The memory of a familiar glow - 23.07.23 19:49
Sasuke les avaient vus, ces yeux bleus céruléens s’élevés à la lune rouge. Naruto les avaient écarquillés tel qu’un enfant ébloui par la beauté du monde. Sasuke frappa d’un coup son poing à l’écorce de l’arbre qui s’effrita aussitôt. Ses dents agrippèrent sa lèvre inférieure. Il était fâché. Fâché de n’avoir rien fait. Naruto, qui se trouvait endormit, devait sans doute être protégé de quelques shinobis de Konoha. Sasuke se sentait impuissant. Pendant qu’il s’affalait à cause d’une soudaine fatigue contre l’érable, Naruto se berçait de fausses illusions en tout instant. Les souvenirs d’enfance se mêlèrent aux images sanglantes, parce qu’il ne l’avait pas protégé, lui aussi ; le clan Uchiha.
Ses omoplates s’affaissèrent, si bien qu’au contact de l’écorce rêche, il abîma sa tunique. Il ramena avec flegme un genou vers son torse. Il préférait conserver son autre jambe étendue à l’herbe. L’eau du ruisseau lui semblait belle, avant qu’il n’eût en mémoire celui qui s’écoulait en leur jardin. Cette fameuse nuit-là, l’eau donnait sur autant d’effluves sanguines que de cadavres. Tout lui devenait insupportable. Il devait être mentalement épuisé. Obito l’avait averti, alors qu’il lui demandait comment il allait bien pouvoir déceler les lignes entre les illusions et la réalité de l’Infinite Tsukuyomi. Obito avait assuré que le prix à payer pouvait être très lourd sur son esprit, et que s’il cherchait des réponses, il pourrait mettre en danger ses objectifs et sa stabilité. Rappelle-toi que ta détermination ne doit pas te faire perdre le contrôle de toi-même, avait-il précisé.
Ziiip
Sasuke ferma ses yeux et bascula son nez à l’intérieur de son col désormais fermé. Il prendrait le temps nécessaire à se préparer mentalement et physiquement. Les règles de ce monde n’étaient plus les mêmes, Obito ne manquait pas une occasion de les lui rappeler. D’ailleurs, être proche de lui était un sacré avantage dont Sasuke voulait tirer profit. Il comprenait que chaque shinobi possédait désormais un état mental vulnérable, malgré tout moindre que ces rêveurs piégés dans leur monde idéal. Il s’imagina Naruto rêvant d’une fraternité sans aversion avec le Uchiha. Cette pensée fit un peu sourire Sasuke.
Si j’étais à sa place, à quoi ressemblerait-il, mon monde idéal ? se questionna t-il.
Son monde idéal serait une réalité de ses rêves les plus profonds et ses désirs les plus intimes. Il s’imaginait avoir atteint son plein potentiel, respecté et admiré par ses pairs. Il serait alors capable d’assurer la protection et le bonheur des personnes qui lui sont chères, sans a subir les conséquences de décisions sombres et conflictuelles. Il aurait sa liberté et son indépendance, sans être influencé par les attentes des autres. Tout ça dans un monde de paix durable, sans guerre ni souffrance, où les shinobis coopèrent plutôt que ne se battent. Il aurait réussit à venger son clan sans sacrifier le lien avec ses amis et sa loyauté envers Konoha. Mais ce n’était pas tout… Dans son mon idéal, Sasuke se serait réconcilier avec Itachi, comprenant pleinement les raisons de ses actions et obtenant son pardon. Sasuke vivrait à Konoha une vie prospère, paisible et sans conflit où toute sa famille serait réunie et en vie.
Soudainement, Sasuke se sentit enveloppé d’une étreinte chaleureuse et douce qui l’arracha de ses pensées idylliques. Ses épaules, ses bras et son dos furent entourés de bras aimants qui le serrèrent délicatement. La sensation de contact le surprit, mais il ressentit immédiatement une vague de confort et de sécurité. Il éleva alors, le bout de son nez hors de son col tandis que ses lèvres s’entr’ouvrirent d’une incompréhension profonde. Sa pupille à son œil en amande se déposa las sur celle qu’il n’aurait jamais deviné revoir un jour. Sasuke se pétrifia au contact de cet enlacement doux et réconfortant qui créait un sentiment d’intimité et de proximité entre eux. Il sentait son cœur battre doucement contre son torse, lui transmettant une émotion sincère et un lien fort. Lui se sentait presque aller à cette étreinte, mais il décida de ne pas baisser sa garde. Ce moment de vulnérabilité le conduisait à laisser ses émotions s’exprimer librement, ce qu’il refusa strictement de faire. Alors, plutôt que de permettre à ses yeux d’écouler larmes, il endurcit les traits de son visage, plissant les yeux par méfiance. Quelqu’un cherchait à raviver ses cicatrices émotionnelles par une simple étreinte avec elle, lui rappelant des moments où sa confiance eût été brisée.
Pourquoi ces fantômes du passé continuent-ils encore à me hanter ?
Et puis… Il n’y avait pas d’esprits, ce n’était pas vrai ! Il se l’était juré maintes et mainte fois depuis très jeune, alors qu’il venait se recueillir pour prier devant les portes du clan. Dans ce cas… pouvait-il y croire, cette fois ? Son cerveau était engourdi, et ses pensées s’échappaient comme de la fumée. Il se sentait incapable de la repousser. Sans encore avoir vu son visage, il détourna capricieusement le sien. cette situation lui rappelait ce moment privilégié qu’il avait pu avoir avec son frère, à la planque d’Obito, ces derniers jours. Quelque part, Sasuke appréhendait ces retrouvailles. Il appréhendait le regard de cette mère aimante et dévouée qui eût autrefois, un impact significatif dans sa vie. Parce qu’aujourd’hui, son fils avait radicalement changé. Il se contenta de maintenir un regard dans le vide, les traits de son visage toujours froncé. Soudainement, il s’imaginait que son père ne devait pas être bien loin, lui aussi. Sasuke se rendit compte qu’il commençait à divaguer. Il releva la tête de son col, fixa durement la longue chevelure noir de jaie qui déferlait sur le dos de sa mère.
Son visage se recroquevilla entre ses épaules, tandis que son nez se dissimula de nouveau à son col. Ses yeux fermés luttaient pour retenir ses larmes avec force et détermination.
Ses omoplates s’affaissèrent, si bien qu’au contact de l’écorce rêche, il abîma sa tunique. Il ramena avec flegme un genou vers son torse. Il préférait conserver son autre jambe étendue à l’herbe. L’eau du ruisseau lui semblait belle, avant qu’il n’eût en mémoire celui qui s’écoulait en leur jardin. Cette fameuse nuit-là, l’eau donnait sur autant d’effluves sanguines que de cadavres. Tout lui devenait insupportable. Il devait être mentalement épuisé. Obito l’avait averti, alors qu’il lui demandait comment il allait bien pouvoir déceler les lignes entre les illusions et la réalité de l’Infinite Tsukuyomi. Obito avait assuré que le prix à payer pouvait être très lourd sur son esprit, et que s’il cherchait des réponses, il pourrait mettre en danger ses objectifs et sa stabilité. Rappelle-toi que ta détermination ne doit pas te faire perdre le contrôle de toi-même, avait-il précisé.
Ziiip
Sasuke ferma ses yeux et bascula son nez à l’intérieur de son col désormais fermé. Il prendrait le temps nécessaire à se préparer mentalement et physiquement. Les règles de ce monde n’étaient plus les mêmes, Obito ne manquait pas une occasion de les lui rappeler. D’ailleurs, être proche de lui était un sacré avantage dont Sasuke voulait tirer profit. Il comprenait que chaque shinobi possédait désormais un état mental vulnérable, malgré tout moindre que ces rêveurs piégés dans leur monde idéal. Il s’imagina Naruto rêvant d’une fraternité sans aversion avec le Uchiha. Cette pensée fit un peu sourire Sasuke.
Si j’étais à sa place, à quoi ressemblerait-il, mon monde idéal ? se questionna t-il.
Son monde idéal serait une réalité de ses rêves les plus profonds et ses désirs les plus intimes. Il s’imaginait avoir atteint son plein potentiel, respecté et admiré par ses pairs. Il serait alors capable d’assurer la protection et le bonheur des personnes qui lui sont chères, sans a subir les conséquences de décisions sombres et conflictuelles. Il aurait sa liberté et son indépendance, sans être influencé par les attentes des autres. Tout ça dans un monde de paix durable, sans guerre ni souffrance, où les shinobis coopèrent plutôt que ne se battent. Il aurait réussit à venger son clan sans sacrifier le lien avec ses amis et sa loyauté envers Konoha. Mais ce n’était pas tout… Dans son mon idéal, Sasuke se serait réconcilier avec Itachi, comprenant pleinement les raisons de ses actions et obtenant son pardon. Sasuke vivrait à Konoha une vie prospère, paisible et sans conflit où toute sa famille serait réunie et en vie.
Soudainement, Sasuke se sentit enveloppé d’une étreinte chaleureuse et douce qui l’arracha de ses pensées idylliques. Ses épaules, ses bras et son dos furent entourés de bras aimants qui le serrèrent délicatement. La sensation de contact le surprit, mais il ressentit immédiatement une vague de confort et de sécurité. Il éleva alors, le bout de son nez hors de son col tandis que ses lèvres s’entr’ouvrirent d’une incompréhension profonde. Sa pupille à son œil en amande se déposa las sur celle qu’il n’aurait jamais deviné revoir un jour. Sasuke se pétrifia au contact de cet enlacement doux et réconfortant qui créait un sentiment d’intimité et de proximité entre eux. Il sentait son cœur battre doucement contre son torse, lui transmettant une émotion sincère et un lien fort. Lui se sentait presque aller à cette étreinte, mais il décida de ne pas baisser sa garde. Ce moment de vulnérabilité le conduisait à laisser ses émotions s’exprimer librement, ce qu’il refusa strictement de faire. Alors, plutôt que de permettre à ses yeux d’écouler larmes, il endurcit les traits de son visage, plissant les yeux par méfiance. Quelqu’un cherchait à raviver ses cicatrices émotionnelles par une simple étreinte avec elle, lui rappelant des moments où sa confiance eût été brisée.
Pourquoi ces fantômes du passé continuent-ils encore à me hanter ?
Et puis… Il n’y avait pas d’esprits, ce n’était pas vrai ! Il se l’était juré maintes et mainte fois depuis très jeune, alors qu’il venait se recueillir pour prier devant les portes du clan. Dans ce cas… pouvait-il y croire, cette fois ? Son cerveau était engourdi, et ses pensées s’échappaient comme de la fumée. Il se sentait incapable de la repousser. Sans encore avoir vu son visage, il détourna capricieusement le sien. cette situation lui rappelait ce moment privilégié qu’il avait pu avoir avec son frère, à la planque d’Obito, ces derniers jours. Quelque part, Sasuke appréhendait ces retrouvailles. Il appréhendait le regard de cette mère aimante et dévouée qui eût autrefois, un impact significatif dans sa vie. Parce qu’aujourd’hui, son fils avait radicalement changé. Il se contenta de maintenir un regard dans le vide, les traits de son visage toujours froncé. Soudainement, il s’imaginait que son père ne devait pas être bien loin, lui aussi. Sasuke se rendit compte qu’il commençait à divaguer. Il releva la tête de son col, fixa durement la longue chevelure noir de jaie qui déferlait sur le dos de sa mère.
- — Pourquoi me poursuivez-vous ? questionna t-il froid. Il se laissa à agiter frénétiquement la tête, désemparé. pffh !
Son visage se recroquevilla entre ses épaules, tandis que son nez se dissimula de nouveau à son col. Ses yeux fermés luttaient pour retenir ses larmes avec force et détermination.
- — Pourquoi me poursuivez-vous !? AEH !?!
Re: The memory of a familiar glow - 28.07.23 21:17
Pv Sasuke Uchiha
THE MEMORY OF A FAMILIAR GLOW



Mikoto était ici à Konoha, depuis sa mort elle n’était plus qu’une simple illusion. Elle était un peu comme une mort vivante, à qui on tirait les ficelles depuis en haut. Tout là-haut se trouvait son marionnettiste. C’était ce qu’elle se disait lorsqu’elle regardait le ciel alors qu’elle marchait. Elle ne pouvait pas sortir de cette illusion. Elle n’était qu’une illusion ? Comment devait-elle se considérer maintenant qu’elle vivait dans ce monde ?
Dans cette bulle étrange qui l’entourait. Combien d’années c’étaient écroulées depuis sa mort par les mains de son fils pour empêcher le massacre du clan ? Elle avait les mains qui tremblaient à cette pensée. Elle ne savait pas trop comment interagir avec les personnes de son entourage qu’elle croisait, elle faisait comme si de rien n’était ? Comme si elle n’était qu’un souvenir. C’était ce qu’elle était pour eux désormais et vivre une existence comme celle-ci lui donnait une chance d’aider ses enfants à aller mieux. Si elle arrivait à enfin mettre la main dessus, à les retrouver. Les retrouver et les aider à avancer pour aller mieux, tel était son objectif.
Elle ne pourrait surement jamais revenir à la réalité, et même si l’occasion lui était présentée, elle refuserait pour préserver l’équilibre des choses. Elle avait accepté son destin, il y avait bien longtemps maintenant. On ne lui avait jamais vraiment laisser le choix, mais elle faisait son rôle de mère jusqu’au bout des choses. Elle n’avait jamais pu reculer ou faire un pas en arrière. En marchant, elle remarquait une ombre. Une ombre qui portait le symbole du clan Uchiha dans son dos. Cette ombre était celle de son fils Sasuke ! Elle en était certaine ! C’était lui, aucun doute là-dessus ! Elle le reconnaissait, mais son fils se souviendrait-il d’elle après tant d’années ? Elle le suivait, encore et encore, elle l’observait de loin. Elle marchait , encore et toujours, elle surveillait tout. Ses moindres faits, ses moindres gestes pour essayer de comprendre ce qu’elle avait raté.
Son rôle de mère n’avait jamais été facile, ni même celui de femme du chef de clan. Elle avait toujours accepté sans rechigné et sans jamais se plaindre ce destin. C’était sa vie. Elle était très réaliste et terre à terre sur les attentes autour d’elle. En observant son fils, elle se rendait compte que ce dernier avait probablement changé. Il n’était forcément plus le même petit Sasuke doux et gentil qui voulait faire plaisir à sa famille et à son frère. Elle se rapprochait soudainement de lui. Pour lui, elle n’était qu’une illusion, un souvenir.
« Sasuke ? Mon enfant ? Tu ne te souviens pas de moi ? » faisait la Jônin alors qu’elle souriait d’une façon bienveillante, et confiante.
« Comment est-ce que tu vas ? ça fait longtemps dis-moi ! » terminait-elle alors qu’elle enlaçait ce fils perdu et retrouvé.
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Dans cette bulle étrange qui l’entourait. Combien d’années c’étaient écroulées depuis sa mort par les mains de son fils pour empêcher le massacre du clan ? Elle avait les mains qui tremblaient à cette pensée. Elle ne savait pas trop comment interagir avec les personnes de son entourage qu’elle croisait, elle faisait comme si de rien n’était ? Comme si elle n’était qu’un souvenir. C’était ce qu’elle était pour eux désormais et vivre une existence comme celle-ci lui donnait une chance d’aider ses enfants à aller mieux. Si elle arrivait à enfin mettre la main dessus, à les retrouver. Les retrouver et les aider à avancer pour aller mieux, tel était son objectif.
Elle ne pourrait surement jamais revenir à la réalité, et même si l’occasion lui était présentée, elle refuserait pour préserver l’équilibre des choses. Elle avait accepté son destin, il y avait bien longtemps maintenant. On ne lui avait jamais vraiment laisser le choix, mais elle faisait son rôle de mère jusqu’au bout des choses. Elle n’avait jamais pu reculer ou faire un pas en arrière. En marchant, elle remarquait une ombre. Une ombre qui portait le symbole du clan Uchiha dans son dos. Cette ombre était celle de son fils Sasuke ! Elle en était certaine ! C’était lui, aucun doute là-dessus ! Elle le reconnaissait, mais son fils se souviendrait-il d’elle après tant d’années ? Elle le suivait, encore et encore, elle l’observait de loin. Elle marchait , encore et toujours, elle surveillait tout. Ses moindres faits, ses moindres gestes pour essayer de comprendre ce qu’elle avait raté.
Son rôle de mère n’avait jamais été facile, ni même celui de femme du chef de clan. Elle avait toujours accepté sans rechigné et sans jamais se plaindre ce destin. C’était sa vie. Elle était très réaliste et terre à terre sur les attentes autour d’elle. En observant son fils, elle se rendait compte que ce dernier avait probablement changé. Il n’était forcément plus le même petit Sasuke doux et gentil qui voulait faire plaisir à sa famille et à son frère. Elle se rapprochait soudainement de lui. Pour lui, elle n’était qu’une illusion, un souvenir.
« Sasuke ? Mon enfant ? Tu ne te souviens pas de moi ? » faisait la Jônin alors qu’elle souriait d’une façon bienveillante, et confiante.
« Comment est-ce que tu vas ? ça fait longtemps dis-moi ! » terminait-elle alors qu’elle enlaçait ce fils perdu et retrouvé.
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J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Re: The memory of a familiar glow - 30.07.23 16:22
son prénom.
comment pourrais-je seulement t’oublier, maman ? c'est impossible... pensa-t-il, déchiré.
des larmes commencèrent à perler de ses yeux. incapable de gérer sa colère, ni sa frustration. il détourna aussitôt la tête, dissimulant son visage. à mesure qu’elle lui parlait de sa voix douce, il se murait à petit feu à l’intérieur de lui-même. son cœur était profondément ému par l'intérêt et l'inquiétude que sa mère manifestait à son égard, soucieuse de son bien-être. il se retrouva confronté à cette rare sensation de se sentir réconforté. encore, il tint ses yeux fermement clos, faisant preuve de détermination, se croyant à même de surmonter la situation.
il était pourtant bien incapable de se résoudre à lui parler ; les mots semblaient bloqués dans sa gorge, et il n'arrivait pas à exprimer tout ce qu'il ressentait. incapable d’y croire réellement aussi ; il n’était pas réceptif aux arcanes lunaires avec ses sharingan, du moins c’est ce qu’il croyait. incapable de savoir quelle réaction il devait avoir, car cela faisait tant d’années... tant d’années à marcher seul sur cette voie embrasée menée par l’obsession de faire honneur à cette famille et ce clan qu’il avait perdu. il ne s’imaginait pas les retrouver ici, sous les rayons de cette lune rouge attrayante et teintants le monde des shinobi d’illusions.
soudain, la partie haute de son corps ne le tenait plus.
il chuta sur les avants-bras, pris d’un vertige. sa tempe percuta l’herbe humide de la rosée et quelques fleurs contre lesquelles ses larmes se déposèrent. allongé sur l'herbe, sasuke gémit, serrant les dents pour tenter de calmer sa souffrance. chaque mouvement lui rappela sa chute brutale et il se sentit vulnérable et blessé. les pleurs s'intensifièrent alors qu’il se sentit submergé par une cascade d'émotions. chaque respiration était un effort douloureux comme chaque pensée brouillait son esprit. il y croyait. il y croyait fermement, et sa détresse n’était que plus grande.
sa vue, embuée par ses larmes, se levait péniblement pour elle.
il se sentait incapable de se relever ou même de s'approcher de sa mère pour la prendre dans ses bras. la douleur dans son cœur était si intense qu'elle semblait paralyser tout son être.
ses mains crispées sur l'herbe, il essayait désespérément de se redresser, mais chaque tentative se soldait par un nouvel échec. la détresse qu'il ressentait lui donnait l'impression d'être enchaîné au sol, incapable de se libérer de la souffrance qui le tenaillait.
de sa position à terre, il regardait sa mère avec un mélange de douleur et d'amour dans ses yeux. il aurait tellement souhaité être capable de la réconforter, de lui montrer qu'il allait bien malgré tout, mais ses forces étaient anéanties par les émotions débordantes.
sasuke ressentait une lourde culpabilité de ne pouvoir être le fils fort et protecteur qu'il souhaitait être pour sa mère. il était submergé par le poids de ses épreuves et des choix difficiles qu'il avait faits dans sa vie.
comment pourrais-je seulement t’oublier, maman ? c'est impossible... pensa-t-il, déchiré.
des larmes commencèrent à perler de ses yeux. incapable de gérer sa colère, ni sa frustration. il détourna aussitôt la tête, dissimulant son visage. à mesure qu’elle lui parlait de sa voix douce, il se murait à petit feu à l’intérieur de lui-même. son cœur était profondément ému par l'intérêt et l'inquiétude que sa mère manifestait à son égard, soucieuse de son bien-être. il se retrouva confronté à cette rare sensation de se sentir réconforté. encore, il tint ses yeux fermement clos, faisant preuve de détermination, se croyant à même de surmonter la situation.
il était pourtant bien incapable de se résoudre à lui parler ; les mots semblaient bloqués dans sa gorge, et il n'arrivait pas à exprimer tout ce qu'il ressentait. incapable d’y croire réellement aussi ; il n’était pas réceptif aux arcanes lunaires avec ses sharingan, du moins c’est ce qu’il croyait. incapable de savoir quelle réaction il devait avoir, car cela faisait tant d’années... tant d’années à marcher seul sur cette voie embrasée menée par l’obsession de faire honneur à cette famille et ce clan qu’il avait perdu. il ne s’imaginait pas les retrouver ici, sous les rayons de cette lune rouge attrayante et teintants le monde des shinobi d’illusions.
soudain, la partie haute de son corps ne le tenait plus.
il chuta sur les avants-bras, pris d’un vertige. sa tempe percuta l’herbe humide de la rosée et quelques fleurs contre lesquelles ses larmes se déposèrent. allongé sur l'herbe, sasuke gémit, serrant les dents pour tenter de calmer sa souffrance. chaque mouvement lui rappela sa chute brutale et il se sentit vulnérable et blessé. les pleurs s'intensifièrent alors qu’il se sentit submergé par une cascade d'émotions. chaque respiration était un effort douloureux comme chaque pensée brouillait son esprit. il y croyait. il y croyait fermement, et sa détresse n’était que plus grande.
sa vue, embuée par ses larmes, se levait péniblement pour elle.
il se sentait incapable de se relever ou même de s'approcher de sa mère pour la prendre dans ses bras. la douleur dans son cœur était si intense qu'elle semblait paralyser tout son être.
ses mains crispées sur l'herbe, il essayait désespérément de se redresser, mais chaque tentative se soldait par un nouvel échec. la détresse qu'il ressentait lui donnait l'impression d'être enchaîné au sol, incapable de se libérer de la souffrance qui le tenaillait.
de sa position à terre, il regardait sa mère avec un mélange de douleur et d'amour dans ses yeux. il aurait tellement souhaité être capable de la réconforter, de lui montrer qu'il allait bien malgré tout, mais ses forces étaient anéanties par les émotions débordantes.
sasuke ressentait une lourde culpabilité de ne pouvoir être le fils fort et protecteur qu'il souhaitait être pour sa mère. il était submergé par le poids de ses épreuves et des choix difficiles qu'il avait faits dans sa vie.
Re: The memory of a familiar glow - 25.08.23 23:37
Pv Uchiha Sasuke
THE MEMORY OF A FAMILIAR GLOW


C’était la première fois depuis des années qu’elle revoyait son fils adoré. Son fils chérie, le dernier qu’elle avait eu avec Fugaku. LE bonheur de le revoir était incommensurable, l’amour d’une mère pour son fils était grand et pure. Personne ne pourrait changer le fait que c’était son fils à elle et à personne d’autre. Mikoto le sentait, il était un poil différent de celui qu’elle avait connu. Autrefois petit et enfant. Maintenant grand et adulte. Cela lui faisait bizarre de le voir ainsi si proche d’elle et de Fugaku en taille. Elle le regarde se fermer loin d’elle. Il ne pouvait pas lui ouvrir son cœur, il devait avoir été blessé par la lourde décision d’itachi de massacrer le clan pour aider le village.
Était-il haineux envers eux ? Pour toute cette souffrance qu’il avait du supporter par leur prise de décision ? Cette décision pour la famille avait été la plus dure à accepter. Elle avait tout perdu, et son fils avait du être malheureux à cause d’eux. Elle serrait son cœur. En tant que mère, ce fardeau était le sien, tout comme celui de Fugaku, ils n’avaient pas réussi à empêcher cette menace de faire du mal à leur famille et de la détruire à petit feu de l’intérieur. Avait-elle été une mauvaise mère pour lui ?
« Sasuke… » Elle s’approchait d’un doux pas léger, sec et franc, déterminée à voir le visage de son fils. Elle voulait voir à quel point il était devenu un bel Uchiha, elle voulait revoir son fils, pas qu’il se cache d’elle. Elle ne voulait pas qu’il la fuie. Non, il ne pouvait pas la fuir en effet, elle était déjà morte. Elle en avait conscience, elle voulait l’aider. Elle voulait le retrouver et le chérir. Lui dire à quel point elle était désolée d’avoir failli à son rôle de protection.
« Je te demande pardon mon fils. » Madara lui offrait cette chance grâce aux arcanes lunaires. Elle devait savoir, elle devait voir ce qu’il était devenue pour pouvoir agir en conséquence. Voir son éventuelle tristesse, la rendait triste elle aussi. Elle n’avait pu être là pour l’aider à grandir sain et heureux. Elle n’avait pas pu l’emmener jusqu’à son adolescence comme elle l’aurait voulu. Elle s’approchait doucement de son fils, ses pieds foulaient de nouveau l’herbe fraiche. Elle se précipitait vers son fils, en pleure. Elle perlait des larmes tandis qu’elle allait se mettre à sa hauteur. Elle était sa mère, elle devait agir. Elle le prenait dans ses bras pour l’aider à se relever tandis qu’elle déposait ses mains sur les joues de ce dernier.
« Sasuke…je suis désolée de ne pas avoir pu être là pour toi… » Elle s’excusait encore. Elle voulait que celui-ci se relève. Elle le voulait vraiment, elle regardait ses yeux embués de larmes, et avait tenté de lui sécher avec les doigts, elle glissait délicatement les doigts sur les larmes de ce dernier avec tendresse comme elle le faisait quand il se blessait enfant.
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Était-il haineux envers eux ? Pour toute cette souffrance qu’il avait du supporter par leur prise de décision ? Cette décision pour la famille avait été la plus dure à accepter. Elle avait tout perdu, et son fils avait du être malheureux à cause d’eux. Elle serrait son cœur. En tant que mère, ce fardeau était le sien, tout comme celui de Fugaku, ils n’avaient pas réussi à empêcher cette menace de faire du mal à leur famille et de la détruire à petit feu de l’intérieur. Avait-elle été une mauvaise mère pour lui ?
« Sasuke… » Elle s’approchait d’un doux pas léger, sec et franc, déterminée à voir le visage de son fils. Elle voulait voir à quel point il était devenu un bel Uchiha, elle voulait revoir son fils, pas qu’il se cache d’elle. Elle ne voulait pas qu’il la fuie. Non, il ne pouvait pas la fuir en effet, elle était déjà morte. Elle en avait conscience, elle voulait l’aider. Elle voulait le retrouver et le chérir. Lui dire à quel point elle était désolée d’avoir failli à son rôle de protection.
« Je te demande pardon mon fils. » Madara lui offrait cette chance grâce aux arcanes lunaires. Elle devait savoir, elle devait voir ce qu’il était devenue pour pouvoir agir en conséquence. Voir son éventuelle tristesse, la rendait triste elle aussi. Elle n’avait pu être là pour l’aider à grandir sain et heureux. Elle n’avait pas pu l’emmener jusqu’à son adolescence comme elle l’aurait voulu. Elle s’approchait doucement de son fils, ses pieds foulaient de nouveau l’herbe fraiche. Elle se précipitait vers son fils, en pleure. Elle perlait des larmes tandis qu’elle allait se mettre à sa hauteur. Elle était sa mère, elle devait agir. Elle le prenait dans ses bras pour l’aider à se relever tandis qu’elle déposait ses mains sur les joues de ce dernier.
« Sasuke…je suis désolée de ne pas avoir pu être là pour toi… » Elle s’excusait encore. Elle voulait que celui-ci se relève. Elle le voulait vraiment, elle regardait ses yeux embués de larmes, et avait tenté de lui sécher avec les doigts, elle glissait délicatement les doigts sur les larmes de ce dernier avec tendresse comme elle le faisait quand il se blessait enfant.
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J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Re: The memory of a familiar glow - 01.09.23 20:11
son prénom, encore.
la chaleur de cet être qui le chérissait plus que tout était oppressante. la douceur de ses doigts, de ses bras, étreignant les siens, était étouffante. sasuke se laissait redresser par la seule force de sa mère, mais son esprit était accablé d'apathie. il se tenait là, démuni, incapable de rassembler la moindre émotion positive. il n'avait pas souhaité relever à nouveau son visage pour celui de sa mère. au lieu de cela, une profonde tension s'était emparée de son cœur, se manifestant directement dans ses yeux vairons, vides. sa manipulation se faisait de plus en plus oppressante, créant une dissonance déchirante dans l'âme tourmentée de sasuke.
comment pouvais-je prétendre être le frère d’itachi ?
ses larmes refusaient de couler plus, sa fierté l’avait quitté.
il n'entendait même pas les sanglots de sa mère. c'était comme s'il avait été transporté dans une dimension à part. une dimension où il était seul, résolument absent de la scène de retrouvailles qu'il avait autrefois désirée plus que tout. lorsque mikoto osa enfin relever les yeux de son fils, l'un d'eux s'ornait de la maudite fleur qui lui valut d'entendre immédiatement la voix sournoise d'obito.
tu ne comprends pas, sasuke. tu ne peux pas te permettre de t'attacher à elle. elle te retient, elle t'attache à un passé qui t'empêche d'atteindre ton véritable objectif. si tu la laisses entrer dans ta vie, elle te détournera de ton chemin.
une menace.
sasuke réalisa instantanément ce qu'il devait faire : refouler son désir profond de manifester de l'affection envers sa mère. il était sûr qu'obito était prêt à exploiter sa position de pouvoir pour mettre ses menaces à exécution.
il réprima ses émotions et son affection, adoptant une attitude distante envers sa mère pour ne pas éveiller plus encore les soupçons d'obito. au fond de lui, obito l’avait presque persuadé qu'il devrait la tuer. cette réalisation le remplissait de terreur.
comment pourrais-je me persuadé de ça !? je deviens fou ! tout ça… ce n’est pas ce que je pense, c’est des conneries !
malgré lui, il se tourna vers la haine, la considérant comme sa meilleure alliée pour repousser la présence de l'homme masqué.
alors que ses émotions exacerbées déclenchèrent une aura menaçante, il fit instinctivement reculer sa mère.
sasuke se releva avec effort, utilisant l'herbe et le tronc de l'arbre à ses côtés pour se soutenir. chacun de ses pas était lourd, son dos se redressant lentement. il se tint devant elle, le mangekyou sharingan brillant d'une lueur glaciale dans son seul oeil. à l'intérieur de lui, un tumulte d'émotions contradictoires grondait, le poussant à agir contre son propre instinct. c’est ce qu’il devait faire, pour elle, pour son bien, sa protection.
d'un mouvement furtif, sasuke repoussa une fois encore sa mère, utilisant sa maîtrise du taijutsu pour maintenir la distance entre eux. il esquivait habilement toute tentative de contact, encaissant le regard triste de sa mère.
la séquence de mouvements était fluide et rapide, chaque esquive et parade exprimait sa lutte intérieure. chaque geste était calculé, chaque pas était précis, car il savait que le moindre faux pas pourrait le trahir aux yeux d'obito.
c’est moi qui te demande pardon, mère…
le katon, le feu emblématique du clan uchiha, était son choix préféré pour maintenir cette distance protectrice ; un mur de flammes l'empêchant de s'approcher davantage. il espérait que, derrière la subtilité de ces signes, elle comprendrait son fils, entendrait ses appels silencieux résonnant au plus profond de son esprit.
puis, il haleta, inévitablement. ses yeux la fixèrent avec une lueur mêlée de colère et de méfiance. que pouvait-il faire d'autre ? il était enchaîné à obito, comme une malédiction qu'il fallait apprendre à craindre. cette solitude lui rappelait étrangement celle de naruto, et cette pensée le hantait.
"c’est parce que tu es seul, que tu souris ?”
sasuke serra ses poings avec une détermination farouche. alors que son visage restait timide, caché derrière ses épaules comme un chat effrayé, il ne put empêcher une larme singulière de perler depuis le coin de son œil en amande jusqu'à sa joue, où elle s'écrasa silencieusement contre le sol.
il n'aurait jamais imaginé qu'il devrait imposer solitude et distance envers sa mère, et encore moins de manière brutale et violente.
la chaleur de cet être qui le chérissait plus que tout était oppressante. la douceur de ses doigts, de ses bras, étreignant les siens, était étouffante. sasuke se laissait redresser par la seule force de sa mère, mais son esprit était accablé d'apathie. il se tenait là, démuni, incapable de rassembler la moindre émotion positive. il n'avait pas souhaité relever à nouveau son visage pour celui de sa mère. au lieu de cela, une profonde tension s'était emparée de son cœur, se manifestant directement dans ses yeux vairons, vides. sa manipulation se faisait de plus en plus oppressante, créant une dissonance déchirante dans l'âme tourmentée de sasuke.
comment pouvais-je prétendre être le frère d’itachi ?
ses larmes refusaient de couler plus, sa fierté l’avait quitté.
il n'entendait même pas les sanglots de sa mère. c'était comme s'il avait été transporté dans une dimension à part. une dimension où il était seul, résolument absent de la scène de retrouvailles qu'il avait autrefois désirée plus que tout. lorsque mikoto osa enfin relever les yeux de son fils, l'un d'eux s'ornait de la maudite fleur qui lui valut d'entendre immédiatement la voix sournoise d'obito.
tu ne comprends pas, sasuke. tu ne peux pas te permettre de t'attacher à elle. elle te retient, elle t'attache à un passé qui t'empêche d'atteindre ton véritable objectif. si tu la laisses entrer dans ta vie, elle te détournera de ton chemin.
une menace.
sasuke réalisa instantanément ce qu'il devait faire : refouler son désir profond de manifester de l'affection envers sa mère. il était sûr qu'obito était prêt à exploiter sa position de pouvoir pour mettre ses menaces à exécution.
il réprima ses émotions et son affection, adoptant une attitude distante envers sa mère pour ne pas éveiller plus encore les soupçons d'obito. au fond de lui, obito l’avait presque persuadé qu'il devrait la tuer. cette réalisation le remplissait de terreur.
comment pourrais-je me persuadé de ça !? je deviens fou ! tout ça… ce n’est pas ce que je pense, c’est des conneries !
malgré lui, il se tourna vers la haine, la considérant comme sa meilleure alliée pour repousser la présence de l'homme masqué.
- — je m’en moque bien, de ton pardon ! lâcha t-il.
alors que ses émotions exacerbées déclenchèrent une aura menaçante, il fit instinctivement reculer sa mère.
sasuke se releva avec effort, utilisant l'herbe et le tronc de l'arbre à ses côtés pour se soutenir. chacun de ses pas était lourd, son dos se redressant lentement. il se tint devant elle, le mangekyou sharingan brillant d'une lueur glaciale dans son seul oeil. à l'intérieur de lui, un tumulte d'émotions contradictoires grondait, le poussant à agir contre son propre instinct. c’est ce qu’il devait faire, pour elle, pour son bien, sa protection.
d'un mouvement furtif, sasuke repoussa une fois encore sa mère, utilisant sa maîtrise du taijutsu pour maintenir la distance entre eux. il esquivait habilement toute tentative de contact, encaissant le regard triste de sa mère.
la séquence de mouvements était fluide et rapide, chaque esquive et parade exprimait sa lutte intérieure. chaque geste était calculé, chaque pas était précis, car il savait que le moindre faux pas pourrait le trahir aux yeux d'obito.
c’est moi qui te demande pardon, mère…
- — katon - gôkakyû no jutsu !
le katon, le feu emblématique du clan uchiha, était son choix préféré pour maintenir cette distance protectrice ; un mur de flammes l'empêchant de s'approcher davantage. il espérait que, derrière la subtilité de ces signes, elle comprendrait son fils, entendrait ses appels silencieux résonnant au plus profond de son esprit.
puis, il haleta, inévitablement. ses yeux la fixèrent avec une lueur mêlée de colère et de méfiance. que pouvait-il faire d'autre ? il était enchaîné à obito, comme une malédiction qu'il fallait apprendre à craindre. cette solitude lui rappelait étrangement celle de naruto, et cette pensée le hantait.
"c’est parce que tu es seul, que tu souris ?”
sasuke serra ses poings avec une détermination farouche. alors que son visage restait timide, caché derrière ses épaules comme un chat effrayé, il ne put empêcher une larme singulière de perler depuis le coin de son œil en amande jusqu'à sa joue, où elle s'écrasa silencieusement contre le sol.
il n'aurait jamais imaginé qu'il devrait imposer solitude et distance envers sa mère, et encore moins de manière brutale et violente.
- — n-ne t'approche pas de moi ! hurla-t-il avec une rage furieuse, secouant la tête de manière véhémente.