres et nez, encore choquée de comprendre qui s’adressait à elle. s’il s’agissait vraiment de la personne qui lui avait adressé cette missive, alors il y avait un réel espoir pour ce monde déchu ! sakura referma le bout de papier à l’intérieur de sa paume et ferma très fort les yeux en pleurant, tout sourire.
munie d’un simple capuchon beige sur la tête et de sa cape flottant au vent, sakura fila entre les arbres à la recherche du lieu-dit. elle ne tarda pas à gravir les marches qui la menèrent bientôt jusqu’au temple. une simple corde lui permit de ne pas crouler tant les escaliers se dessinaient sur le pente de la montagne. le froid se faisait remarquer, mais les températures restaient bonnes à l’horizon de l’été. la montagne sur laquelle il l’attendait était d’une beauté magnifique. les feuilles vertes étaient taillées de plusieurs manières, car les arbres différaient. sakura effleura les fleurs sur son chemin avant de s’arrêter à la dernière marche. elle porta sa main à son cœur qui tambourinait dans sa poitrine et baissa lentement la tête. en rouvrant les yeux, elle se décida enfin d’approcher, c’est là qu’elle entendit cette voix familière.
namikaze minato se tenait devant elle.
sakura se dérobait sur ses jambes.
elle avait les phalanges à ses lèvres, les yeux pétillants, et son pied détala vers lui. elle se jeta dans ses bras. en le faisant, elle se sentit prise d’un grand soulagement. il y avait quelqu’un, dans ce monde, qui était là pour naruto. il y avait son père. l’une des personnes qui comptait le plus aux yeux du petit blond entêté. sakura avait enserré ses omoplates et roulait sa tête contre son torse frénétiquement.
— s’il vous plaît, minato-san, dites-moi qu’il va bien… implora-t-elle.