Dans la quatrième grande guerre ninja, Suigetsu s'est battu courageusement aux côtés de Sasuke et des autres alliés de l'Alliance Shinobi contre les forces d'Obito et Madara Uchiha. Même si, au départ, ils étaient contre l’Alliance des Shinobis. Sasaku était une véritable girouette. Au final, les membres du groupe avaient été abandonnés, mis en danger pour quelle raison ? C’était difficile, mais bon, c’était du passé. En effet, alors qu'ils se battaient, tous furent pris au piège du puissant Genjutsu Tsukuyomi lancé par Madara, les plongeant dans un rêve cauchemardesque pour sa part. Revoir son grand-frère se faire à nouveau tué pour lui, n’était pas le rêve le plus doux qu’il aurait pu avoir. Il s’est réveillé, il ne sait comment après des luttes de batailles cauchemardesque pour se retrouver dans une autre dimension qui, encore une fois, ne reflétait pas la réalité ou du moins, pas totalement. Il n’y avait pas de traces de guerre, mais cette guerre pour avoir fait un petit tour en prison, il ne l’avait pas rêvée. La guerre ne semblait pas être là, et pourtant, les corps étaient allongés, dont celui de Juugo. Super, au moins, il n’était pas tout seul, et si l’envie d’abandonner son fou furieux d’acolyte était forte, il décida malgré tout de le tirer. Au moins, ils n’étaient pas très éloignés de Kiri, il pourra sûrement faire le plein de bouteilles d’eau.
C’est ainsi, que dans ce second monde onirique, mais un peu plus réel, Suigetsu se retrouva avec Juugo, un fardeau qu'il refusait d'abandonner malgré la difficulté de la situation. Ils étaient tous deux prisonniers de leurs pires peurs et regrets, piégés dans un monde où la réalité et l'illusion se mêlaient de façon confuse. Du moins, ce fut son cas, son ami semblait faire de jolis rêves. Puis, il pesait son pesant le bougre. Pourquoi, il ne se réveillait pas hein ? Pourquoi devait-il le traîner déjà ? Suigetsu ne se souvient pas exactement comment il s'est réveillé de ce rêve étrange, mais maintenant, vu qu’il transportait le corps de son ami, tout en restant aux aguets, il commençait vraiment à le regretter et, c’était peu dire.
Il se demandait où était Sasuke, le leader de leur équipe, et s'il avait également réussi à se libérer du Tsukuyomi. Les pensées de Suigetsu étaient remplies d'inquiétude alors qu'il cherchait des indices sur le sort de Sasuke, même de Karin pour tout vous dire, tout en se préparant à affronter les défis à venir dans cette guerre épique. Suigetsu, les sourcils froncés, s'adressa à Juugo d'un ton agacé alors que le silence régnait toujours autour d'eux.
« Bon sang, Juugo, tu te rends compte de la situation ?! On se retrouve encore une fois dans une situation impossible à cause de toi ! Tu es un fardeau, et je traîne toujours derrière, incapable de te laisser. Je ne peux pas abandonner, sinon Sasuke me descendra ! » Il laissa échapper un soupir de frustration avant de continuer, « Et où est Sasuke ? On était censés être une équipe, non ? Pourquoi est-ce que je me retrouve encore une fois seul à devoir gérer tout ça ?! »
Suigetsu, débordant de frustration, lâcha brusquement Juugo. Il avait atteint un point de non-retour, assoiffé et agacé par la situation. Sans plus attendre, il se précipita vers le premier restaurant qu'il aperçut, ne laissant qu'un bref regard en arrière pour s'assurer que Juugo ne soit pas attaqué. Il se rua vers le bar du restaurant, cherchant frénétiquement des bouteilles ou des carafes d'eau. Il attrapa tout ce qui se trouvait à portée et vida les récipients d'un geste désespéré. L'eau coula dans sa gorge, apaisant son intense soif. Il chercha ensuite des robinets pour remplir d'autres contenants.
« Sasuke a intérêt à avoir une sacrée bonne raison pour ne pas être là. Mais bon, c'est toujours le cas avec lui, n'est-ce pas ? Toujours à nous entraîner dans des situations délirantes. Pourtant, je le suis. Pour cette fichue dette envers Orochimaru. Tout ça est devenu complètement absurde... »
Evidemment, il n’y avait personne pour lui répondre. D’un côté, il était préférable que ce soit le cas. Il était persuadé qu’il se retrouverait avec un regard de tueur de la part de Juugo et il se prendrait un maudit coup de la part de la folle furieuse qu’était Karin. Ses coups étaient vraiment terrifiants. Elle qui était une fidèle à Orochimaru avant Sasuke. N’empêche, qu’il était quand même inquiet pour celle-ci. Il se demandait si elle était réveillée ou non. Dans tous les cas, il était persuadé que le seul rêve qu’elle devait faire, cela concernait leur leader. Il n’y avait que lui dans l’esprit de la rouquine. Les filles étaient toutes folles de ce dernier. Il pouvait comprendre, c’était un bel homme, avec ce côté androgyne, mais quand même, il n’était pas en reste si ? Il secoua la tête, se demandant comment ils en étaient arrivés là, tout en continuant à boire l'eau salvatrice qui lui apportait un moment de soulagement dans cette situation chaotique.
Alors qu'il continuait de s’abreuver d'eau, Suigetsu commença à réfléchir à sa situation. Il était seul pour la première fois depuis longtemps, Juugo étant hors d'état de participer en raison du Genjutsu Tsukuyomi. Peut-être était-ce le moment de reprendre sa quête inachevée à la recherche des sept épées légendaires de la Brume. Sasuke n'était pas là pour le surveiller ou le réprimander.
Les épées légendaires étaient un véritable trésor, et Suigetsu était fasciné par leur pouvoir. Il se rappela des récits de Zabuza Momochi, l'un des précédents porteurs de l'épée Kubikiribôchô, et de la gloire qu'il avait connue en tant que l'un des grands épéistes de Kiri. Alors qu'il posa la dernière gorgée de sa boisson, Suigetsu prit sa décision. Il irait à la recherche de l'une de ces épées, une quête qui le ramènerait aux racines de son village natal. C'était une opportunité rare, et il était prêt à en profiter au maximum. Il se leva, déterminé à suivre cette nouvelle voie, tout en gardant un œil sur Juugo, attendant patiemment qu'il se réveille pour reprendre leur voyage. Bon, il faudrait qu’il récupère une énorme pack d’eau pour l’accrocher à sa taille.
Les cris lointains et les pas s'approchant firent frissonner Suigetsu. Alors qu'il sortait du restaurant, il remarqua des silhouettes qui se dessinaient à travers le brouillard, et son instinct de ninja se mit en alerte. Quelque chose n'allait pas, et il ressentit un très mauvais pressentiment. Il se mit en garde, prêt à faire face à ce qui approchait, sans savoir à quoi s'attendre. Le mystère et l'incertitude planaient dans l'air, et il savait qu'il devait être prêt à tout, enfin peut-être qu’il ne devrait pas trop s’avancer sur ce coup.
Marchant silencieusement dans les ruelles de Kiri, je me dirigeais vers la bibliothèque de la ville, en quête d'informations sur mon clan et mes ancêtres. Mon clan, originaire du Pays de l'Eau, était peu connu, mais je nourrissais l'espoir de découvrir des parchemins de sceaux ou des récits historiques qui pourraient m'apporter un éclairage sur mes origines.
En pénétrant dans la bibliothèque, je fus à peine surpris d’être le seul. Tous semblaient dormir, attendant simplement leur mort. C’était triste. La mort en soi, ne m’effrayait pas. Pourquoi devrais-je être effrayé alors que je pourrais retrouver mon frère. Il serait bien sûr celui de mes souvenirs. Celui qui me disputai pour m’entrainer. Je me dirigeai directement vers la section réservée à l'histoire du Pays de l'Eau. J'entrepris de fouiller les étagères, cherchant des documents qui pourraient mentionner mon clan ou des techniques de sceau transmises au fil des générations.
Pendant des heures, je parcourus des parchemins anciens, des manuscrits poussiéreux, et des textes sur l'histoire de mon pays d'origine. Mon but était de trouver des indices sur l'existence de mon clan, sur ses réalisations passées, ou sur des techniques de sceau spécifiques qui pourraient être associées à ma lignée. Les recherches se révélèrent ardues, mais je ne perdais pas espoir. Les bibliothèques étaient souvent des trésors d'informations, et j'étais déterminé à tirer le meilleur parti de cette visite à Kiri. J'espérais qu'à la fin de cette quête, je pourrais en savoir plus sur mon clan, ses pratiques ancestrales, et peut-être même dénicher des parchemins ou des enseignements qui me permettraient de développer mes compétences en matière de sceaux.
Alors que je m'éloignais de la bibliothèque de Kiri, déçu par l'absence d'informations substantielles sur mon clan, un grondement sourd se fit entendre, rappelant à quel point je mourais de faim. Mes pas me menèrent machinalement dans les rues animées du village, où l'odeur alléchante de la nourriture flottait dans l'air. Finalement, ma faim l'emporta sur ma moralité, et je me lançai dans une quête absurde pour apaiser mon estomac affamé. Au détour d'un sentier, je découvris un groupe de ninjas assis autour d'un feu, se régalant de victuailles fumantes. Mon regard s'alluma d'une lueur vorace, et je décidai de les suivre à pas de loup, guettant l'opportunité parfaite pour voler leur nourriture et leur argent.
Dans l'ombre, je m'approchai discrètement, cherchant le moment propice pour agir. Cependant, la chance me tourna le dos lorsque je fis malencontreusement tomber une brindille. Les ninjas se retournèrent brusquement, surpris par le bruit. Mon cœur battait la chamade, mais dans un acte de bravade absurde, je leur lançai un regard désinvolte, essayant de paraître aussi insouciant que possible.
« Ah, mes amis ! Vous ne trouverez jamais la paix si vous vous inquiétez autant des bruits dans les buissons ! Vous devriez plutôt vous méfier des nuages, ils sont bien plus sournois ! »
Dis-je d'une voix mielleuse, agitant mes bras dans les airs comme si je prétendais conjurer un sortilège. Les ninjas me regardèrent, interloqués, sans comprendre mes paroles farfelues. Profitant de leur confusion, je fis signe vers un endroit derrière eux, détournant leur attention.
« Regardez là-bas, il y a Madara ! Et il a un chapeau de magicien ! C'est extraordinaire, non ? »
M'écriai-je, pointant frénétiquement dans la direction opposée.
Intrigués par mon geste exagéré, les ninjas se retournèrent pour voir ce que je montrais. Profitant de leur inattention, je me faufilai rapidement vers leurs provisions, attrapant quelques morceaux de viande et un sac d'argent avant de m'éclipser dans l'obscurité. Alors que je m'éloignais en courant, je ne pus m'empêcher de rire de ma propre audace. Ma journée avait été une série d'événements absurdes, mais au moins, j'avais quelque chose à manger et un peu d'argent pour mes prochaines aventures. Avec un sourire narquois, je disparus dans les ombres de Kiri, prêt à affronter les absurdités de la vie ninja avec un estomac plein et une détermination renouvelée. Du moins, c’était sensé être comme ça. Entre la fiction et la réalité malheureusement, il y a un énorme fossé.
Alors que je courais à perdre haleine, les ninjas en colère à mes trousses, je criai frénétiquement à l'aide, espérant qu'un miracle m'apporterait une échappatoire à cette situation absurde. Mes poumons brûlaient, et chaque inspiration me paraissait insuffisante pour étancher ma soif d'air.
Soudain, je me retrouvai face à un homme que je pensais être ma porte de sortie. Cependant, à ma grande surprise, au lieu de me cogner rudement contre le buste d'un guerrier musclé, je me retrouvai éclaboussé par une substance aqueuse et glissante. Je tombai lourdement sur le sol, couvert de boue et de confusion.
« Qu'est-ce que c'était ça ?! »
M'exclamai-je, ma stupeur passée rapidement remplacée par un mélange de perplexité et de curiosité. La surprise passée, je réalisai que le liquide ne m'avait pas blessé, mais plutôt ramolli. C'était de l'eau, et ce n'était pas n'importe quelle eau. Mon cerveau, en mode survie, réagit rapidement. Les shinobis se rapprochaient, et je me trouvais désormais dans une position délicate. Mon instinct me poussa à me prosterner à genoux, l'eau dégoulinant de mon corps. Je pointai du doigt l'homme qui m'avait "arrosé", et d'une voix tremblante, je m'exclamai :
« Attendez, attendez, je viens de réaliser ! »
M'écriai-je, levant un doigt accusateur en direction de l'homme qui m'avait involontairement renversé.
« Je ne suis qu’une frêle jeune fille. Ce monsieur ici est mon chef, le grand chef Hozuki, et c’est lui, qui m’a donné l’ordre de vous voler vos biens ! Je n'y suis pour rien, je vous assure ! Comment le pourrais-je ? »
Je m'inclinai subitement à genoux, prenant un air soumis et innocent, tout en continuant de pointer l'homme du doigt comme si c'était un sauveur venu me délivrer de mes péchés. Mes paroles étaient aussi absurdes que ma situation, mais peut-être, juste peut-être, cela suffirait à semer la confusion parmi mes poursuivants. C’était un signe de providence, un génie. L'homme, que je supposais être un Hozuki, m'observa, les sourcils froncés. C'était ma seule chance de m'échapper de cette situation absurde. Alors, je priai pour que ma supercherie fonctionne, espérant que mon geste de désespoir m'aiderait à sortir indemne de cette situation.
« Oui, oui, c'est exact ! Le chef Hozuki m'a dit de voler pour tester votre vigilance, rien de plus ! Je vous en prie, pardonnez-moi, pardonnez-nous ! »
Implorai-je, essayant de forcer des larmes aussi absurdes que mes explications.
Les ninjas se regardèrent, perplexes, sans savoir s'ils devaient me croire ou me considérer comme un bouffon. Le chef Hozuki, lui-même semblait confus, ne comprenant visiblement pas pourquoi il était soudainement impliqué dans cette histoire rocambolesque. Face à leur indécision, je décidai de jouer le tout pour le tout, lançant un regard suppliant :
« Je ne suis qu’une pauvre jeune demoiselle sans défense. Je vous assure. Je n’ai jamais fait du mal. Cet homme est un pervers. Il m’a dit que je ne vous volais pas, il me ferait du mal. »
Bien sûr, je savais que mes paroles étaient un tissu de mensonges absurdes, mais dans cet instant de chaos, l'absurdité était ma meilleure alliée. Espérant que mes mots convaincraient mes assaillants confus, je priai pour que cette farce improbable mette fin à cette course poursuite aussi ridicule qu'inattendue. Et tant pis pour les dommages collatéraux.
En pénétrant dans la bibliothèque, je fus à peine surpris d’être le seul. Tous semblaient dormir, attendant simplement leur mort. C’était triste. La mort en soi, ne m’effrayait pas. Pourquoi devrais-je être effrayé alors que je pourrais retrouver mon frère. Il serait bien sûr celui de mes souvenirs. Celui qui me disputai pour m’entrainer. Je me dirigeai directement vers la section réservée à l'histoire du Pays de l'Eau. J'entrepris de fouiller les étagères, cherchant des documents qui pourraient mentionner mon clan ou des techniques de sceau transmises au fil des générations.
Pendant des heures, je parcourus des parchemins anciens, des manuscrits poussiéreux, et des textes sur l'histoire de mon pays d'origine. Mon but était de trouver des indices sur l'existence de mon clan, sur ses réalisations passées, ou sur des techniques de sceau spécifiques qui pourraient être associées à ma lignée. Les recherches se révélèrent ardues, mais je ne perdais pas espoir. Les bibliothèques étaient souvent des trésors d'informations, et j'étais déterminé à tirer le meilleur parti de cette visite à Kiri. J'espérais qu'à la fin de cette quête, je pourrais en savoir plus sur mon clan, ses pratiques ancestrales, et peut-être même dénicher des parchemins ou des enseignements qui me permettraient de développer mes compétences en matière de sceaux.
Alors que je m'éloignais de la bibliothèque de Kiri, déçu par l'absence d'informations substantielles sur mon clan, un grondement sourd se fit entendre, rappelant à quel point je mourais de faim. Mes pas me menèrent machinalement dans les rues animées du village, où l'odeur alléchante de la nourriture flottait dans l'air. Finalement, ma faim l'emporta sur ma moralité, et je me lançai dans une quête absurde pour apaiser mon estomac affamé. Au détour d'un sentier, je découvris un groupe de ninjas assis autour d'un feu, se régalant de victuailles fumantes. Mon regard s'alluma d'une lueur vorace, et je décidai de les suivre à pas de loup, guettant l'opportunité parfaite pour voler leur nourriture et leur argent.
Dans l'ombre, je m'approchai discrètement, cherchant le moment propice pour agir. Cependant, la chance me tourna le dos lorsque je fis malencontreusement tomber une brindille. Les ninjas se retournèrent brusquement, surpris par le bruit. Mon cœur battait la chamade, mais dans un acte de bravade absurde, je leur lançai un regard désinvolte, essayant de paraître aussi insouciant que possible.
« Ah, mes amis ! Vous ne trouverez jamais la paix si vous vous inquiétez autant des bruits dans les buissons ! Vous devriez plutôt vous méfier des nuages, ils sont bien plus sournois ! »
Dis-je d'une voix mielleuse, agitant mes bras dans les airs comme si je prétendais conjurer un sortilège. Les ninjas me regardèrent, interloqués, sans comprendre mes paroles farfelues. Profitant de leur confusion, je fis signe vers un endroit derrière eux, détournant leur attention.
« Regardez là-bas, il y a Madara ! Et il a un chapeau de magicien ! C'est extraordinaire, non ? »
M'écriai-je, pointant frénétiquement dans la direction opposée.
Intrigués par mon geste exagéré, les ninjas se retournèrent pour voir ce que je montrais. Profitant de leur inattention, je me faufilai rapidement vers leurs provisions, attrapant quelques morceaux de viande et un sac d'argent avant de m'éclipser dans l'obscurité. Alors que je m'éloignais en courant, je ne pus m'empêcher de rire de ma propre audace. Ma journée avait été une série d'événements absurdes, mais au moins, j'avais quelque chose à manger et un peu d'argent pour mes prochaines aventures. Avec un sourire narquois, je disparus dans les ombres de Kiri, prêt à affronter les absurdités de la vie ninja avec un estomac plein et une détermination renouvelée. Du moins, c’était sensé être comme ça. Entre la fiction et la réalité malheureusement, il y a un énorme fossé.
Alors que je courais à perdre haleine, les ninjas en colère à mes trousses, je criai frénétiquement à l'aide, espérant qu'un miracle m'apporterait une échappatoire à cette situation absurde. Mes poumons brûlaient, et chaque inspiration me paraissait insuffisante pour étancher ma soif d'air.
Soudain, je me retrouvai face à un homme que je pensais être ma porte de sortie. Cependant, à ma grande surprise, au lieu de me cogner rudement contre le buste d'un guerrier musclé, je me retrouvai éclaboussé par une substance aqueuse et glissante. Je tombai lourdement sur le sol, couvert de boue et de confusion.
« Qu'est-ce que c'était ça ?! »
M'exclamai-je, ma stupeur passée rapidement remplacée par un mélange de perplexité et de curiosité. La surprise passée, je réalisai que le liquide ne m'avait pas blessé, mais plutôt ramolli. C'était de l'eau, et ce n'était pas n'importe quelle eau. Mon cerveau, en mode survie, réagit rapidement. Les shinobis se rapprochaient, et je me trouvais désormais dans une position délicate. Mon instinct me poussa à me prosterner à genoux, l'eau dégoulinant de mon corps. Je pointai du doigt l'homme qui m'avait "arrosé", et d'une voix tremblante, je m'exclamai :
« Attendez, attendez, je viens de réaliser ! »
M'écriai-je, levant un doigt accusateur en direction de l'homme qui m'avait involontairement renversé.
« Je ne suis qu’une frêle jeune fille. Ce monsieur ici est mon chef, le grand chef Hozuki, et c’est lui, qui m’a donné l’ordre de vous voler vos biens ! Je n'y suis pour rien, je vous assure ! Comment le pourrais-je ? »
Je m'inclinai subitement à genoux, prenant un air soumis et innocent, tout en continuant de pointer l'homme du doigt comme si c'était un sauveur venu me délivrer de mes péchés. Mes paroles étaient aussi absurdes que ma situation, mais peut-être, juste peut-être, cela suffirait à semer la confusion parmi mes poursuivants. C’était un signe de providence, un génie. L'homme, que je supposais être un Hozuki, m'observa, les sourcils froncés. C'était ma seule chance de m'échapper de cette situation absurde. Alors, je priai pour que ma supercherie fonctionne, espérant que mon geste de désespoir m'aiderait à sortir indemne de cette situation.
« Oui, oui, c'est exact ! Le chef Hozuki m'a dit de voler pour tester votre vigilance, rien de plus ! Je vous en prie, pardonnez-moi, pardonnez-nous ! »
Implorai-je, essayant de forcer des larmes aussi absurdes que mes explications.
Les ninjas se regardèrent, perplexes, sans savoir s'ils devaient me croire ou me considérer comme un bouffon. Le chef Hozuki, lui-même semblait confus, ne comprenant visiblement pas pourquoi il était soudainement impliqué dans cette histoire rocambolesque. Face à leur indécision, je décidai de jouer le tout pour le tout, lançant un regard suppliant :
« Je ne suis qu’une pauvre jeune demoiselle sans défense. Je vous assure. Je n’ai jamais fait du mal. Cet homme est un pervers. Il m’a dit que je ne vous volais pas, il me ferait du mal. »
Bien sûr, je savais que mes paroles étaient un tissu de mensonges absurdes, mais dans cet instant de chaos, l'absurdité était ma meilleure alliée. Espérant que mes mots convaincraient mes assaillants confus, je priai pour que cette farce improbable mette fin à cette course poursuite aussi ridicule qu'inattendue. Et tant pis pour les dommages collatéraux.
Suigetsu marchait tranquillement, perdu dans ses pensées concernant sa quête des épées légendaires de la Brume, quand tout à coup, un inconnu surgit de nulle part et lui fonça dedans. Suigetsu eut à peine le temps de réagir, mais grâce à son habileté en tant que Hozuki, il se transforma instantanément en flaque d'eau, laissant ainsi l'inconnu passer au travers de lui. L'inconnu, ne s'attendant visiblement pas à rencontrer une flaque d'eau vivante, tomba lourdement dans la boue avec un cri surpris. Suigetsu se reforma rapidement, l'observant d'un air amusé. Quant l’étranger manifesta sa surprise, Suigetsu ne put retenir un éclat de rire. La situation était tellement absurde qu'il ne pouvait s'empêcher de trouver cela drôle. Il se redressa rapidement, ignorant le fait que la boue avait taché ses vêtements.
« Bien joué, tu as une manière très... directe de faire connaissance, » dit-il avec un sourire moqueur. « Eh bien, c'était ma petite démonstration de ma capacité spéciale. Je suis Suigetsu Hôzuki. »
Sauf que le moment, n’était vraiment pas à rigole. Effectivement, comme s’il n’avait pas assez de problèmes à traîner son partenaire complètement fou, voilà qu’il se retrouvait à faire face à une bande de shinobis de Kiri à première vue. Tsk. C’était bien sa veine. Il se demandait quand est-ce qu’il aurait un jour, une journée tranquille dans sa vie. Il semblerait que cela soit jamais. Quoi qu’il en soit, voilà que le responsable de la venue de ces shinobis le pointa. Quoi ? La scène était pour le moins étrange. Haruki était à genoux dans la boue, dégoulinant d'eau, et il pointait un doigt accusateur vers Suigetsu en le désignant comme son chef. Suigetsu avait du mal à réprimer un éclat de rire face à une telle audace. Il ne s’attendait pas du tout à ce revirement inattendu. C'était bien la première fois qu'on le prenait pour un chef de clan. Il jeta un coup d'œil aux ninjas qui se tenaient en face de lui, puis reporta son attention sur Haruki. La jeune fille venait de lui attribuer un rôle bien inattendu. Il plissa les yeux, étudiant attentivement l'inconnu qui semblait désemparé. Le plan de Haruki était audacieux, mais totalement loufoque. Suigetsu ne put s'empêcher de rire. Il se pencha en avant, les mains sur les hanches, et le regarda d'un air moqueur.
« Frêle jeune fille, hein ? » dit-il en riant. « Je dois dire que c'est la meilleure excuse que j'ai entendue depuis un moment. Et si j'ai bien compris, c'est moi le grand chef Hozuki ? »
Suigetsu observa la performance théâtrale d'Haruki avec amusement. Le jeune homme semblait déterminé à jouer le rôle de la victime innocente pour échapper à la colère des poursuivants. Suigetsu ne pouvait s'empêcher de sourire devant une telle audace. Enfin, c’était bien drôle de rire, mais avec les conneries de cette fille, il l’embarquait dans ses problèmes. Ce n’est pas comme s’il n’en avait pas assez. Devrait-il lui faire tirer Juugo qui pesait une tonne ? Franchement, il allait le mettre au régime. Non, parce que si c’était pour qu’il tombe de nouveau dans les bras de Morphée, il était assuré qu’il serait celui, qui allait devoir encore le tirer.
Suigetsu était devenu silencieux et dévisageait la jeune comédienne qui était en train de lui incomber ses « crimes ». Elle avait volé un shinobi ? Tsk. Pourquoi, fallait toujours que ce genre de rencontres, soient pour sa pomme ? Il devait avoir un horrible karma, ce n’était pas possible autrement. Avec une certaine incrédulité mêlée à une pointe d'amusement. Le jeune homme, qu’il pensait être une fille, continuait son numéro, se présentant comme une "pauvre jeune demoiselle sans défense" tout en pointant un doigt accusateur vers Suigetsu comme s'il était le méchant de l'histoire. Il éclata d’un rire franc devant l’audace de cette nana.
« Un pervers, hein ? » répliqua-t-il, laissant échapper un petit rire sarcastique. « Vous êtes vraiment doué pour l'improvisation, je vous l'accorde. Mais soyons honnêtes, même les pervers ont des limites, vous savez. Et vous, vous ressemblez plus à un ninja en fuite qu'à une demoiselle effrayée. Enfin bon, peu importe. J'ai déjà eu ma dose de divertissement pour ce soir. Vous pouvez partir maintenant, votre drame est terminé. »
Suigetsu réalisa que la nouvelle réputation de Taka, en tant que groupe qui agissait parfois en faveur de l'Alliance des Shinobis, n'était pas encore largement connue. Et maintenant, il se retrouvait avec des armes pointées sur lui, tandis que les bandits semblaient déterminés à obtenir réparation pour ce qu'ils pensaient avoir été volé.
« Écoutez, les gars, vous vous trompez. Je n'ai rien à voir avec cette fille et encore moins avec ce qu'elle a pu vous voler. D'ailleurs, je n'ai rien d'intéressant sur moi, à part mon épée et ces packs d'eau. Regardez, pas de trésor, pas de butin. Vous êtes tombés sur le mauvais gars, » déclara-t-il d'un ton nonchalant, tentant de désamorcer la tension de la situation.
Bien que ce n’était certainement pas la meilleure chose à dire. Car, il venait de leur donner de bons arguments pour le fait qu’il avait en fait, de très bonnes raisons d’aller les dépouiller. Preuve en est, les bandits semblaient enclins à ne pas le croire, surtout lorsqu'ils le reconnurent comme un membre de Taka. Cette information sembla changer la donne, et les bandits devinrent plus agressifs. Ils exigèrent non seulement que Suigetsu leur rende le prétendu butin volé par la mystérieuse "fille", mais aussi qu'il leur remette tous ses biens personnels. Suigetsu soupira, agacé par cette situation absurde.
« Bon, écoutez, je n'ai aucun intérêt à me battre avec vous. Vous pouvez prendre mon eau, si ça vous chante, mais c'est tout ce que j'ai. Et si vous voulez me tuer pour des malentendus, c'est votre choix. Mais sachez que je ne vais pas me laisser faire sans riposter. »
Son regard se durcit, révélant une lueur de détermination. Il avait l'intention de se défendre s'ils l'attaquaient, mais il préférait toujours résoudre les choses pacifiquement. Cependant, il était prêt à utiliser son épée Kubikiribôchô s'il le fallait. La tension dans l'air était palpable, et Suigetsu se prépara mentalement à l'éventualité d'un affrontement imminent, priant silencieusement pour que les bandits fassent preuve de bon sens.
« Bien joué, tu as une manière très... directe de faire connaissance, » dit-il avec un sourire moqueur. « Eh bien, c'était ma petite démonstration de ma capacité spéciale. Je suis Suigetsu Hôzuki. »
Sauf que le moment, n’était vraiment pas à rigole. Effectivement, comme s’il n’avait pas assez de problèmes à traîner son partenaire complètement fou, voilà qu’il se retrouvait à faire face à une bande de shinobis de Kiri à première vue. Tsk. C’était bien sa veine. Il se demandait quand est-ce qu’il aurait un jour, une journée tranquille dans sa vie. Il semblerait que cela soit jamais. Quoi qu’il en soit, voilà que le responsable de la venue de ces shinobis le pointa. Quoi ? La scène était pour le moins étrange. Haruki était à genoux dans la boue, dégoulinant d'eau, et il pointait un doigt accusateur vers Suigetsu en le désignant comme son chef. Suigetsu avait du mal à réprimer un éclat de rire face à une telle audace. Il ne s’attendait pas du tout à ce revirement inattendu. C'était bien la première fois qu'on le prenait pour un chef de clan. Il jeta un coup d'œil aux ninjas qui se tenaient en face de lui, puis reporta son attention sur Haruki. La jeune fille venait de lui attribuer un rôle bien inattendu. Il plissa les yeux, étudiant attentivement l'inconnu qui semblait désemparé. Le plan de Haruki était audacieux, mais totalement loufoque. Suigetsu ne put s'empêcher de rire. Il se pencha en avant, les mains sur les hanches, et le regarda d'un air moqueur.
« Frêle jeune fille, hein ? » dit-il en riant. « Je dois dire que c'est la meilleure excuse que j'ai entendue depuis un moment. Et si j'ai bien compris, c'est moi le grand chef Hozuki ? »
Suigetsu observa la performance théâtrale d'Haruki avec amusement. Le jeune homme semblait déterminé à jouer le rôle de la victime innocente pour échapper à la colère des poursuivants. Suigetsu ne pouvait s'empêcher de sourire devant une telle audace. Enfin, c’était bien drôle de rire, mais avec les conneries de cette fille, il l’embarquait dans ses problèmes. Ce n’est pas comme s’il n’en avait pas assez. Devrait-il lui faire tirer Juugo qui pesait une tonne ? Franchement, il allait le mettre au régime. Non, parce que si c’était pour qu’il tombe de nouveau dans les bras de Morphée, il était assuré qu’il serait celui, qui allait devoir encore le tirer.
Suigetsu était devenu silencieux et dévisageait la jeune comédienne qui était en train de lui incomber ses « crimes ». Elle avait volé un shinobi ? Tsk. Pourquoi, fallait toujours que ce genre de rencontres, soient pour sa pomme ? Il devait avoir un horrible karma, ce n’était pas possible autrement. Avec une certaine incrédulité mêlée à une pointe d'amusement. Le jeune homme, qu’il pensait être une fille, continuait son numéro, se présentant comme une "pauvre jeune demoiselle sans défense" tout en pointant un doigt accusateur vers Suigetsu comme s'il était le méchant de l'histoire. Il éclata d’un rire franc devant l’audace de cette nana.
« Un pervers, hein ? » répliqua-t-il, laissant échapper un petit rire sarcastique. « Vous êtes vraiment doué pour l'improvisation, je vous l'accorde. Mais soyons honnêtes, même les pervers ont des limites, vous savez. Et vous, vous ressemblez plus à un ninja en fuite qu'à une demoiselle effrayée. Enfin bon, peu importe. J'ai déjà eu ma dose de divertissement pour ce soir. Vous pouvez partir maintenant, votre drame est terminé. »
Suigetsu réalisa que la nouvelle réputation de Taka, en tant que groupe qui agissait parfois en faveur de l'Alliance des Shinobis, n'était pas encore largement connue. Et maintenant, il se retrouvait avec des armes pointées sur lui, tandis que les bandits semblaient déterminés à obtenir réparation pour ce qu'ils pensaient avoir été volé.
« Écoutez, les gars, vous vous trompez. Je n'ai rien à voir avec cette fille et encore moins avec ce qu'elle a pu vous voler. D'ailleurs, je n'ai rien d'intéressant sur moi, à part mon épée et ces packs d'eau. Regardez, pas de trésor, pas de butin. Vous êtes tombés sur le mauvais gars, » déclara-t-il d'un ton nonchalant, tentant de désamorcer la tension de la situation.
Bien que ce n’était certainement pas la meilleure chose à dire. Car, il venait de leur donner de bons arguments pour le fait qu’il avait en fait, de très bonnes raisons d’aller les dépouiller. Preuve en est, les bandits semblaient enclins à ne pas le croire, surtout lorsqu'ils le reconnurent comme un membre de Taka. Cette information sembla changer la donne, et les bandits devinrent plus agressifs. Ils exigèrent non seulement que Suigetsu leur rende le prétendu butin volé par la mystérieuse "fille", mais aussi qu'il leur remette tous ses biens personnels. Suigetsu soupira, agacé par cette situation absurde.
« Bon, écoutez, je n'ai aucun intérêt à me battre avec vous. Vous pouvez prendre mon eau, si ça vous chante, mais c'est tout ce que j'ai. Et si vous voulez me tuer pour des malentendus, c'est votre choix. Mais sachez que je ne vais pas me laisser faire sans riposter. »
Son regard se durcit, révélant une lueur de détermination. Il avait l'intention de se défendre s'ils l'attaquaient, mais il préférait toujours résoudre les choses pacifiquement. Cependant, il était prêt à utiliser son épée Kubikiribôchô s'il le fallait. La tension dans l'air était palpable, et Suigetsu se prépara mentalement à l'éventualité d'un affrontement imminent, priant silencieusement pour que les bandits fassent preuve de bon sens.
Je courais à perdre haleine, poursuivi par les ninjas en colère, cherchant désespérément une issue à cette situation devenue absurde. Mes poumons brûlaient, chaque inspiration me paraissait insuffisante pour étancher ma soif d'air. Mon corps était couvert de sueur et de boue, résultat de ma course éperdue dans les rues de Kiri. Soudain, alors que je tournais un coin, je fus confronté à un homme apparemment inoffensif. Dans ma panique, je n'eus pas le temps de l'éviter, et je me heurtai brusquement à lui. Cependant, à ma grande surprise, au lieu de me heurter à un corps solide, je me retrouvai traversant cet homme comme s'il était fait d'air. Je tombai lourdement au sol, la boue et la confusion m'envahissant. Incapable de comprendre ce qui venait de se passer, je me relevai rapidement, regardant l'homme d'un air stupéfait. Lui, au contraire, me regardait avec amusement, un sourire moqueur étirant ses lèvres.
Quand il me salua, je revins abruptement à moi aidés par les bruits de pas qui s’approchaient. J'observai l'homme, Haruki, sans voix, essayant de comprendre la situation. Mon souffle haletant témoignait de mon épuisement, mais la bizarrerie de notre rencontre semblait nous avoir momentanément distraits, nous deux incarnations de l'absurdité dans cette course poursuite. Mon esprit était en ébullition, cherchant désespérément une issue à ma situation.
« Je suis.. »
Je n’eus malheureusement pas le temps de me présenter à lui. Ces shinobis de Kiri ne semblaient vraiment pas commodes. Je fis marcher mon cerveau et, trouva rapidement la solution à mon problème en faisant porter le chapeau à ma nouvelle rencontre. Le regard de Suigetsu était empreint d'amusement, et ses éclats de rire résonnaient dans l'air, contrastant avec l'atmosphère tendue de la confrontation avec les shinobis de Kiri. La situation était devenue une comédie absurde, et il était clair que Suigetsu ne pouvait pas s'empêcher de trouver de l'humour dans la tournure des événements. Je me retrouvais à genoux, couvert de boue, tentant de jouer le rôle d'une pauvre jeune fille sans défense. La folie de mon stratagème m'avait peut-être sauvé de la colère des shinobis, mais elle avait également attiré l'attention et la moquerie de Suigetsu.
Suigetsu se pencha en avant, se tenant les hanches, et évoqua le fait que je l'avais désigné comme le grand chef Hozuki. Son ton était moqueur, mais il semblait jouer le jeu, ajoutant une touche d'absurdité à cette situation déjà folle. Néanmoins, ma détermination à m'échapper de cette situation absurde demeurait intacte. Alors, je regardais toujours les shinobis contrariés et m’adressais à eux très sérieusement malgré la folie de mes paroles.
« Eh bien, oui, le chef Hozuki, m'a donné cet ordre pour tester votre vigilance. Je ne suis qu'une innocente jeune fille, après tout. »
Mon regard était suppliant, et j'espérais que les shinobis, bien que perplexes, se laisseraient distraire par cette farce absurde. J'étais conscient que ce jeu de rôle était comme un pari, mais c'était peut-être ma seule chance de m'échapper indemne. La tension dans l'air était palpable, et l'absurdité régnait en maîtresse dans cette ruelle de Kiri. Suigetsu, en chef de clan improvisé, jouait un rôle qui le dépassait, tandis que moi, en frêle jeune fille supposée, attendais avec espoir que cette farce prenne fin sans encombre. Le destin nous avait réunis dans un instant de folie, et l'issue de cette comédie improvisée restait incertaine.
Suigetsu, visiblement amusé et incrédule face à la tournure des événements, observait avec une pointe de sarcasme ma performance de jeune fille sans défense. Sa réaction était mêlée de moquerie et d'amusement, comme s'il appréciait l'audace de ma comédie improvisée.
Son humour mordant était évident, et malgré ma situation difficile, je ne pouvais m'empêcher de sourire légèrement. La folie de cette rencontre dans les rues de Kiri était presque comique, et l'attitude détachée de Suigetsu avait quelque chose de rafraîchissant. J'avais peut-être réussi à semer la confusion, mais il était temps de mettre un terme à cette farce et de me retirer avec un peu de dignité. Je pris au premier degré sa demande que je puisse partir. Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je suis certain qu’il s’en sortirait. Il semblait costaud.
« Merci, merci beaucoup ! Vous êtes vraiment magnanime, monsieur le chef Hozuki. »
Sans attendre une seconde de plus, je me levai précipitamment, prêt à fuir cette ruelle et à mettre fin à cette série d'événements absurdes. Sauf, que la suite des évènements, ne se déroula pas comme je l’avais prévu. Le gars, ne semblait pas prêt à accepter le rôle que je lui donnais. Pourtant, il était bien mon rôle faisant de lui, le chef des voleurs non ? Normalement, tout le monde est amoureux d’avoir le rôle de leader, pff. Vraiment, les jeunes d’aujourd’hui, plus aucune reconnaissance, c’est moi qui vous le dit !
L’atmorsphère devenait de plus en plus tendue alors que Suigetsu tentait de calmer les bandits, qui semblaient convaincus qu'il était impliqué dans le vol présumé. Les armes étaient toujours pointées dans leur direction, et la situation devenait de plus en plus délicate. Je m’étais dissimulé derrière son dos, prêt à prendre la fuite, mais je finis par prendre une inspiration, essayant de réfléchir rapidement à une solution. Je m’approchais de lui m’agrippa à son dos pour donner plus de poids à ma personnalité frêle et penché la tête sur le côté :
« Entre shinobis perdus dans ce monde devenu bizarre, ne devrions-pas nous entendre ? N’êtes-vous pas d’accord mon chef ? De plus, c’est très mal poli de pointer une arme sur une demoiselle. Vous n’avez pas apprit les bonnes manières ? »
Je ne recherchais pas du tout à mettre de l’huile sur le feu je vous l’assure. Mais, devant l’aura menaçante je me reculais, me camouflant derrière ce gars bizarre. Alors que la tension dans l'air atteignait son paroxysme, je commençais à réaliser la gravité de la situation. Non seulement les bandits semblaient de plus en plus déterminés, mais j'avais également pris conscience de l'identité de mon "partenaire" d'infortune. Suigetsu Hozuki, membre de Taka, le groupe de criminels dirigé par Sasuke Uchiha. C'était ma veine, bien sûr. Pourquoi fallait-il que je me retrouve mêlé à un membre de ce groupe notoirement dangereux ?
Soudain, l'envie de me dégager de cette situation prit le dessus, et dans un geste impulsif, je poussai fortement Suigetsu devant moi. Sans autre forme d'explication, je me mis à courir à toutes jambes, balbutiant des excuses absurdes en me sentant à moitié coupable, mais espérant simplement échapper à ce mauvais pas.
« Je, je m'excuse, vraiment, je n'avais pas l'intention de vous causer des ennuis ! Bonne chance avec tout ça ! Je prierais pour vous ! »
J'espérais que ma fuite inattendue distrairait les bandits suffisamment longtemps pour me permettre de disparaître dans les ruelles de Kiri. Cependant, le destin avait d'autres plans pour moi. Alors que je courais, une mauvaise surprise m'attendait : le corps de Juugo gisait au sol, et je me retrouvai de nouveau avec la pointe d'une lame sur la nuque. La situation devenait de plus en plus absurde, et je ne savais pas comment j'allais m'en sortir cette fois-ci.
La pointe de la lame sur ma nuque et le corps inerte de ce nouveau gars, m'indiquaient clairement que cette situation avait atteint un point de non-retour. Les bandits étaient furieux et impatients, et ma tentative de fuite précipitée avait échoué de manière désastreuse. Pour aggraver encore les choses, les bandits avaient repéré le corps endormi du partenaire du Hozuki, qui gisait inconscient à proximité et ce, par ma faute, mais je ne me sentais pas responsable le moins du monde.
Les shinobis, se précipitèrent vers nous, arrachant nos armes et fouillant nos affaires avec une brutalité inouïe. Mon manque de chakra m'empêchait de résister, et je restai impuissant alors qu'ils prenaient tout ce que nous avions de valeur. Ce qui s’est révélé pas grand-chose et reprirent les vivres que je leur avait dérobés.
Enfin, je me plains, mais je n’ai pas été fouillés, sûrement parce qu’ils pensaient que j’étais une fille et que je ne leur avais donné aucune raison de croire autre chose que j’étais autre chose qu’impuissant. Par contre, pour les deux membres de Taka, c’était une autre histoire. Le fait aussi que je ne me débatte pas non plus, allait dans ce sens.
Alors que les bandits terminaient leur pillage, ils échangèrent un regard de satisfaction, certains d'avoir trouvé un véritable trésor. Ils semblaient avoir oublié mon petit numéro de comédie absurde. Enfin, sans la moindre pitié, nous fûmes ligotés comme des saucissons et poussés sans ménagement, Juugo étant traîné inconscient, ils n’y allaient pas de main morte, je serais surpris s’il n’avait pas de bosses où de bleus et Suigetsu menotté avec une paire de menottes en plus.
Finalement, nous fûmes jetés dans une cellule sombre et humide, les shinobis de Kiri refermant violemment la porte derrière nous. La situation était devenue plus que ridicule. Trois ninjas puissants réduits à l'impuissance, tout ça à cause d'une rencontre absurde avec une bande de malotrus. Certes, la situation fut provoquée par mes soins, mais ce n’est pas comme je leur avais volé de l’argent enfin, si.. . Alors que je regardais autour de moi, je me demandais comment diable nous allions nous sortir de ce guêpier bien que ce fut que de courte durée et je finis par me plaindre en soupirant de manière fataliste.
« Aaaaaaaaaah… Pourquoi a t’il fallu que je tombe sur vous les gars de Taka.. Ah.. Tristesse.. Et je meurs de faim. Je ne veux pas mourir de faim… »
Quand il me salua, je revins abruptement à moi aidés par les bruits de pas qui s’approchaient. J'observai l'homme, Haruki, sans voix, essayant de comprendre la situation. Mon souffle haletant témoignait de mon épuisement, mais la bizarrerie de notre rencontre semblait nous avoir momentanément distraits, nous deux incarnations de l'absurdité dans cette course poursuite. Mon esprit était en ébullition, cherchant désespérément une issue à ma situation.
« Je suis.. »
Je n’eus malheureusement pas le temps de me présenter à lui. Ces shinobis de Kiri ne semblaient vraiment pas commodes. Je fis marcher mon cerveau et, trouva rapidement la solution à mon problème en faisant porter le chapeau à ma nouvelle rencontre. Le regard de Suigetsu était empreint d'amusement, et ses éclats de rire résonnaient dans l'air, contrastant avec l'atmosphère tendue de la confrontation avec les shinobis de Kiri. La situation était devenue une comédie absurde, et il était clair que Suigetsu ne pouvait pas s'empêcher de trouver de l'humour dans la tournure des événements. Je me retrouvais à genoux, couvert de boue, tentant de jouer le rôle d'une pauvre jeune fille sans défense. La folie de mon stratagème m'avait peut-être sauvé de la colère des shinobis, mais elle avait également attiré l'attention et la moquerie de Suigetsu.
Suigetsu se pencha en avant, se tenant les hanches, et évoqua le fait que je l'avais désigné comme le grand chef Hozuki. Son ton était moqueur, mais il semblait jouer le jeu, ajoutant une touche d'absurdité à cette situation déjà folle. Néanmoins, ma détermination à m'échapper de cette situation absurde demeurait intacte. Alors, je regardais toujours les shinobis contrariés et m’adressais à eux très sérieusement malgré la folie de mes paroles.
« Eh bien, oui, le chef Hozuki, m'a donné cet ordre pour tester votre vigilance. Je ne suis qu'une innocente jeune fille, après tout. »
Mon regard était suppliant, et j'espérais que les shinobis, bien que perplexes, se laisseraient distraire par cette farce absurde. J'étais conscient que ce jeu de rôle était comme un pari, mais c'était peut-être ma seule chance de m'échapper indemne. La tension dans l'air était palpable, et l'absurdité régnait en maîtresse dans cette ruelle de Kiri. Suigetsu, en chef de clan improvisé, jouait un rôle qui le dépassait, tandis que moi, en frêle jeune fille supposée, attendais avec espoir que cette farce prenne fin sans encombre. Le destin nous avait réunis dans un instant de folie, et l'issue de cette comédie improvisée restait incertaine.
Suigetsu, visiblement amusé et incrédule face à la tournure des événements, observait avec une pointe de sarcasme ma performance de jeune fille sans défense. Sa réaction était mêlée de moquerie et d'amusement, comme s'il appréciait l'audace de ma comédie improvisée.
Son humour mordant était évident, et malgré ma situation difficile, je ne pouvais m'empêcher de sourire légèrement. La folie de cette rencontre dans les rues de Kiri était presque comique, et l'attitude détachée de Suigetsu avait quelque chose de rafraîchissant. J'avais peut-être réussi à semer la confusion, mais il était temps de mettre un terme à cette farce et de me retirer avec un peu de dignité. Je pris au premier degré sa demande que je puisse partir. Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je suis certain qu’il s’en sortirait. Il semblait costaud.
« Merci, merci beaucoup ! Vous êtes vraiment magnanime, monsieur le chef Hozuki. »
Sans attendre une seconde de plus, je me levai précipitamment, prêt à fuir cette ruelle et à mettre fin à cette série d'événements absurdes. Sauf, que la suite des évènements, ne se déroula pas comme je l’avais prévu. Le gars, ne semblait pas prêt à accepter le rôle que je lui donnais. Pourtant, il était bien mon rôle faisant de lui, le chef des voleurs non ? Normalement, tout le monde est amoureux d’avoir le rôle de leader, pff. Vraiment, les jeunes d’aujourd’hui, plus aucune reconnaissance, c’est moi qui vous le dit !
L’atmorsphère devenait de plus en plus tendue alors que Suigetsu tentait de calmer les bandits, qui semblaient convaincus qu'il était impliqué dans le vol présumé. Les armes étaient toujours pointées dans leur direction, et la situation devenait de plus en plus délicate. Je m’étais dissimulé derrière son dos, prêt à prendre la fuite, mais je finis par prendre une inspiration, essayant de réfléchir rapidement à une solution. Je m’approchais de lui m’agrippa à son dos pour donner plus de poids à ma personnalité frêle et penché la tête sur le côté :
« Entre shinobis perdus dans ce monde devenu bizarre, ne devrions-pas nous entendre ? N’êtes-vous pas d’accord mon chef ? De plus, c’est très mal poli de pointer une arme sur une demoiselle. Vous n’avez pas apprit les bonnes manières ? »
Je ne recherchais pas du tout à mettre de l’huile sur le feu je vous l’assure. Mais, devant l’aura menaçante je me reculais, me camouflant derrière ce gars bizarre. Alors que la tension dans l'air atteignait son paroxysme, je commençais à réaliser la gravité de la situation. Non seulement les bandits semblaient de plus en plus déterminés, mais j'avais également pris conscience de l'identité de mon "partenaire" d'infortune. Suigetsu Hozuki, membre de Taka, le groupe de criminels dirigé par Sasuke Uchiha. C'était ma veine, bien sûr. Pourquoi fallait-il que je me retrouve mêlé à un membre de ce groupe notoirement dangereux ?
Soudain, l'envie de me dégager de cette situation prit le dessus, et dans un geste impulsif, je poussai fortement Suigetsu devant moi. Sans autre forme d'explication, je me mis à courir à toutes jambes, balbutiant des excuses absurdes en me sentant à moitié coupable, mais espérant simplement échapper à ce mauvais pas.
« Je, je m'excuse, vraiment, je n'avais pas l'intention de vous causer des ennuis ! Bonne chance avec tout ça ! Je prierais pour vous ! »
J'espérais que ma fuite inattendue distrairait les bandits suffisamment longtemps pour me permettre de disparaître dans les ruelles de Kiri. Cependant, le destin avait d'autres plans pour moi. Alors que je courais, une mauvaise surprise m'attendait : le corps de Juugo gisait au sol, et je me retrouvai de nouveau avec la pointe d'une lame sur la nuque. La situation devenait de plus en plus absurde, et je ne savais pas comment j'allais m'en sortir cette fois-ci.
La pointe de la lame sur ma nuque et le corps inerte de ce nouveau gars, m'indiquaient clairement que cette situation avait atteint un point de non-retour. Les bandits étaient furieux et impatients, et ma tentative de fuite précipitée avait échoué de manière désastreuse. Pour aggraver encore les choses, les bandits avaient repéré le corps endormi du partenaire du Hozuki, qui gisait inconscient à proximité et ce, par ma faute, mais je ne me sentais pas responsable le moins du monde.
Les shinobis, se précipitèrent vers nous, arrachant nos armes et fouillant nos affaires avec une brutalité inouïe. Mon manque de chakra m'empêchait de résister, et je restai impuissant alors qu'ils prenaient tout ce que nous avions de valeur. Ce qui s’est révélé pas grand-chose et reprirent les vivres que je leur avait dérobés.
Enfin, je me plains, mais je n’ai pas été fouillés, sûrement parce qu’ils pensaient que j’étais une fille et que je ne leur avais donné aucune raison de croire autre chose que j’étais autre chose qu’impuissant. Par contre, pour les deux membres de Taka, c’était une autre histoire. Le fait aussi que je ne me débatte pas non plus, allait dans ce sens.
Alors que les bandits terminaient leur pillage, ils échangèrent un regard de satisfaction, certains d'avoir trouvé un véritable trésor. Ils semblaient avoir oublié mon petit numéro de comédie absurde. Enfin, sans la moindre pitié, nous fûmes ligotés comme des saucissons et poussés sans ménagement, Juugo étant traîné inconscient, ils n’y allaient pas de main morte, je serais surpris s’il n’avait pas de bosses où de bleus et Suigetsu menotté avec une paire de menottes en plus.
Finalement, nous fûmes jetés dans une cellule sombre et humide, les shinobis de Kiri refermant violemment la porte derrière nous. La situation était devenue plus que ridicule. Trois ninjas puissants réduits à l'impuissance, tout ça à cause d'une rencontre absurde avec une bande de malotrus. Certes, la situation fut provoquée par mes soins, mais ce n’est pas comme je leur avais volé de l’argent enfin, si.. . Alors que je regardais autour de moi, je me demandais comment diable nous allions nous sortir de ce guêpier bien que ce fut que de courte durée et je finis par me plaindre en soupirant de manière fataliste.
« Aaaaaaaaaah… Pourquoi a t’il fallu que je tombe sur vous les gars de Taka.. Ah.. Tristesse.. Et je meurs de faim. Je ne veux pas mourir de faim… »
Suigetsu éclata de rire face à cette situation absurde. Il ne pouvait s'empêcher de trouver de l'humour dans le stratagème visant à le désigner comme le grand chef Hozuki. Sa réaction moqueuse ajouta une touche de comédie à une situation déjà délirante. Se penchant en avant, se tenant les hanches, il laissa échapper un rire sarcastique avant de répondre.
« Je ne savais pas que j'étais si célèbre. »
Il continua de rire, trouvant manifestement du plaisir dans ce jeu de rôle insensé. Cependant, sa moquerie avait également un ton joueur, comme s'il entrait dans la farce avec vous. Après tout, il aimait clairement l'absurdité de la situation.
Pendant ce temps, les shinobis de Kiri semblaient perplexes face à cette comédie inattendue. La tension régnait dans l'air, et votre détermination à échapper à cette situation ne faiblissait pas, malgré l'absurdité du jeu de rôle. Vous espériez que les shinobis, bien que contrariés, seraient suffisamment distraits par cette farce pour vous laisser partir sans encombre.
Suigetsu, quant à lui, continuait de jouer le jeu, ajoutant un élément de folie à l'ensemble de la situation. Il était clair qu'il ne prenait pas cette situation au sérieux et qu'il se laissait emporter par le délire de cette scène comique improvisée. La façon dont tout cela se déroulerait restait incertaine, mais au moins, dans cet instant de folie, vous aviez trouvé un allié improbable en Suigetsu.
Dans un éclat de rire sarcastique, il ne pouvait s'empêcher de trouver la situation hilarante. La jeune femme semblait prendre au sérieux son imitation du chef Hozuki, ce qui ne faisait qu'ajouter à l'absurdité de la scène. Elle le remerciait même avec une dose exagérée de gratitude, jouant le rôle de la demoiselle en détresse. C'était presque trop pour lui. Pourtant, malgré son attitude sérieuse, il ne pouvait pas s'empêcher de se demander si elle se rendait compte du ridicule de la situation. Il était simplement un passant, un vagabond qui avait été entraîné dans cette farce improvisée. Si elle avait cru qu'il allait jouer le jeu sérieusement, elle se trompait lourdement. Il n'était pas le genre de personne à s'engager dans des jeux de rôle, surtout dans des situations aussi étranges que celle-ci.
Son enthousiasme feint tira un sourire ironique à notre protagoniste. Avant qu'il puisse répondre, elle se leva soudainement, prête à s'éclipser de cette situation tout aussi rapidement qu'elle était venue. Cependant, au lieu de partir, elle sembla remarquer son manque de coopération dans son petit jeu de rôle. Son expression passa de la gratitude à la perplexité, puis à la frustration.
« Écoutez, ma chère, je ne suis qu'un simple passant. Je ne suis pas le chef des voleurs, et je ne vais pas jouer à ce petit jeu avec vous. Désolé de briser votre illusion, mais je ne fais pas partie de votre comédie improvisée. »
Suigetsu sentait la tension de la situation monter en flèche alors que les shinobis semblaient de plus en plus convaincus de sa culpabilité. Les armes étaient pointées dans leur direction, et il cherchait désespérément un moyen de désamorcer la situation. La présence de son mystérieux compagnon de fortune, Haruki, qui s'accrochait à son dos, n'aidait en rien à calmer les esprits agités. Il se sentait coincé, mais il n'avait pas l'intention de se laisser intimider par ces bandits. Il avait de sérieux doutes sur le fait qu’il s’agisse de véritables shinobis de Kiri. Vu les corps endormis, il était très possible qu’ils aient volés les bandeaux.
Cependant, les mots de Haruki ne firent qu'ajouter une couche de complexité à la situation déjà tendue. La jeune femme tenta de jouer la carte de la diplomatie en suggérant que, en tant que shinobis perdus dans ce monde étrange, ils devraient trouver un terrain d'entente. Il ajouta un commentaire sur le manque de politesse des bandits en pointant des armes sur une demoiselle.
Suigetsu soupira intérieurement en sentant la situation devenir de plus en plus problématique. Il n'était pas sûr que la diplomatie puisse fonctionner avec ces bandits, qui semblaient plus enclins à la violence qu'à la discussion. Cependant, il n'avait pas l'intention de laisser Haruki « seule » face à cette menace.
« Hé, gamine, c'est peut-être pas le meilleur moment pour donner des leçons de politesse à ces types, » répondit-il d'un ton calme mais ferme.
Il se tourna légèrement pour mieux couvrir Haruki de son corps, tout en gardant un œil sur les bandits. Son regard était sérieux, mais il avait une lueur d'espoir. « Écoutez, nous ne voulons pas de problèmes. »
Si cela ne tenait qu’à lui, il les aurait déjà tué. Il soupira et, mais elle se collait pas un peu trop dans son dos ? Il en un frisson qui lui parcourut l’échine et lui offrit un regard mortel tout en râlant.
« Hé, lâches-moi. Je ne supporte pas qu’on se tient à moi. Il n’y a que Chaton qui le peut ! »
Suigetsu se retrouva soudainement projeté en avant, poussé par Haruki dans un geste impulsif et inattendu. Il vacilla un instant avant de se redresser, mais Haruki, lui, prit la fuite sans attendre, balbutiant des excuses absurdes en cours de route. Suigetsu cligna des yeux, surpris par cette soudaine trahison, mais il n'eut pas le temps de réagir. Haruki s'échappa, laissant Suigetsu seul face aux bandits. Les bandits, furieux de voir leur voleuse s'échapper, se tournèrent vers Suigetsu avec une colère renouvelée. La situation était devenue encore plus dangereuse, et Suigetsu se maudit intérieurement pour s'être laissé entraîner dans cette affaire absurde.
Alors qu'il tentait de se relever, Suigetsu aperçut le corps inerte de Juugo gisant au sol. La pointe d'une lame froide se posa contre la nuque de Haruki, qui avait été rattrapé par les bandits. La tension monta d'un cran, et Suigetsu se rendit compte qu'ils étaient tous deux dans une position précaire.
Les bandits, furieux et impatients, entreprirent de fouiller les deux ninjas, les dépouillant de leurs armes et de leurs affaires avec une brutalité sans retenue. Suigetsu était impuissant face à leur agression, son manque de chakra le privant de la capacité de résister. Il était forcé de regarder, tandis que les bandits prenaient tout ce qu'ils avaient de valeur, y compris les vivres qu'Haruki avait dérobés précédemment.
Cependant, il fut épargné de la fouille, probablement en raison de son apparence plutôt féminine et du fait qu'il n'avait pas donné aux bandits de raison de le croire menaçant. Alors que les bandits semblaient satisfaits de leur pillage, Suigetsu fut menotté avec des menottes spécialement conçues pour les shinobis, qui l'empêchèrent d'utiliser son chakra pour se libérer. Il se retrouva également lié à Juugo, qui avait été traîné sans ménagement, inconscient.
Finalement, les trois prisonniers furent jetés dans une cellule sombre et humide, les portes se refermant brutalement derrière eux. La situation était désormais plus que ridicule, et Suigetsu se sentait tout sauf impressionné par la tournure des événements. Trois ninjas puissants, réduits à l'impuissance, enfermés dans une cellule crasseuse à cause d'une rencontre absurde avec une bande de malfrats. La situation était aussi inattendue qu'inconfortable.
Alors que Suigetsu observait le lugubre intérieur de la cellule, Haruki laissa échapper un soupir fataliste, se plaignant de sa faim et de leur situation désastreuse. Suigetsu soupira à son tour, secouant la tête.
« Je ne peux pas croire que nous nous sommes retrouvés dans ce pétrin à cause d'une rencontre aussi stupide. Si seulement ce gamin n'avait pas décidé de jouer à la comédie. »
Le gamin voulait jouer à ça ? Ils étaient deux. Oui, parce qu’il l’avait tellement bien collé que… le jeune homme prit une décision audacieuse et risquée. D'un geste impulsif, il s'approcha de Haruki et écarta brusquement les pans du kimono, révélant une poitrine clairement plate sous les vêtements. La révélation choquante de l'absence de poitrine donna à Suigetsu un air stupéfait et amusé à la fois. Il se laissa emporter par un éclat de rire, trouvant la situation plus que comique.
« Ah, c'est ce que je pensais, » dit-il, reprenant son sérieux. « Tu t'es vraiment surpassé dans ton rôle, gamin. Bien joué. Mais attention, à Kiri, ça peut être risqué de jouer de cette façon. Ces types ne plaisantent pas. Et d’ailleurs, je te signale que c’est ta faute si mon partenaire et moi sommes coincés ici pas le contraire gamin ! »
Il lui offrit une pichenette sur le front. Sérieusement, si il examinait bien la cellule, il n’y aurait pas trop de difficulté à s’échapper, mais il devait transporter son ami. C’était pénible et il avait peu de chakra.. Se passant une main dans les cheveux afin de replacer certaines mèches derrière, il le fixa :
« Oh, miss problème, tu as un nom? Pas entourloupe cette-fois où je te coupe la tête. »
Avec quoi ? Ils avaient dérobé son arme. Pas que c’était le sabre qu’il désirait, mais il y tenait malgré tout. Tsk. Pourquoi, il fallait que genre de chose n’arrivent qu’à lui hein ?
« Je ne savais pas que j'étais si célèbre. »
Il continua de rire, trouvant manifestement du plaisir dans ce jeu de rôle insensé. Cependant, sa moquerie avait également un ton joueur, comme s'il entrait dans la farce avec vous. Après tout, il aimait clairement l'absurdité de la situation.
Pendant ce temps, les shinobis de Kiri semblaient perplexes face à cette comédie inattendue. La tension régnait dans l'air, et votre détermination à échapper à cette situation ne faiblissait pas, malgré l'absurdité du jeu de rôle. Vous espériez que les shinobis, bien que contrariés, seraient suffisamment distraits par cette farce pour vous laisser partir sans encombre.
Suigetsu, quant à lui, continuait de jouer le jeu, ajoutant un élément de folie à l'ensemble de la situation. Il était clair qu'il ne prenait pas cette situation au sérieux et qu'il se laissait emporter par le délire de cette scène comique improvisée. La façon dont tout cela se déroulerait restait incertaine, mais au moins, dans cet instant de folie, vous aviez trouvé un allié improbable en Suigetsu.
Dans un éclat de rire sarcastique, il ne pouvait s'empêcher de trouver la situation hilarante. La jeune femme semblait prendre au sérieux son imitation du chef Hozuki, ce qui ne faisait qu'ajouter à l'absurdité de la scène. Elle le remerciait même avec une dose exagérée de gratitude, jouant le rôle de la demoiselle en détresse. C'était presque trop pour lui. Pourtant, malgré son attitude sérieuse, il ne pouvait pas s'empêcher de se demander si elle se rendait compte du ridicule de la situation. Il était simplement un passant, un vagabond qui avait été entraîné dans cette farce improvisée. Si elle avait cru qu'il allait jouer le jeu sérieusement, elle se trompait lourdement. Il n'était pas le genre de personne à s'engager dans des jeux de rôle, surtout dans des situations aussi étranges que celle-ci.
Son enthousiasme feint tira un sourire ironique à notre protagoniste. Avant qu'il puisse répondre, elle se leva soudainement, prête à s'éclipser de cette situation tout aussi rapidement qu'elle était venue. Cependant, au lieu de partir, elle sembla remarquer son manque de coopération dans son petit jeu de rôle. Son expression passa de la gratitude à la perplexité, puis à la frustration.
« Écoutez, ma chère, je ne suis qu'un simple passant. Je ne suis pas le chef des voleurs, et je ne vais pas jouer à ce petit jeu avec vous. Désolé de briser votre illusion, mais je ne fais pas partie de votre comédie improvisée. »
Suigetsu sentait la tension de la situation monter en flèche alors que les shinobis semblaient de plus en plus convaincus de sa culpabilité. Les armes étaient pointées dans leur direction, et il cherchait désespérément un moyen de désamorcer la situation. La présence de son mystérieux compagnon de fortune, Haruki, qui s'accrochait à son dos, n'aidait en rien à calmer les esprits agités. Il se sentait coincé, mais il n'avait pas l'intention de se laisser intimider par ces bandits. Il avait de sérieux doutes sur le fait qu’il s’agisse de véritables shinobis de Kiri. Vu les corps endormis, il était très possible qu’ils aient volés les bandeaux.
Cependant, les mots de Haruki ne firent qu'ajouter une couche de complexité à la situation déjà tendue. La jeune femme tenta de jouer la carte de la diplomatie en suggérant que, en tant que shinobis perdus dans ce monde étrange, ils devraient trouver un terrain d'entente. Il ajouta un commentaire sur le manque de politesse des bandits en pointant des armes sur une demoiselle.
Suigetsu soupira intérieurement en sentant la situation devenir de plus en plus problématique. Il n'était pas sûr que la diplomatie puisse fonctionner avec ces bandits, qui semblaient plus enclins à la violence qu'à la discussion. Cependant, il n'avait pas l'intention de laisser Haruki « seule » face à cette menace.
« Hé, gamine, c'est peut-être pas le meilleur moment pour donner des leçons de politesse à ces types, » répondit-il d'un ton calme mais ferme.
Il se tourna légèrement pour mieux couvrir Haruki de son corps, tout en gardant un œil sur les bandits. Son regard était sérieux, mais il avait une lueur d'espoir. « Écoutez, nous ne voulons pas de problèmes. »
Si cela ne tenait qu’à lui, il les aurait déjà tué. Il soupira et, mais elle se collait pas un peu trop dans son dos ? Il en un frisson qui lui parcourut l’échine et lui offrit un regard mortel tout en râlant.
« Hé, lâches-moi. Je ne supporte pas qu’on se tient à moi. Il n’y a que Chaton qui le peut ! »
Suigetsu se retrouva soudainement projeté en avant, poussé par Haruki dans un geste impulsif et inattendu. Il vacilla un instant avant de se redresser, mais Haruki, lui, prit la fuite sans attendre, balbutiant des excuses absurdes en cours de route. Suigetsu cligna des yeux, surpris par cette soudaine trahison, mais il n'eut pas le temps de réagir. Haruki s'échappa, laissant Suigetsu seul face aux bandits. Les bandits, furieux de voir leur voleuse s'échapper, se tournèrent vers Suigetsu avec une colère renouvelée. La situation était devenue encore plus dangereuse, et Suigetsu se maudit intérieurement pour s'être laissé entraîner dans cette affaire absurde.
Alors qu'il tentait de se relever, Suigetsu aperçut le corps inerte de Juugo gisant au sol. La pointe d'une lame froide se posa contre la nuque de Haruki, qui avait été rattrapé par les bandits. La tension monta d'un cran, et Suigetsu se rendit compte qu'ils étaient tous deux dans une position précaire.
Les bandits, furieux et impatients, entreprirent de fouiller les deux ninjas, les dépouillant de leurs armes et de leurs affaires avec une brutalité sans retenue. Suigetsu était impuissant face à leur agression, son manque de chakra le privant de la capacité de résister. Il était forcé de regarder, tandis que les bandits prenaient tout ce qu'ils avaient de valeur, y compris les vivres qu'Haruki avait dérobés précédemment.
Cependant, il fut épargné de la fouille, probablement en raison de son apparence plutôt féminine et du fait qu'il n'avait pas donné aux bandits de raison de le croire menaçant. Alors que les bandits semblaient satisfaits de leur pillage, Suigetsu fut menotté avec des menottes spécialement conçues pour les shinobis, qui l'empêchèrent d'utiliser son chakra pour se libérer. Il se retrouva également lié à Juugo, qui avait été traîné sans ménagement, inconscient.
Finalement, les trois prisonniers furent jetés dans une cellule sombre et humide, les portes se refermant brutalement derrière eux. La situation était désormais plus que ridicule, et Suigetsu se sentait tout sauf impressionné par la tournure des événements. Trois ninjas puissants, réduits à l'impuissance, enfermés dans une cellule crasseuse à cause d'une rencontre absurde avec une bande de malfrats. La situation était aussi inattendue qu'inconfortable.
Alors que Suigetsu observait le lugubre intérieur de la cellule, Haruki laissa échapper un soupir fataliste, se plaignant de sa faim et de leur situation désastreuse. Suigetsu soupira à son tour, secouant la tête.
« Je ne peux pas croire que nous nous sommes retrouvés dans ce pétrin à cause d'une rencontre aussi stupide. Si seulement ce gamin n'avait pas décidé de jouer à la comédie. »
Le gamin voulait jouer à ça ? Ils étaient deux. Oui, parce qu’il l’avait tellement bien collé que… le jeune homme prit une décision audacieuse et risquée. D'un geste impulsif, il s'approcha de Haruki et écarta brusquement les pans du kimono, révélant une poitrine clairement plate sous les vêtements. La révélation choquante de l'absence de poitrine donna à Suigetsu un air stupéfait et amusé à la fois. Il se laissa emporter par un éclat de rire, trouvant la situation plus que comique.
« Ah, c'est ce que je pensais, » dit-il, reprenant son sérieux. « Tu t'es vraiment surpassé dans ton rôle, gamin. Bien joué. Mais attention, à Kiri, ça peut être risqué de jouer de cette façon. Ces types ne plaisantent pas. Et d’ailleurs, je te signale que c’est ta faute si mon partenaire et moi sommes coincés ici pas le contraire gamin ! »
Il lui offrit une pichenette sur le front. Sérieusement, si il examinait bien la cellule, il n’y aurait pas trop de difficulté à s’échapper, mais il devait transporter son ami. C’était pénible et il avait peu de chakra.. Se passant une main dans les cheveux afin de replacer certaines mèches derrière, il le fixa :
« Oh, miss problème, tu as un nom? Pas entourloupe cette-fois où je te coupe la tête. »
Avec quoi ? Ils avaient dérobé son arme. Pas que c’était le sabre qu’il désirait, mais il y tenait malgré tout. Tsk. Pourquoi, il fallait que genre de chose n’arrivent qu’à lui hein ?
La cellule froide et humide était devenue le théâtre de notre étrange destinée. La situation avait dégénéré d'une manière qui aurait été absurde si elle n'avait pas été si périlleuse. Nous nous trouvions enfermés avec Suigetsu, membre de l'infâme groupe Taka, et il ne semblait pas prêt à oublier le spectacle grotesque auquel j'avais donné naissance.
Le regard sarcastique de Suigetsu, associé à un soupçon de résignation, m'exaspéra légèrement. "Si seulement ce gamin n'avait pas décidé de jouer à la comédie." Oui, il était clair que mon acte improvisé ne serait pas oublié de sitôt.
Cependant, à ce moment précis, dans cette situation désespérée, je réalisais que l'absurdité pourrait être notre meilleure arme pour nous échapper de ce pétrin. Quand Suigetsu se rapprocha soudainement de moi, il écarta brusquement les pans de mon kimono pour révéler... rien. Pas de poitrine. Ou plutôt, l'absence flagrante de seins. Mon objectif était simple : dissiper tous les doutes concernant ma prétendue identité de "jeune demoiselle sans défense".
La réaction de Suigetsu fut inattendue et hilarante. Un rire éclatant, empreint de moquerie, jaillit de sa bouche. Le choc initial fut rapidement suivi d'une vague de gêne mêlée à l'amusement. Je ne m'attendais pas à ce que mon petit stratagème fonctionne, mais il semblait que l'absurdité puisse être notre meilleur atout dans cette situation absurde.
« Je suppose que c'est une manière de prouver que je ne suis pas une demoiselle en détresse. »
Déclarai-je, souriant avec un brin de défi dans le regard. Le rire précédent s'était transformé en une tension palpable, notre survie étant en jeu. Le jeu de l'absurdité que j'avais si habilement interprété pour sauver momentanément nos vies avait atteint ses limites. Suigetsu semblait comprendre la gravité de la situation, abandonnant temporairement son amusement pour une approche plus sérieuse.Il avait raison, bien sûr. Ma tentative de tromperie avait provoqué notre capture. Mais dans le chaos de ce qui s'était passé, il semblait que l'absurdité était devenue notre alliée involontaire, nous offrant un bref répit.
Il avait raison, bien sûr. Ma tentative de tromperie avait provoqué notre capture. Mais dans le chaos de ce qui s'était passé, il semblait que l'absurdité était devenue notre alliée involontaire, nous offrant un bref répit.
« Je m'excuse pour le coup de pouce involontaire que j'ai apporté à notre capture ! Et pour répondre à ta question, je m'appelle Haruki. Et toi, tu es Suigetsu, membre de Taka, si j'ai bien tout suivi. »
Ma déclaration nous replongea dans la réalité de notre situation. Nous étions toujours ligotés dans une cellule, sans armes ni chakra, et les bandits attendaient toujours une réponse à leurs exigences. Le temps jouait contre nous, et nous devions trouver un moyen de négocier avec eux, ou, mieux encore, de trouver un moyen de nous échapper. La situation était plus que déconcertante, elle était humiliante. Un membre de Taka, un membre de la légendaire équipe Sasuke Uchiha, était actuellement ligoté dans une cellule aux côtés d'un inconnu qui avait prétendu être une demoiselle en détresse. Cette pensée seule aurait été suffisante pour déclencher un autre éclat de rire chez Suigetsu apparemment.
Suigetsu s'approcha de la porte de la cellule et essaya de la pousser, mais il était évident qu'elle était solidement verrouillée. Les bandits, pour le peu que j'avais pu en voir, semblaient bien déterminés à ne pas nous laisser partir. Nous étions leurs prisonniers, et ils avaient des plans pour nous.
Nous nous tînmes silencieux pendant un moment, chacun perdu dans ses pensées. La situation était absurde, mais il était temps de réfléchir à un plan pour sortir de cette situation délicate. Nous étions des shinobis, après tout, et même sans nos armes ou notre chakra, nous devions avoir des compétences qui pourraient nous être utiles. La question était de savoir comment les utiliser.
« Nous devons trouver un moyen de sortir d'ici. »
Dis-je, brisant le silence pesant.
« Je doute qu'ils aient l'intention de nous garder éternellement. Ils veulent quelque chose. Et tant qu'ils n'auront pas obtenu ce qu'ils veulent, nous avons une chance de nous échapper. Sinon, pourquoi nous garder hein ? »
C’était une bonne question, moi-même de mon côté, je commençais fortement à douter sur la légitimité de leurs bandeaux frontaux. Un shinobi, particulièrement de Kiri, en sachant que devant eux, ils avaient des membres de l’infâme groupe Taka, peu de place à la miséricorde. Si les shinobis de Kiri étaient craints, c’était justement pour leur sens du meurtre. Alors, qu’ils nous enferment ici… Et au pire, ils auraient eu juste à récupérer nos vivres, mais non, ils nous ont emmené à cet endroit miteux. Il manquerait plus qu’ils nous donnent les tenues des prisonniers et j’étais partit pour faire Hara-kiri.
Nous continuâmes à discuter en chuchotant des différentes options qui s'offraient à nous. Il était clair que la situation exigeait une approche subtile et réfléchie. C'était à présent une question de ruse et de patience, plutôt que de force brute. Suigetsu et moi étions prêts à exploiter notre intelligence pour surmonter cet obstacle absurde. Cependant, la vie réservait encore quelques surprises. Alors que nous cherchions des solutions, une ombre apparut soudainement devant la cellule, suivie de près par plusieurs bandits armés. Ils semblaient déterminés à s'assurer que nous ne puissions pas nous échapper.
Mon estomac se serra en comprenant que les choses allaient devenir encore plus compliquées. Suigetsu et moi étions dans une situation difficile, et il ne faisait aucun doute que les bandits étaient déterminés à obtenir ce qu'ils voulaient, coûte que coûte.
« Pour l'instant, essayons de découvrir ce que ces bandits veulent et comment nous pourrions les convaincre de nous laisser partir. »
Quel autre choix avons-nous hein ? D’un autre côté, cela ne me plaisait pas de savoir.. Je regarde le corps endormi et je me posais une question en soulevant mon éventail et l’ouvrant pour me ventiler.
« Ton leader.. Sasuke n’est pas dans les parages ? »
Je me foutais bien qu’il soit de Taka ou non, mais Sasuke Uchiha était célèbre. S’il était dans les parages, il se rendrait bien compte que deux de ses membres sont absents non ? Sauf que j’ai l’impression que le chance n’est vraiment pas de mon côté. Et voilà que mon estomac se met à nouveau à crier. Dans l'obscurité de notre cellule, mes pensées tournaient à toute vitesse pour trouver une solution à notre situation désespérée. Alors que Suigetsu et moi étions ligotés, les bandits semblaient déterminés à nous garder emprisonnés. Je réfléchissais à toutes les informations que j'avais sur la disposition de l'endroit où nous étions retenus, cherchant désespérément un moyen de sortir de cette situation rocambolesque.
Soudain, une idée me traversa l'esprit. Je me tournai vers Suigetsu, mes yeux brillant d'une lueur d'enthousiasme mêlée à l'inquiétude, je lui murmure.
« Suigetsu, Peut-être que nous pouvons utiliser la réputation de ton clan à notre avantage. »
Mon plan était risqué, mais c'était notre meilleure chance de sortir d'ici indemnes. Je savais que les Hozuki avaient la capacité de se transformer en eau à volonté. Si Suigetsu pouvait utiliser sa technique pour se liquéfier, il pourrait passer à travers les barreaux de la cellule sans être détecté. L'idée était de faire en sorte que les bandits croient que nous avions fui, les incitant ainsi à ouvrir la porte de notre cellule pour vérifier.
« Écoute-moi attentivement.. »
Mon esprit travaillant frénétiquement pour peaufiner le plan.
« Lorsque tu seras à l'extérieur de la cellule, reste près de la porte et garde-toi hors de leur vue. Je vais essayer de les convaincre que je suis seul ici, que tu as réussi à t'échapper. Ils seront probablement plus prompts à ouvrir la porte s'ils pensent que tu es parti. »
Le regard sarcastique de Suigetsu, associé à un soupçon de résignation, m'exaspéra légèrement. "Si seulement ce gamin n'avait pas décidé de jouer à la comédie." Oui, il était clair que mon acte improvisé ne serait pas oublié de sitôt.
Cependant, à ce moment précis, dans cette situation désespérée, je réalisais que l'absurdité pourrait être notre meilleure arme pour nous échapper de ce pétrin. Quand Suigetsu se rapprocha soudainement de moi, il écarta brusquement les pans de mon kimono pour révéler... rien. Pas de poitrine. Ou plutôt, l'absence flagrante de seins. Mon objectif était simple : dissiper tous les doutes concernant ma prétendue identité de "jeune demoiselle sans défense".
La réaction de Suigetsu fut inattendue et hilarante. Un rire éclatant, empreint de moquerie, jaillit de sa bouche. Le choc initial fut rapidement suivi d'une vague de gêne mêlée à l'amusement. Je ne m'attendais pas à ce que mon petit stratagème fonctionne, mais il semblait que l'absurdité puisse être notre meilleur atout dans cette situation absurde.
« Je suppose que c'est une manière de prouver que je ne suis pas une demoiselle en détresse. »
Déclarai-je, souriant avec un brin de défi dans le regard. Le rire précédent s'était transformé en une tension palpable, notre survie étant en jeu. Le jeu de l'absurdité que j'avais si habilement interprété pour sauver momentanément nos vies avait atteint ses limites. Suigetsu semblait comprendre la gravité de la situation, abandonnant temporairement son amusement pour une approche plus sérieuse.Il avait raison, bien sûr. Ma tentative de tromperie avait provoqué notre capture. Mais dans le chaos de ce qui s'était passé, il semblait que l'absurdité était devenue notre alliée involontaire, nous offrant un bref répit.
Il avait raison, bien sûr. Ma tentative de tromperie avait provoqué notre capture. Mais dans le chaos de ce qui s'était passé, il semblait que l'absurdité était devenue notre alliée involontaire, nous offrant un bref répit.
« Je m'excuse pour le coup de pouce involontaire que j'ai apporté à notre capture ! Et pour répondre à ta question, je m'appelle Haruki. Et toi, tu es Suigetsu, membre de Taka, si j'ai bien tout suivi. »
Ma déclaration nous replongea dans la réalité de notre situation. Nous étions toujours ligotés dans une cellule, sans armes ni chakra, et les bandits attendaient toujours une réponse à leurs exigences. Le temps jouait contre nous, et nous devions trouver un moyen de négocier avec eux, ou, mieux encore, de trouver un moyen de nous échapper. La situation était plus que déconcertante, elle était humiliante. Un membre de Taka, un membre de la légendaire équipe Sasuke Uchiha, était actuellement ligoté dans une cellule aux côtés d'un inconnu qui avait prétendu être une demoiselle en détresse. Cette pensée seule aurait été suffisante pour déclencher un autre éclat de rire chez Suigetsu apparemment.
Suigetsu s'approcha de la porte de la cellule et essaya de la pousser, mais il était évident qu'elle était solidement verrouillée. Les bandits, pour le peu que j'avais pu en voir, semblaient bien déterminés à ne pas nous laisser partir. Nous étions leurs prisonniers, et ils avaient des plans pour nous.
Nous nous tînmes silencieux pendant un moment, chacun perdu dans ses pensées. La situation était absurde, mais il était temps de réfléchir à un plan pour sortir de cette situation délicate. Nous étions des shinobis, après tout, et même sans nos armes ou notre chakra, nous devions avoir des compétences qui pourraient nous être utiles. La question était de savoir comment les utiliser.
« Nous devons trouver un moyen de sortir d'ici. »
Dis-je, brisant le silence pesant.
« Je doute qu'ils aient l'intention de nous garder éternellement. Ils veulent quelque chose. Et tant qu'ils n'auront pas obtenu ce qu'ils veulent, nous avons une chance de nous échapper. Sinon, pourquoi nous garder hein ? »
C’était une bonne question, moi-même de mon côté, je commençais fortement à douter sur la légitimité de leurs bandeaux frontaux. Un shinobi, particulièrement de Kiri, en sachant que devant eux, ils avaient des membres de l’infâme groupe Taka, peu de place à la miséricorde. Si les shinobis de Kiri étaient craints, c’était justement pour leur sens du meurtre. Alors, qu’ils nous enferment ici… Et au pire, ils auraient eu juste à récupérer nos vivres, mais non, ils nous ont emmené à cet endroit miteux. Il manquerait plus qu’ils nous donnent les tenues des prisonniers et j’étais partit pour faire Hara-kiri.
Nous continuâmes à discuter en chuchotant des différentes options qui s'offraient à nous. Il était clair que la situation exigeait une approche subtile et réfléchie. C'était à présent une question de ruse et de patience, plutôt que de force brute. Suigetsu et moi étions prêts à exploiter notre intelligence pour surmonter cet obstacle absurde. Cependant, la vie réservait encore quelques surprises. Alors que nous cherchions des solutions, une ombre apparut soudainement devant la cellule, suivie de près par plusieurs bandits armés. Ils semblaient déterminés à s'assurer que nous ne puissions pas nous échapper.
Mon estomac se serra en comprenant que les choses allaient devenir encore plus compliquées. Suigetsu et moi étions dans une situation difficile, et il ne faisait aucun doute que les bandits étaient déterminés à obtenir ce qu'ils voulaient, coûte que coûte.
« Pour l'instant, essayons de découvrir ce que ces bandits veulent et comment nous pourrions les convaincre de nous laisser partir. »
Quel autre choix avons-nous hein ? D’un autre côté, cela ne me plaisait pas de savoir.. Je regarde le corps endormi et je me posais une question en soulevant mon éventail et l’ouvrant pour me ventiler.
« Ton leader.. Sasuke n’est pas dans les parages ? »
Je me foutais bien qu’il soit de Taka ou non, mais Sasuke Uchiha était célèbre. S’il était dans les parages, il se rendrait bien compte que deux de ses membres sont absents non ? Sauf que j’ai l’impression que le chance n’est vraiment pas de mon côté. Et voilà que mon estomac se met à nouveau à crier. Dans l'obscurité de notre cellule, mes pensées tournaient à toute vitesse pour trouver une solution à notre situation désespérée. Alors que Suigetsu et moi étions ligotés, les bandits semblaient déterminés à nous garder emprisonnés. Je réfléchissais à toutes les informations que j'avais sur la disposition de l'endroit où nous étions retenus, cherchant désespérément un moyen de sortir de cette situation rocambolesque.
Soudain, une idée me traversa l'esprit. Je me tournai vers Suigetsu, mes yeux brillant d'une lueur d'enthousiasme mêlée à l'inquiétude, je lui murmure.
« Suigetsu, Peut-être que nous pouvons utiliser la réputation de ton clan à notre avantage. »
Mon plan était risqué, mais c'était notre meilleure chance de sortir d'ici indemnes. Je savais que les Hozuki avaient la capacité de se transformer en eau à volonté. Si Suigetsu pouvait utiliser sa technique pour se liquéfier, il pourrait passer à travers les barreaux de la cellule sans être détecté. L'idée était de faire en sorte que les bandits croient que nous avions fui, les incitant ainsi à ouvrir la porte de notre cellule pour vérifier.
« Écoute-moi attentivement.. »
Mon esprit travaillant frénétiquement pour peaufiner le plan.
« Lorsque tu seras à l'extérieur de la cellule, reste près de la porte et garde-toi hors de leur vue. Je vais essayer de les convaincre que je suis seul ici, que tu as réussi à t'échapper. Ils seront probablement plus prompts à ouvrir la porte s'ils pensent que tu es parti. »
Suigetsu secoua la tête en signe d'approbation, le sourire moqueur qui avait orné son visage s'était transformé en une expression plus sérieuse. Il s'était résigné à la réalité de leur situation et était déterminé à trouver un moyen de s'en sortir. La gravité de leur capture ne pouvait être ignorée, même si elle avait été précédée par un acte de comédie.
« Haruki, hein ? Bien, c'est un plaisir de te rencontrer, même dans des circonstances aussi bizarres. » Sa voix était plus détendue, et il avait décidé de prendre la situation avec un peu plus de légèreté, même si la gravité de leur capture restait présente dans son esprit.
« Ouais, je suis Suigetsu Hozuki, membre de Taka. Ravi de te rencontrer, même si c'est dans une cellule de prison. Et celui qui dort, c’est Juugo. » Il leva les mains pour montrer leurs menottes. « Les affaires ne marchent pas bien ces derniers temps. »
Il observa attentivement la cellule sombre et humide, cherchant des moyens possibles de s'échapper. Le calme précaire était rompu par un soupir venant de Haruki, qui exprimait sa frustration et sa faim. Suigetsu ne put s'empêcher de rire doucement face à cette réaction. « Eh bien, mon gars, je comprends ta frustration, mais la faim est le cadet de nos soucis pour l'instant. Nous devons d'abord trouver un moyen de sortir d'ici. »
Il jeta un coup d'œil autour de la cellule, cherchant des faiblesses ou des failles dans la structure. Malheureusement, tout semblait solide et bien construit, ce qui n'augurait rien de bon pour leur tentative d'évasion. Le pire, c’était qu’il était dépouillé de ses armes. Tsk.. La chance semblait avoir prit la poudre d’escampette et l’avoir laissé tomber. A ce moment précis, les rires et la moquerie avaient cédé la place à une tension palpable. L'acte d'Haruki s'était avéré être une arme à double tranchant, et les bandits qui les avaient capturés n'avaient pas l'intention de les relâcher de sitôt. Suigetsu, membre d'une organisation criminelle notoire, savait probablement que cette situation était bien loin de leur territoire de jeu habituel. La porte était solidement verrouillée, et il n'y avait aucun moyen évident de s'échapper. Tandis que Suigetsu examinait la porte avec une légère expression d'agacement, il était évident qu'il était agacé par la situation. La détermination de Suigetsu était perceptible dans sa voix lorsqu'il se tourna vers Haruki, cherchant des informations qui pourraient les aider à élaborer un plan pour s'échapper.
« As-tu des compétences particulières qui pourraient nous aider ? Ou des informations sur nos gardiens ? »
En réalité, s’il était comme lui, à court de chakra, ils allaient devoir réellement ruser. Franchement, pourquoi fallait-il que cela tombe sur lui ? Il aurait mieux fait de pas se lever ce matin. Et Juugo qui jouait encore à la princesse endormie. C’était quoi ce monde hein ? Juugo n’était pas le seul shinobi endormi. Il en avait rencontré d’autres sur sa route et quand il s’était réveillé. C’était même inespéré qu’il croise une autre âme bien réveillée, bien qu’il le regrettât en cet instant.
Pendant qu'Haruki continuait à se débattre faiblement, les pensées tourbillonnaient dans sa tête. Les bandits qui les avaient capturés n'avaient pas montré de signes d'hostilité immédiate, mais ils n'avaient pas non plus montré d'intentions amicales. Leur seule chance de survie était de négocier avec eux ou de trouver un moyen de s'échapper.
« a-t-il une chance qu'ils soient ouverts à la négociation ? Personnellement, je ne le crois pas.. D’ailleurs, as tu vu d’autres shinobis éveillés comme nous deux ? »
Suigetsu, ne comprenait pas ce qui s’était passé. Ils étaient en train de se battre lors de la quatrième guerre ninja contre l’ancêtre de son chaton, et puis pouf plus rien. Il s’était retrouvé dans un monde où il était aux côtés de son frère, de son maître et Kisame qu’il respectait et ils possédaient 4 des épées de la brume et puis, tout avait disparu, car quelque chose n’allait pas. Tout s’était embrouillé et il s’était réveillé sur le sol froid au milieu de nul part avec Juugo à ses côtés, qu’il traînait comme une enclume.
Les questions se bousculaient dans l'esprit de Suigetsu, mais il n'avait aucune réponse. La situation était de plus en plus désespérée, et il était clair qu'ils étaient à la merci de leurs geôliers. Il était clair que les négociations ne seraient pas faciles. Les bandits semblaient déterminés, et il était probable qu'ils avaient un certain but en tête en capturant des shinobis. La situation était tendue, et leur vie était en jeu.
« Pour le moment, nous devons rester vigilants et attendre de voir ce que nos gardiens ont prévu pour nous, » conclut Suigetsu. « Peut-être qu'une opportunité se présentera, ou nous pourrons essayer de les convaincre de nous relâcher. Quant à compter sur une aide extérieure ? Laisses tomber, j'ai perdu mon chaton. Il doit être en compagnie du sien, enfin, je l'espère. »
Suigetsu écouta attentivement le plan d'Haruki, un léger sourire en coin trahissant son intérêt pour cette idée audacieuse. La proposition de tirer parti de la réputation de son clan était certainement intrigante. Les Hozuki étaient célèbres pour leur capacité à se liquéfier et à se transformer en eau à volonté. C'était un atout qui pourrait leur permettre de sortir de cette cellule et de tromper les bandits. « Pas mal, gamin, » admit Suigetsu, reconnaissant l'ingéniosité du plan d'Haruki. « Cela pourrait bien fonctionner. »
Il était clair que la réputation des Hozuki en tant que membres de Taka était un atout potentiel dans cette situation. Suigetsu avait la réputation d'être un combattant redoutable, et si les bandits croyaient qu'il s'était échappé, ils pourraient être plus enclins à ouvrir la porte pour vérifier. Suigetsu hocha la tête pour montrer qu'il comprenait le plan. « Très bien, je vais me liquéfier et essayer de sortir de cette cellule. Mais rappelle-toi, ça ne sera pas une promenade de santé. Une fois à l'extérieur, je dois rester hors de leur vue. »
Il savait que cela pouvait être compliqué, car même sous forme liquide, il devait être prudent pour éviter d'être détecté. Suigetsu s'avança autant que le permettaient ses liens, se concentrant pour activer sa technique de transformation en eau.
Lentement, il se liquéfia, son corps se changeant en une forme aqueuse. Il commença à s'écouler à travers les barreaux de la cellule, restant aussi silencieux que possible pour éviter d'attirer l'attention des bandits. Il se faufila hors de la cellule avec précaution, restant près de la porte tout en gardant un œil sur la situation à l'extérieur. Pendant ce temps, Haruki devait jouer son rôle à la perfection. Sa tâche consistait à convaincre les bandits que Suigetsu s'était échappé et que la menace n'était plus dans la cellule. La tension était à son comble, car chaque petit bruit ou mouvement pouvait trahir leur plan.
Suigetsu s'était transformé en une flaque d'eau discrète et se tenait près de la porte. Son apparence liquide le rendait presque invisible à l'œil nu. Il espérait que ce subterfuge les rapprocherait de leur liberté et les éloignerait de cette cellule glaciale. Le sort devenait de plus en plus incertain à mesure que les secondes s'écoulaient, mais ils n'avaient pas d'autre choix que de tenter leur chance.
« Haruki, hein ? Bien, c'est un plaisir de te rencontrer, même dans des circonstances aussi bizarres. » Sa voix était plus détendue, et il avait décidé de prendre la situation avec un peu plus de légèreté, même si la gravité de leur capture restait présente dans son esprit.
« Ouais, je suis Suigetsu Hozuki, membre de Taka. Ravi de te rencontrer, même si c'est dans une cellule de prison. Et celui qui dort, c’est Juugo. » Il leva les mains pour montrer leurs menottes. « Les affaires ne marchent pas bien ces derniers temps. »
Il observa attentivement la cellule sombre et humide, cherchant des moyens possibles de s'échapper. Le calme précaire était rompu par un soupir venant de Haruki, qui exprimait sa frustration et sa faim. Suigetsu ne put s'empêcher de rire doucement face à cette réaction. « Eh bien, mon gars, je comprends ta frustration, mais la faim est le cadet de nos soucis pour l'instant. Nous devons d'abord trouver un moyen de sortir d'ici. »
Il jeta un coup d'œil autour de la cellule, cherchant des faiblesses ou des failles dans la structure. Malheureusement, tout semblait solide et bien construit, ce qui n'augurait rien de bon pour leur tentative d'évasion. Le pire, c’était qu’il était dépouillé de ses armes. Tsk.. La chance semblait avoir prit la poudre d’escampette et l’avoir laissé tomber. A ce moment précis, les rires et la moquerie avaient cédé la place à une tension palpable. L'acte d'Haruki s'était avéré être une arme à double tranchant, et les bandits qui les avaient capturés n'avaient pas l'intention de les relâcher de sitôt. Suigetsu, membre d'une organisation criminelle notoire, savait probablement que cette situation était bien loin de leur territoire de jeu habituel. La porte était solidement verrouillée, et il n'y avait aucun moyen évident de s'échapper. Tandis que Suigetsu examinait la porte avec une légère expression d'agacement, il était évident qu'il était agacé par la situation. La détermination de Suigetsu était perceptible dans sa voix lorsqu'il se tourna vers Haruki, cherchant des informations qui pourraient les aider à élaborer un plan pour s'échapper.
« As-tu des compétences particulières qui pourraient nous aider ? Ou des informations sur nos gardiens ? »
En réalité, s’il était comme lui, à court de chakra, ils allaient devoir réellement ruser. Franchement, pourquoi fallait-il que cela tombe sur lui ? Il aurait mieux fait de pas se lever ce matin. Et Juugo qui jouait encore à la princesse endormie. C’était quoi ce monde hein ? Juugo n’était pas le seul shinobi endormi. Il en avait rencontré d’autres sur sa route et quand il s’était réveillé. C’était même inespéré qu’il croise une autre âme bien réveillée, bien qu’il le regrettât en cet instant.
Pendant qu'Haruki continuait à se débattre faiblement, les pensées tourbillonnaient dans sa tête. Les bandits qui les avaient capturés n'avaient pas montré de signes d'hostilité immédiate, mais ils n'avaient pas non plus montré d'intentions amicales. Leur seule chance de survie était de négocier avec eux ou de trouver un moyen de s'échapper.
« a-t-il une chance qu'ils soient ouverts à la négociation ? Personnellement, je ne le crois pas.. D’ailleurs, as tu vu d’autres shinobis éveillés comme nous deux ? »
Suigetsu, ne comprenait pas ce qui s’était passé. Ils étaient en train de se battre lors de la quatrième guerre ninja contre l’ancêtre de son chaton, et puis pouf plus rien. Il s’était retrouvé dans un monde où il était aux côtés de son frère, de son maître et Kisame qu’il respectait et ils possédaient 4 des épées de la brume et puis, tout avait disparu, car quelque chose n’allait pas. Tout s’était embrouillé et il s’était réveillé sur le sol froid au milieu de nul part avec Juugo à ses côtés, qu’il traînait comme une enclume.
Les questions se bousculaient dans l'esprit de Suigetsu, mais il n'avait aucune réponse. La situation était de plus en plus désespérée, et il était clair qu'ils étaient à la merci de leurs geôliers. Il était clair que les négociations ne seraient pas faciles. Les bandits semblaient déterminés, et il était probable qu'ils avaient un certain but en tête en capturant des shinobis. La situation était tendue, et leur vie était en jeu.
« Pour le moment, nous devons rester vigilants et attendre de voir ce que nos gardiens ont prévu pour nous, » conclut Suigetsu. « Peut-être qu'une opportunité se présentera, ou nous pourrons essayer de les convaincre de nous relâcher. Quant à compter sur une aide extérieure ? Laisses tomber, j'ai perdu mon chaton. Il doit être en compagnie du sien, enfin, je l'espère. »
Suigetsu écouta attentivement le plan d'Haruki, un léger sourire en coin trahissant son intérêt pour cette idée audacieuse. La proposition de tirer parti de la réputation de son clan était certainement intrigante. Les Hozuki étaient célèbres pour leur capacité à se liquéfier et à se transformer en eau à volonté. C'était un atout qui pourrait leur permettre de sortir de cette cellule et de tromper les bandits. « Pas mal, gamin, » admit Suigetsu, reconnaissant l'ingéniosité du plan d'Haruki. « Cela pourrait bien fonctionner. »
Il était clair que la réputation des Hozuki en tant que membres de Taka était un atout potentiel dans cette situation. Suigetsu avait la réputation d'être un combattant redoutable, et si les bandits croyaient qu'il s'était échappé, ils pourraient être plus enclins à ouvrir la porte pour vérifier. Suigetsu hocha la tête pour montrer qu'il comprenait le plan. « Très bien, je vais me liquéfier et essayer de sortir de cette cellule. Mais rappelle-toi, ça ne sera pas une promenade de santé. Une fois à l'extérieur, je dois rester hors de leur vue. »
Il savait que cela pouvait être compliqué, car même sous forme liquide, il devait être prudent pour éviter d'être détecté. Suigetsu s'avança autant que le permettaient ses liens, se concentrant pour activer sa technique de transformation en eau.
Lentement, il se liquéfia, son corps se changeant en une forme aqueuse. Il commença à s'écouler à travers les barreaux de la cellule, restant aussi silencieux que possible pour éviter d'attirer l'attention des bandits. Il se faufila hors de la cellule avec précaution, restant près de la porte tout en gardant un œil sur la situation à l'extérieur. Pendant ce temps, Haruki devait jouer son rôle à la perfection. Sa tâche consistait à convaincre les bandits que Suigetsu s'était échappé et que la menace n'était plus dans la cellule. La tension était à son comble, car chaque petit bruit ou mouvement pouvait trahir leur plan.
Suigetsu s'était transformé en une flaque d'eau discrète et se tenait près de la porte. Son apparence liquide le rendait presque invisible à l'œil nu. Il espérait que ce subterfuge les rapprocherait de leur liberté et les éloignerait de cette cellule glaciale. Le sort devenait de plus en plus incertain à mesure que les secondes s'écoulaient, mais ils n'avaient pas d'autre choix que de tenter leur chance.
Il était clair que nous avions été transportés dans un monde étrange et inconnu, loin de tout ce que nous connaissions. Les circonstances de notre arrivée et les intentions de nos geôliers restaient floues. Nous étions vulnérables, et il semblait que la négociation ne serait pas facile, si elle était même possible. Les bandits semblaient déterminés, et leurs intentions demeuraient un mystère. Suigetsu conclut en exprimant notre besoin de vigilance et de patience. Il semblait réaliste de dire que nous devrions attendre et observer les actions de nos geôliers. Mais cette incertitude était insupportable, nous étions des shinobis, des combattants, et être réduits à l'impuissance nous frustrait.
Quant à l'idée d'une aide extérieure, Suigetsu semblait perdu, souhaitant désespérément retrouver son chaton, qui avait également été transporté dans ce monde étrange. Cela souleva une question pertinente : si nous étions ici, où étaient nos camarades, nos alliés, nos amis ? Étaient-ils également pris au piège dans ce monde inconnu ? Non, plus intéressant encore, je n’aurais pas cru qu’un membre du clan Hozuki se soit entiché d’un chaton ? Bon, au moins, nous pourrions toujours parler de nos goûts en animaux. Enfin, si j’étais un idiot, je penserais de la sorte, mais je ne peux m’empêcher de ricaner sur le fait qu’il ait surnommé l’un des shinobis les plus dangereux de « chaton ». C’était une vision qui était hilarante, mais malheureusement, nous n’étions pas sortis d’affaires… Dire que je voulais simplement récupéré un fichu parchemin d’invocation… Il allait falloir, je présume, que je me dirige vers un autre village au vu de notre situation.
Je réfléchis un instant, essayant de peser nos options. Mon regard se tourna vers la porte de la cellule, où les bandits nous retenaient captifs. Mon esprit était en ébullition, cherchant un moyen de sortir de cette situation désespérée. Finalement, je suis arrivé à avoir une idée. La réponse positive de Suigetsu au plan que j'avais proposé était un soulagement. Sa réaction démontrait à la fois son intérêt pour l'idée et sa confiance en ma capacité à le guider dans cette situation critique. Le sourire en coin qu'il afficha était une preuve de son enthousiasme pour cette approche audacieuse. La réputation des Hozuki, notamment en tant que membres de Taka, était un atout précieux en ce moment.
J'acquiesçai en signe de reconnaissance, appréciant le fait que Suigetsu reconnaisse l'ingéniosité du plan. « Merci de me faire confiance ! » Parce que sincèrement, je ne me ferais pas du tout confiance. Pourquoi, est-ce que je le ferais hein ?
Le plan était simple mais risqué. Suigetsu devait utiliser sa capacité de transformation en eau pour passer à travers les barreaux de la cellule sans être détecté par les bandits. Il était crucial qu'il reste silencieux et qu'il se déplace avec précaution pour éviter de trahir leur stratagème. Pendant ce temps, j'avais la tâche de convaincre les bandits que Suigetsu s'était échappé, en espérant qu'ils ouvriraient la porte de la cellule pour vérifier. Suigetsu se mit à l'œuvre, se liquéfiant lentement pour prendre la forme d'une flaque d'eau. Il glissa habilement à travers les barreaux de la cellule, faisant preuve d'une maîtrise impressionnante de sa technique. La transformation en eau le rendait presque invisible à l'œil nu, un avantage crucial pour éviter d'attirer l'attention.
Pendant que Suigetsu se déplaçait discrètement à l'extérieur de la cellule, je me préparais à jouer mon rôle. Ma tâche était d'interagir avec les bandits et de les convaincre que Suigetsu avait réussi à s'échapper, tout en les maintenant dans l'ignorance de ma propre présence. La tension était à son comble, chaque seconde s'étirant en une éternité alors que nous poursuivions notre plan risqué. Le succès n'était pas garanti, mais nous n'avions pas d'autre choix que de tenter notre chance pour échapper à cette cellule glaciale et démêler le mystère de ce monde étrange dans lequel nous étions piégés.
La tension était palpable dans l'air alors que Suigetsu glissait silencieusement à l'extérieur de la cellule, se transformant habilement en une flaque d'eau presque invisible. Pendant ce temps, je préparais le terrain pour notre stratagème, prête à jouer mon rôle à la perfection pour convaincre les bandits que Suigetsu avait réussi à s'échapper. Tandis que les secondes s'écoulaient, j'étais prêt à mettre en œuvre ma performance. Je poussai un petit cri étouffé, m'agitant de manière théâtrale dans la cellule étroite.
« Suigetsu de Taka ! Il a disparu ! »
Je criai d'une voix paniquée, m'efforçant de paraître choqué et vulnérable. Ma performance devait être convaincante pour que les bandits tombent dans le piège. Je me tournai brusquement, leur tournant le dos, feignant la détresse. Avec habileté, je commençai à défaire doucement les pans de mon kimono, tout en leur lançant des regards anxieux par-dessus mon épaule. Le but était de jouer la mijaurée qui avait trop chaud, espérant qu'ils s'approcheraient de moi pour enquêter sur la disparition présumée de Suigetsu en agitant les pans de mon kimono.
« Il fait tellement chaud ici, je ne peux plus respirer... »
Je pouvais voir leurs regards pervers sur moi, pensant toujours que j’étais une fille. C’était l’occasion parfaite.. Leurs envies de moi, était si palpable.. L’homme était véritablement un animal des plus primaires.. Cela me servait bien. Mon petit manège avait fonctionné, du moins en partie. Il ne restait plus qu'à les persuader de s'approcher encore plus, pour qu'ils puissent être victimes de mon parfum d'ensorceleur.
Le parfum était une technique secrète que j'utilisais en dernier recours. Il émanait de mon propre corps, me permettant de contrôler n'importe quel homme ou femme comme une marionnette. C'était une capacité puissante, mais je ne l'utilisais que lorsque je n'avais plus de parfum ni de vêtements pour séduire mes cibles. Ma maîtrise de cette technique me permettait de subjuguer ceux qui se laissaient envoûter par son doux arôme.
Les bandits s'approchèrent encore plus, se rapprochant dangereusement de mon aura parfumée. Ma voix continua de gémir, accentuant la chaleur étouffante, les incitant à se rapprocher. Mon sourire en coin était caché, mais ma détermination à mener à bien notre plan se lisait dans mes actions. Ils n'avaient aucune idée de ce qui les attendait. Alors que les bandits se rapprochaient de moi, je continuai de jouer la victime, attendant patiemment le bon moment pour déclencher mon parfum envoûtant et les soumettre à ma volonté.
« J’ai vraiment trop chaud… Aidez..Moi à me déshabiller.. S’il vous plaît.. »
Ma voix, chargée de désespoir feint, s'éleva dans la cellule. J'accentuai mon ton de supplication pour attirer leur côté lubrique. Les deux bandits qui s'approchaient de moi semblaient maintenant très intrigués par ma demande. Le piège se refermait lentement autour d'eux, et ils ne semblaient pas en mesure de résister à la tentation de satisfaire leurs instincts. Les hommes se regardèrent, partagés entre l'inquiétude d'être pris en train de déshabiller une prétendue demoiselle en détresse et l'appel irrésistible de mes paroles. J'entendis un murmure à peine audible, mais suffisant pour confirmer leur consentement.
Un des bandits s'approcha de moi, hésitant légèrement, puis ses doigts tremblants commencèrent à défaire les liens de mon kimono. Je feignis d'être incapable de le faire moi-même, bien que mes mains tremblantes étaient en réalité liées à l'intérieur du kimono. Tout était une question de subterfuge. Le second bandit, ne voulant pas être en reste, se rapprocha à son tour. Leurs regards étaient fixés sur moi, l'excitation l'emportant sur toute prudence. Mon jeu de victime en chaleur et les promesses implicites dans mes paroles avaient opéré comme un charme. Ils étaient sur le point de tomber sous l'emprise de mon parfum d'ensorceleur.
Mon plan se déroulait à la perfection. Les bandits étaient si occupés à me « secourir » qu'ils avaient oublié leur vigilance initiale. Il ne me restait plus qu'à les envoûter avec mon parfum pour les amener à faire ce que je désirais. J'attendis le moment propice, lorsque leurs visages étaient proches des pans du kimono que je maintenais toujours avec désespoir. C'était le moment. Je laissai échapper un soupir tremblant, puis je déclenchai mon parfum d'ensorceleur, laissant son arôme envoûtant se répandre dans l'air. Une douce lueur de satisfaction s'alluma dans mes yeux, alors que je prenais le contrôle de leurs esprits.
Sous l'emprise de mon parfum, les bandits devinrent dociles, leurs regards vidés de toute résistance. Ils étaient désormais à ma merci, prêts à suivre mes ordres sans poser de questions. Mon jeu de séduction avait atteint son but, les plongeant dans une obéissance totale. J'avais réussi à les amener à faire exactement ce que je voulais, mais le plus difficile restait à venir. Maintenant que j'avais les bandits sous mon emprise, il était temps de mettre en œuvre la deuxième partie de notre plan pour nous échapper de cette cellule.
Avec les bandits désormais à ma merci grâce à mon parfum d'ensorceleur, il était temps de les mettre à contribution pour notre évasion. Je savais que je devais être astucieux, tout en gardant un ton drôle et détaché, pour ne pas éveiller leurs soupçons. Tout était une question de manipulation subtile.
« Vous savez, messieurs, vous êtes incroyablement gentils de m'aider à me déshabiller. »
Ma voix était mielleuse, mes yeux pétillants d'une innocence feinte.
« Mais j'ai également besoin de votre aide pour être détachée. Pourriez-vous faire preuve de plus de galanterie et me délivrer ? Et aussi, je suis curieuse de savoir, où ont-vous caché vos armes et vos biens ? »
Je lançai un regard curieux aux bandits, les faisant sourire béatement alors qu'ils répondaient à ma demande.
« Oh, ne vous inquiétez pas, ma douce demoiselle, nous allons vous détacher tout de suite. »
Je souris avec gratitude, tout en continuant à jouer la victime. Mes doigts se crispèrent à peine sur le tissu de mon kimono, les pans repliés prêts à être tirés sur mon corps à la moindre opportunité. Une fois détaché, je me mis à m'habiller lentement, sous le prétexte de la pudeur. C'était tout à fait le rôle que je m'étais assigné, et les bandits restaient dociles sous l'emprise de mon parfum d'ensorceleur. C'était le moment idéal pour obtenir plus d'informations.
« Maintenant que je suis libre, mes braves messieurs, j'ai une petite demande. Pourriez-vous me dire combien vous êtes ici et où vous avez caché vos armes et vos biens précieux ? »
Les bandits étaient ravis de répondre à ma demande, dévoilant plus d'informations qu'ils ne l'auraient normalement souhaité. Ils me donnèrent le nombre de membres de leur groupe et l'emplacement de leurs biens, tout cela avec un sourire béat.
Ma comédie se poursuivait, mais il était temps de passer à l'étape suivante de notre plan. J'avais obtenu les informations dont nous avions besoin. Je fis signe à Suigetsu, qui s'était discrètement rapproché sous sa forme liquide.
« Suigetsu, maintenant qu'ils nous ont dit où se trouvent leurs biens et combien ils sont, il est temps d'agir. Frappe-les tous les deux. »
Mon ton était toujours sucré, mais mon regard se faisait impérieux. Hors de question que je me salisse les mains. J'avais joué la victime, et maintenant c'était à Suigetsu d'agir pour assommer les bandits, tout en restant sous mon charme envoûtant. La situation devenait de plus en plus comique alors que le piège se refermait sur les bandits qui étaient loin de se douter de la supercherie et dont ils ne se souviendraient de rien. Les hommes, il n’y a pas à dire.. Sont vraiment faibles.
Quant à l'idée d'une aide extérieure, Suigetsu semblait perdu, souhaitant désespérément retrouver son chaton, qui avait également été transporté dans ce monde étrange. Cela souleva une question pertinente : si nous étions ici, où étaient nos camarades, nos alliés, nos amis ? Étaient-ils également pris au piège dans ce monde inconnu ? Non, plus intéressant encore, je n’aurais pas cru qu’un membre du clan Hozuki se soit entiché d’un chaton ? Bon, au moins, nous pourrions toujours parler de nos goûts en animaux. Enfin, si j’étais un idiot, je penserais de la sorte, mais je ne peux m’empêcher de ricaner sur le fait qu’il ait surnommé l’un des shinobis les plus dangereux de « chaton ». C’était une vision qui était hilarante, mais malheureusement, nous n’étions pas sortis d’affaires… Dire que je voulais simplement récupéré un fichu parchemin d’invocation… Il allait falloir, je présume, que je me dirige vers un autre village au vu de notre situation.
Je réfléchis un instant, essayant de peser nos options. Mon regard se tourna vers la porte de la cellule, où les bandits nous retenaient captifs. Mon esprit était en ébullition, cherchant un moyen de sortir de cette situation désespérée. Finalement, je suis arrivé à avoir une idée. La réponse positive de Suigetsu au plan que j'avais proposé était un soulagement. Sa réaction démontrait à la fois son intérêt pour l'idée et sa confiance en ma capacité à le guider dans cette situation critique. Le sourire en coin qu'il afficha était une preuve de son enthousiasme pour cette approche audacieuse. La réputation des Hozuki, notamment en tant que membres de Taka, était un atout précieux en ce moment.
J'acquiesçai en signe de reconnaissance, appréciant le fait que Suigetsu reconnaisse l'ingéniosité du plan. « Merci de me faire confiance ! » Parce que sincèrement, je ne me ferais pas du tout confiance. Pourquoi, est-ce que je le ferais hein ?
Le plan était simple mais risqué. Suigetsu devait utiliser sa capacité de transformation en eau pour passer à travers les barreaux de la cellule sans être détecté par les bandits. Il était crucial qu'il reste silencieux et qu'il se déplace avec précaution pour éviter de trahir leur stratagème. Pendant ce temps, j'avais la tâche de convaincre les bandits que Suigetsu s'était échappé, en espérant qu'ils ouvriraient la porte de la cellule pour vérifier. Suigetsu se mit à l'œuvre, se liquéfiant lentement pour prendre la forme d'une flaque d'eau. Il glissa habilement à travers les barreaux de la cellule, faisant preuve d'une maîtrise impressionnante de sa technique. La transformation en eau le rendait presque invisible à l'œil nu, un avantage crucial pour éviter d'attirer l'attention.
Pendant que Suigetsu se déplaçait discrètement à l'extérieur de la cellule, je me préparais à jouer mon rôle. Ma tâche était d'interagir avec les bandits et de les convaincre que Suigetsu avait réussi à s'échapper, tout en les maintenant dans l'ignorance de ma propre présence. La tension était à son comble, chaque seconde s'étirant en une éternité alors que nous poursuivions notre plan risqué. Le succès n'était pas garanti, mais nous n'avions pas d'autre choix que de tenter notre chance pour échapper à cette cellule glaciale et démêler le mystère de ce monde étrange dans lequel nous étions piégés.
La tension était palpable dans l'air alors que Suigetsu glissait silencieusement à l'extérieur de la cellule, se transformant habilement en une flaque d'eau presque invisible. Pendant ce temps, je préparais le terrain pour notre stratagème, prête à jouer mon rôle à la perfection pour convaincre les bandits que Suigetsu avait réussi à s'échapper. Tandis que les secondes s'écoulaient, j'étais prêt à mettre en œuvre ma performance. Je poussai un petit cri étouffé, m'agitant de manière théâtrale dans la cellule étroite.
« Suigetsu de Taka ! Il a disparu ! »
Je criai d'une voix paniquée, m'efforçant de paraître choqué et vulnérable. Ma performance devait être convaincante pour que les bandits tombent dans le piège. Je me tournai brusquement, leur tournant le dos, feignant la détresse. Avec habileté, je commençai à défaire doucement les pans de mon kimono, tout en leur lançant des regards anxieux par-dessus mon épaule. Le but était de jouer la mijaurée qui avait trop chaud, espérant qu'ils s'approcheraient de moi pour enquêter sur la disparition présumée de Suigetsu en agitant les pans de mon kimono.
« Il fait tellement chaud ici, je ne peux plus respirer... »
Je pouvais voir leurs regards pervers sur moi, pensant toujours que j’étais une fille. C’était l’occasion parfaite.. Leurs envies de moi, était si palpable.. L’homme était véritablement un animal des plus primaires.. Cela me servait bien. Mon petit manège avait fonctionné, du moins en partie. Il ne restait plus qu'à les persuader de s'approcher encore plus, pour qu'ils puissent être victimes de mon parfum d'ensorceleur.
Le parfum était une technique secrète que j'utilisais en dernier recours. Il émanait de mon propre corps, me permettant de contrôler n'importe quel homme ou femme comme une marionnette. C'était une capacité puissante, mais je ne l'utilisais que lorsque je n'avais plus de parfum ni de vêtements pour séduire mes cibles. Ma maîtrise de cette technique me permettait de subjuguer ceux qui se laissaient envoûter par son doux arôme.
Les bandits s'approchèrent encore plus, se rapprochant dangereusement de mon aura parfumée. Ma voix continua de gémir, accentuant la chaleur étouffante, les incitant à se rapprocher. Mon sourire en coin était caché, mais ma détermination à mener à bien notre plan se lisait dans mes actions. Ils n'avaient aucune idée de ce qui les attendait. Alors que les bandits se rapprochaient de moi, je continuai de jouer la victime, attendant patiemment le bon moment pour déclencher mon parfum envoûtant et les soumettre à ma volonté.
« J’ai vraiment trop chaud… Aidez..Moi à me déshabiller.. S’il vous plaît.. »
Ma voix, chargée de désespoir feint, s'éleva dans la cellule. J'accentuai mon ton de supplication pour attirer leur côté lubrique. Les deux bandits qui s'approchaient de moi semblaient maintenant très intrigués par ma demande. Le piège se refermait lentement autour d'eux, et ils ne semblaient pas en mesure de résister à la tentation de satisfaire leurs instincts. Les hommes se regardèrent, partagés entre l'inquiétude d'être pris en train de déshabiller une prétendue demoiselle en détresse et l'appel irrésistible de mes paroles. J'entendis un murmure à peine audible, mais suffisant pour confirmer leur consentement.
Un des bandits s'approcha de moi, hésitant légèrement, puis ses doigts tremblants commencèrent à défaire les liens de mon kimono. Je feignis d'être incapable de le faire moi-même, bien que mes mains tremblantes étaient en réalité liées à l'intérieur du kimono. Tout était une question de subterfuge. Le second bandit, ne voulant pas être en reste, se rapprocha à son tour. Leurs regards étaient fixés sur moi, l'excitation l'emportant sur toute prudence. Mon jeu de victime en chaleur et les promesses implicites dans mes paroles avaient opéré comme un charme. Ils étaient sur le point de tomber sous l'emprise de mon parfum d'ensorceleur.
Mon plan se déroulait à la perfection. Les bandits étaient si occupés à me « secourir » qu'ils avaient oublié leur vigilance initiale. Il ne me restait plus qu'à les envoûter avec mon parfum pour les amener à faire ce que je désirais. J'attendis le moment propice, lorsque leurs visages étaient proches des pans du kimono que je maintenais toujours avec désespoir. C'était le moment. Je laissai échapper un soupir tremblant, puis je déclenchai mon parfum d'ensorceleur, laissant son arôme envoûtant se répandre dans l'air. Une douce lueur de satisfaction s'alluma dans mes yeux, alors que je prenais le contrôle de leurs esprits.
Sous l'emprise de mon parfum, les bandits devinrent dociles, leurs regards vidés de toute résistance. Ils étaient désormais à ma merci, prêts à suivre mes ordres sans poser de questions. Mon jeu de séduction avait atteint son but, les plongeant dans une obéissance totale. J'avais réussi à les amener à faire exactement ce que je voulais, mais le plus difficile restait à venir. Maintenant que j'avais les bandits sous mon emprise, il était temps de mettre en œuvre la deuxième partie de notre plan pour nous échapper de cette cellule.
Avec les bandits désormais à ma merci grâce à mon parfum d'ensorceleur, il était temps de les mettre à contribution pour notre évasion. Je savais que je devais être astucieux, tout en gardant un ton drôle et détaché, pour ne pas éveiller leurs soupçons. Tout était une question de manipulation subtile.
« Vous savez, messieurs, vous êtes incroyablement gentils de m'aider à me déshabiller. »
Ma voix était mielleuse, mes yeux pétillants d'une innocence feinte.
« Mais j'ai également besoin de votre aide pour être détachée. Pourriez-vous faire preuve de plus de galanterie et me délivrer ? Et aussi, je suis curieuse de savoir, où ont-vous caché vos armes et vos biens ? »
Je lançai un regard curieux aux bandits, les faisant sourire béatement alors qu'ils répondaient à ma demande.
« Oh, ne vous inquiétez pas, ma douce demoiselle, nous allons vous détacher tout de suite. »
Je souris avec gratitude, tout en continuant à jouer la victime. Mes doigts se crispèrent à peine sur le tissu de mon kimono, les pans repliés prêts à être tirés sur mon corps à la moindre opportunité. Une fois détaché, je me mis à m'habiller lentement, sous le prétexte de la pudeur. C'était tout à fait le rôle que je m'étais assigné, et les bandits restaient dociles sous l'emprise de mon parfum d'ensorceleur. C'était le moment idéal pour obtenir plus d'informations.
« Maintenant que je suis libre, mes braves messieurs, j'ai une petite demande. Pourriez-vous me dire combien vous êtes ici et où vous avez caché vos armes et vos biens précieux ? »
Les bandits étaient ravis de répondre à ma demande, dévoilant plus d'informations qu'ils ne l'auraient normalement souhaité. Ils me donnèrent le nombre de membres de leur groupe et l'emplacement de leurs biens, tout cela avec un sourire béat.
Ma comédie se poursuivait, mais il était temps de passer à l'étape suivante de notre plan. J'avais obtenu les informations dont nous avions besoin. Je fis signe à Suigetsu, qui s'était discrètement rapproché sous sa forme liquide.
« Suigetsu, maintenant qu'ils nous ont dit où se trouvent leurs biens et combien ils sont, il est temps d'agir. Frappe-les tous les deux. »
Mon ton était toujours sucré, mais mon regard se faisait impérieux. Hors de question que je me salisse les mains. J'avais joué la victime, et maintenant c'était à Suigetsu d'agir pour assommer les bandits, tout en restant sous mon charme envoûtant. La situation devenait de plus en plus comique alors que le piège se refermait sur les bandits qui étaient loin de se douter de la supercherie et dont ils ne se souviendraient de rien. Les hommes, il n’y a pas à dire.. Sont vraiment faibles.
Suigetsu se tenait en retrait dans un coin sombre de la cellule, essayant de faire le moins de bruit possible. Ses réserves de chakra étaient faibles, laissant un sentiment d'impuissance l'envahir. Il se sentait nu sans ses armes, regrettant même l'épée de Zabuza dont il n’était pas tant fan. Maintenant qu'elle était certainement entre les mains d'un novice qui ne comprenait pas sa valeur... Il ne pouvait qu'accepter la situation et reconnaître qu’elle lui manquait. Il avait peu d'options en cet instant et cela le faisait bouillir de rage. Il devait prendre son mal en patience. Il avait un Juugo endormi dans les bras de Morphée à se préoccuper.
Alors qu'il observait les événements, voilà que l’étrange spécimen se dévêtit en tournant le dos à deux de leurs geôliers. Suigetsu ne comprenait pas ce geste. C'était stupide et risqué. Cependant, il se rendit compte que ça marchait. Les hommes de la cellule étaient tombés dans le piège, révélant leur vraie nature bestiale. Suigetsu était prêt à intervenir, anticipant le danger, mais soudain, ils s'arrêtèrent. Haruki prit la parole et ils acquiescèrent à ses paroles. Suigetsu se demanda ce qu'il avait manqué. Il n'avait pas esquissé le moindre geste, ses poignets étant toujours liés. Comment Haruki contrôlait-il ces hommes perfides ? Suigetsu n'avait aucune idée de la méthode utilisée, mais il était reconnaissant qu'ils aient libéré Juugo, qui dormait profondément, ainsi que leur nouvel allié.
Une légère odeur titilla soudainement ses narines, lui faisant arrêter sa respiration nasale. Du poison ? Un poison capable d'hypnotiser ses proies ? C'était à la fois ingénieux et dangereux. C'était la première fois que Suigetsu assistait à une telle utilisation de la toxicologie. Mais ce qui le surprit le plus, c'est que Haruki, l'homme responsable de leur situation actuelle, venait de donner un ordre aux hommes hypnotisés. La situation devenait de plus en plus complexe, et Suigetsu sentait que quelque chose de bien plus grand se cachait derrière tout cela.
Ces derniers réalisèrent ses moindres demandes. Plus besoin de se cacher, il regard d’un air détaché la scène et, voilà qu’il arqua un sourcil. Comment ça, ce gars osait lui donner un ordre ? Suigetsu était perplexe devant la demande de Haruki. Il avait déjà assisté à des situations étranges et compliquées, mais celle-ci était particulièrement rocambolesque. Haruki lui demandait de frapper les bandits après avoir manipulé leur esprit. Tout en étant sous l'influence de l'hypnose, Suigetsu devait être l'exécuteur du plan. Cette tournure des événements l'amusait à sa manière.
Il leva un sourcil et répondit, son ton laissant transparaître une pointe d'amusement, « Frapper les gars hypnotisés, hein ? T'es vraiment un drôle de manipulateur, Haruki. » Un sourire narquois releva le coin de ses lippes. « Très bien, mais avant ça, je veux savoir où se trouve mon épée ! »
En effet, il ne comptait pas agir tant qu’il n’aurait pas la réponse à sa question. Partir et laissé l’épée de son « maître » à un abruti ? Il ne pourrait plus jamais se considérer comme un épéiste digne de ce nom. Quand, il eut enfin la réponse la plus importante à ses yeux, ces bandits qui avaient volé le bandeau frontale des shinobis de Kiri, n’étaient plus d’aucune utilité. D'un pas décidé, il s'approcha des bandits sous le charme d'Haruki et prépara un coup discret, tout en gardant un œil sur la situation.
Suigetsu observa les geôliers d'un regard calculateur, analysant chaque détail de leur comportement. Il devait trouver un moyen de se débarrasser d'eux tout en préservant l'intrigue qu'Haruki avait tissée. Un sourire en coin se dessina sur son visage alors qu'une idée germa dans son esprit. Il s'approcha doucement des geôliers, se mouvant comme l'ombre dans l'obscurité de la cellule. Son regard acéré évaluait les points faibles de chacun d'entre eux. Sans un bruit, il saisit un morceau de métal rouillé qui traînait au sol. Sa lame improvisée reflétait la lueur faible de la lumière filtrant à travers les barreaux.
D'un geste précis, Suigetsu se rapprocha du premier geôlier, attendit que celui-ci se retourne, puis l'assomma d'un coup rapide et silencieux. Il répéta le même mouvement avec le deuxième geôlier, les neutralisant un par un sans émettre le moindre son. Il aurait d’un seul mouvement, tranché leurs pomme d’Adam, mais son chaton lui avait interdit de tuer. Cela le rendait fou, mais il était un homme de parole.
Après avoir assuré que les geôliers étaient hors de combat, Suigetsu les attacha avec les menottes de Juugo et les siennes, les empêchant de se libérer dans le futur. Il avait réussi à se débarrasser d'eux sans laisser la moindre trace de violence apparente. C'était une démonstration parfaite de son talent en tant que ninja et de sa maîtrise de la discrétion.
De retour vers Haruki, Suigetsu lui fit un signe de tête satisfait, confirmant que les geôliers étaient hors d'état de nuire. Ils pouvaient désormais poursuivre leur plan sans encombre, grâce à la finesse et à l'efficacité de l'intervention de Suigetsu.
« Tu t’es rhabillé ? Bon, j’aurais presque envie que l’on se sépare, mais vu leurs nombre on a pas le choix de faire équipe. Tu ne crois pas que tu aurais pu utilisé ta chose pour qu’ils portent Juugo ? »
Il jeta un regard désapprobateur sur le membre de Taka qui gisait au sol, inerte et apparemment toujours en train de dormir. « Je vais devoir avancer avec un poids mort, c'est ça ? »
h bien, que faire d'autre ? Il n'avait d'autre choix que d'avancer avec un fardeau supplémentaire. Il prit la décision de tirer la jambe de son partenaire de Taka, peu soucieux des coups que celui-ci pourrait encaisser en le réveillant de manière plutôt brute. Le temps pressait, et il ne pouvait plus se permettre de perdre davantage de temps à attendre que Juugo se réveille. Après tout, il était le principal responsable de leur situation actuelle. S’il était éveillé, une telle chose ne serait pas arrivée. La prochaine étape était de récupérer son épée, un élément essentiel pour la suite de leur plan.
« D’ailleurs, c’était quoi ce numéro tout à l’heure ? Comment es-tu arrivé à manipuler ces abrutis ? »
Curieux Suigetsu. Il ne connaissait pas ce gars et, s’était bien rendu compte qu’il n’était pas aussi inoffensif qu’il voulait bien le faire croire.
Alors qu'il observait les événements, voilà que l’étrange spécimen se dévêtit en tournant le dos à deux de leurs geôliers. Suigetsu ne comprenait pas ce geste. C'était stupide et risqué. Cependant, il se rendit compte que ça marchait. Les hommes de la cellule étaient tombés dans le piège, révélant leur vraie nature bestiale. Suigetsu était prêt à intervenir, anticipant le danger, mais soudain, ils s'arrêtèrent. Haruki prit la parole et ils acquiescèrent à ses paroles. Suigetsu se demanda ce qu'il avait manqué. Il n'avait pas esquissé le moindre geste, ses poignets étant toujours liés. Comment Haruki contrôlait-il ces hommes perfides ? Suigetsu n'avait aucune idée de la méthode utilisée, mais il était reconnaissant qu'ils aient libéré Juugo, qui dormait profondément, ainsi que leur nouvel allié.
Une légère odeur titilla soudainement ses narines, lui faisant arrêter sa respiration nasale. Du poison ? Un poison capable d'hypnotiser ses proies ? C'était à la fois ingénieux et dangereux. C'était la première fois que Suigetsu assistait à une telle utilisation de la toxicologie. Mais ce qui le surprit le plus, c'est que Haruki, l'homme responsable de leur situation actuelle, venait de donner un ordre aux hommes hypnotisés. La situation devenait de plus en plus complexe, et Suigetsu sentait que quelque chose de bien plus grand se cachait derrière tout cela.
Ces derniers réalisèrent ses moindres demandes. Plus besoin de se cacher, il regard d’un air détaché la scène et, voilà qu’il arqua un sourcil. Comment ça, ce gars osait lui donner un ordre ? Suigetsu était perplexe devant la demande de Haruki. Il avait déjà assisté à des situations étranges et compliquées, mais celle-ci était particulièrement rocambolesque. Haruki lui demandait de frapper les bandits après avoir manipulé leur esprit. Tout en étant sous l'influence de l'hypnose, Suigetsu devait être l'exécuteur du plan. Cette tournure des événements l'amusait à sa manière.
Il leva un sourcil et répondit, son ton laissant transparaître une pointe d'amusement, « Frapper les gars hypnotisés, hein ? T'es vraiment un drôle de manipulateur, Haruki. » Un sourire narquois releva le coin de ses lippes. « Très bien, mais avant ça, je veux savoir où se trouve mon épée ! »
En effet, il ne comptait pas agir tant qu’il n’aurait pas la réponse à sa question. Partir et laissé l’épée de son « maître » à un abruti ? Il ne pourrait plus jamais se considérer comme un épéiste digne de ce nom. Quand, il eut enfin la réponse la plus importante à ses yeux, ces bandits qui avaient volé le bandeau frontale des shinobis de Kiri, n’étaient plus d’aucune utilité. D'un pas décidé, il s'approcha des bandits sous le charme d'Haruki et prépara un coup discret, tout en gardant un œil sur la situation.
Suigetsu observa les geôliers d'un regard calculateur, analysant chaque détail de leur comportement. Il devait trouver un moyen de se débarrasser d'eux tout en préservant l'intrigue qu'Haruki avait tissée. Un sourire en coin se dessina sur son visage alors qu'une idée germa dans son esprit. Il s'approcha doucement des geôliers, se mouvant comme l'ombre dans l'obscurité de la cellule. Son regard acéré évaluait les points faibles de chacun d'entre eux. Sans un bruit, il saisit un morceau de métal rouillé qui traînait au sol. Sa lame improvisée reflétait la lueur faible de la lumière filtrant à travers les barreaux.
D'un geste précis, Suigetsu se rapprocha du premier geôlier, attendit que celui-ci se retourne, puis l'assomma d'un coup rapide et silencieux. Il répéta le même mouvement avec le deuxième geôlier, les neutralisant un par un sans émettre le moindre son. Il aurait d’un seul mouvement, tranché leurs pomme d’Adam, mais son chaton lui avait interdit de tuer. Cela le rendait fou, mais il était un homme de parole.
Après avoir assuré que les geôliers étaient hors de combat, Suigetsu les attacha avec les menottes de Juugo et les siennes, les empêchant de se libérer dans le futur. Il avait réussi à se débarrasser d'eux sans laisser la moindre trace de violence apparente. C'était une démonstration parfaite de son talent en tant que ninja et de sa maîtrise de la discrétion.
De retour vers Haruki, Suigetsu lui fit un signe de tête satisfait, confirmant que les geôliers étaient hors d'état de nuire. Ils pouvaient désormais poursuivre leur plan sans encombre, grâce à la finesse et à l'efficacité de l'intervention de Suigetsu.
« Tu t’es rhabillé ? Bon, j’aurais presque envie que l’on se sépare, mais vu leurs nombre on a pas le choix de faire équipe. Tu ne crois pas que tu aurais pu utilisé ta chose pour qu’ils portent Juugo ? »
Il jeta un regard désapprobateur sur le membre de Taka qui gisait au sol, inerte et apparemment toujours en train de dormir. « Je vais devoir avancer avec un poids mort, c'est ça ? »
h bien, que faire d'autre ? Il n'avait d'autre choix que d'avancer avec un fardeau supplémentaire. Il prit la décision de tirer la jambe de son partenaire de Taka, peu soucieux des coups que celui-ci pourrait encaisser en le réveillant de manière plutôt brute. Le temps pressait, et il ne pouvait plus se permettre de perdre davantage de temps à attendre que Juugo se réveille. Après tout, il était le principal responsable de leur situation actuelle. S’il était éveillé, une telle chose ne serait pas arrivée. La prochaine étape était de récupérer son épée, un élément essentiel pour la suite de leur plan.
« D’ailleurs, c’était quoi ce numéro tout à l’heure ? Comment es-tu arrivé à manipuler ces abrutis ? »
Curieux Suigetsu. Il ne connaissait pas ce gars et, s’était bien rendu compte qu’il n’était pas aussi inoffensif qu’il voulait bien le faire croire.
Prendre le risque d'abîmer mes précieuses mains pour ces individus, à peine dignes de figurer dans la hiérarchie animale ? Sacré non-sens ! Je possède un associé tout désigné pour s'occuper de ces basses besognes. Moi, je suis une âme délicate, une créature de la plus haute société. Mon chakra est bien trop précieux pour être gaspillé en assommant ces êtres. Ou alors, serait-ce simplement ma légendaire paresse qui s'exprime ? Il est fort probable que oui, mais que voulez-vous, j'ai la chance d'avoir un « esclave » tout prêt à l'emploi. Je lui offris un sourire resplendissant, tout en mimant un rictus facétieux et en me trémoussant comme un saltimbanque de foire.
« Ah, vous êtes le phare de mon infortune, le navire échoué sur les récifs de la désorientation ! Point de souci, mes précieuses crèmes à la choucroute. Dites tout ce que cet aimable monsieur désire entendre, et révélez-nous la voie vers la liberté, s'il vous plaît. »
Je m'étais incliné vers eux, chuchotant mes instructions d'une voix doucereuse. Ces hommes stupides, semblaient captivées par mon charme inattendu. Après avoir extirpé toutes les informations utiles, je me suis retiré discrètement, cachant mon visage derrière un éventail de mystère. Dans ma malheureuse situation, j'étais pourtant doté d'une chance surprenante. Me retirant hors de la cellule. Je préférais conserver ma couverture de petite fille en détresse en rangeant mes vêtements. Sortit en premier, j’attendis mon compère d'infortune.
Je pouvais à peine réprimer un rictus d'amusement en observant la manière brutale dont il traînait son complice, sans la moindre subtilité. Mais, naturellement, cette affaire ne me regardait pas. Je penchai la tête sur le côté, prêt à lui adresser mes paroles :
« Un individu d'une délicatesse aussi exquise que la mienne doit maintenir une apparence irréprochable. Peu sont ceux qui ont le privilège d'apercevoir ma peau d'albâtre. Alors, non, mon cher ami, tu devras trouver un moyen de transporter ton camarade. Il est hors de question que je me pavane à moitié dévêtu dans ces sinistres couloirs glacés et souillés. Ce serait la cerise sur le gâteau de l'absurdité, et nous n'en sommes pas encore là ! »
Ma foi, la dignité avant toute chose, me dis-je avec une assurance qui frisait l'arrogance. Il était évident que mon compère avait la force nécessaire pour porter ce fardeau, je n'en doutais guère. Cependant, il était indéniable que notre sac improvisé de patates, en plus d'être des plus inélégants, nous handicapait considérablement. Notre progression s'en trouvait entravée, et le pire de tout, c'est que nous étions aussi discrets que des éléphants dans un magasin de porcelaine. Il n'était point difficile de prévoir que notre marche forcerait bientôt l'attention de cette bande de malandrins qui se faisaient passer pour des shinobis de Kiri. Qu'importe ce qu'étaient devenus les authentiques propriétaires de ces bandeaux, mon unique préoccupation demeurait notre salut, qu'il conviendrait de préserver coûte que coûte.
Il était grand temps de jouer la carte de la ruse. Pourtant, il m'était pénible de devoir mettre à profit mes capacités pour un imbécile. Tournant le dos à mon acolyte, je sortis un parchemin orné d'un sceau, m'approchant de ce colosse endormi. Un « pouf » retentit bruyamment, accompagné d'un nuage de fumée blanche, et, en un clin d'œil, plus de sac de patates à l'horizon. Le parchemin scellé enroulé entre mes doigts, je le tendis à cet amas d'eau humaine, à l'intérieur duquel se trouvait soigneusement enfermé son ami.
« Vois-tu, l'ami, il semblerait que tu aies accumulé une certaine dette envers ma modeste personne. Quant à ce qui concerne la manigance de ces pauvres sots, nous n'avons pas encore tissé des liens suffisamment étroits pour que je puisse te révéler les mystères de ma malice, mon cher petit coquin ~ A partir de maintenant, tu es mon débiteur et tu te dois d’assurer ma protection. »
Vous croyiez vraiment que j'allais tout donner, mon précieux chakra, sans espérer quelque retour en échange ? Vous me connaissez bien mal, mes amis ! Dans notre univers shinobi, c'est un peu comme dans le commerce, tout est une question de négociation. Certes, mon camarade pourrait me tenir responsable de sa présence en ce lieu peu hospitalier, mais, avec sa force des plus modestes, un peu d'entraînement ne lui ferait sans doute pas de tort.
Tout en sortant de notre geôle, j'ai poussé vaillamment mon comparse devant moi, tel un bouclier humain improvisé. Et je dois dire que cela s'est avéré être un choix fort judicieux, car, en un éclair, un shuriken a percé l'air pour le transpercer de part en part. La simple pensée que cela aurait pu être moi à la place m'a donné des frissons dans le dos ! D'un geste vif, j'ai refermé la porte derrière moi, alors que la confusion régnait en maîtresse. Et de ma voix la plus impérative, je lui ai crié :
« Courage, mon ami ! J'ai la plus grande foi en tes capacités ! Montre donc à cet sot que tu peux leur donner une leçon ! »
Perdu dans l'obscurité, mes sens étaient en alerte, mais je n'avais accès qu'à un concert de jurons, de bruits de coups étouffés et de pas précipités. Une préparation s'imposait, je le sentais. L'idée de me sacrifier en tranchant mon propre poignet pour confectionner une corde d'étranglement avait effleuré mon esprit, mais je demeurais perplexe quant à la solidité du fil que j'aurais ainsi créé. C'était une énigme supplémentaire à résoudre dans cette nuit sombre. Ce monde était bien trop étrange et je ne connaissais pas tous les secrets qu’il me réservait.
Soudain, le tumulte s'apaisa, laissant place à un silence oppressant. Je me repliai sur le côté de la porte, prêt à réagir à tout instant. Au moment où elle s'entrouvrit, je fis preuve d'une agilité redoutable et d'une rapidité fulgurante, projetant le côté en acier de mon éventail en direction de la forme qui se dessinait dans l'obscurité. Un jet de liquide brusque m'éclaboussa le visage, et malgré la tension du moment, un sourire nerveux s'esquissa sur mon visage. La comédie macabre se poursuivait, et je m'apprêtais à en dévoiler le dénouement.
« Hahahaha ! C'est toi, mon cher ! Je ne doutais pas un instant que tu allais briller dans cette situation rocambolesque ! »
Je m'approchai de mon camarade, qui semblait bouillir de colère. Pour ma part, je n'éprouvais aucune once de regret pour "lui". Sortant dans le couloir, je découvris une mêlée de corps gisant à terre. C'est alors que j'arquai mon pouce en sa direction, et d'un ton taquin, je m'écriai :
« Bravo ! Je savais que tu étais digne d'être mon bouclier aqueux. Allez, allons chercher ton épée et reprendre mes précieux vivres et or et tirons nous ! »
Je ne m'attardai point et amorçai la montée des escaliers avec une discrétion digne des plus fins espions. Les marches montaient en spirale, un véritable labyrinthe menant vers l'inconnu. Chaque pas était un pas de plus vers l'énigme qui nous attendait. Les ombres dansaient sur les murs, créant une atmosphère de mystère et de suspense, tels les protagonistes d'une pièce de théâtre burlesque.
Une fois au sommet, je me risquai à glisser ma tête à l'extérieur du coin du mur, et là, je fus témoin d'une scène digne des plus farcesques des comédies. Un homme, manifestement dépourvu de toute intelligence, se tenait en sentinelle devant la porte que nous cherchions. Nos biens précieux, sans nul doute, devaient se trouver derrière cette barrière.
Me retournant vers mon complice, qui arborait une mine boudeuse, je soufflai d'un ton comique :
« C'est le moment, mon ami. Notre prochaine péripétie s'annonce des plus rocambolesques, je compte sur toi !!! »
Je brandis mes deux pouces en signe de soutien tout en lançant un regard malicieux. Pensez-vous réellement que j'allais venir à son secours ? Vous me surestimez grandement. Vous savez, je suis d'une nature délicate. Un ongle ébréché pourrait bien m'envoyer à l'agonie, et je ne vous parle même pas de la douleur insoutenable qu'un ongle incarné pourrait me causer.
« Ah, vous êtes le phare de mon infortune, le navire échoué sur les récifs de la désorientation ! Point de souci, mes précieuses crèmes à la choucroute. Dites tout ce que cet aimable monsieur désire entendre, et révélez-nous la voie vers la liberté, s'il vous plaît. »
Je m'étais incliné vers eux, chuchotant mes instructions d'une voix doucereuse. Ces hommes stupides, semblaient captivées par mon charme inattendu. Après avoir extirpé toutes les informations utiles, je me suis retiré discrètement, cachant mon visage derrière un éventail de mystère. Dans ma malheureuse situation, j'étais pourtant doté d'une chance surprenante. Me retirant hors de la cellule. Je préférais conserver ma couverture de petite fille en détresse en rangeant mes vêtements. Sortit en premier, j’attendis mon compère d'infortune.
Je pouvais à peine réprimer un rictus d'amusement en observant la manière brutale dont il traînait son complice, sans la moindre subtilité. Mais, naturellement, cette affaire ne me regardait pas. Je penchai la tête sur le côté, prêt à lui adresser mes paroles :
« Un individu d'une délicatesse aussi exquise que la mienne doit maintenir une apparence irréprochable. Peu sont ceux qui ont le privilège d'apercevoir ma peau d'albâtre. Alors, non, mon cher ami, tu devras trouver un moyen de transporter ton camarade. Il est hors de question que je me pavane à moitié dévêtu dans ces sinistres couloirs glacés et souillés. Ce serait la cerise sur le gâteau de l'absurdité, et nous n'en sommes pas encore là ! »
Ma foi, la dignité avant toute chose, me dis-je avec une assurance qui frisait l'arrogance. Il était évident que mon compère avait la force nécessaire pour porter ce fardeau, je n'en doutais guère. Cependant, il était indéniable que notre sac improvisé de patates, en plus d'être des plus inélégants, nous handicapait considérablement. Notre progression s'en trouvait entravée, et le pire de tout, c'est que nous étions aussi discrets que des éléphants dans un magasin de porcelaine. Il n'était point difficile de prévoir que notre marche forcerait bientôt l'attention de cette bande de malandrins qui se faisaient passer pour des shinobis de Kiri. Qu'importe ce qu'étaient devenus les authentiques propriétaires de ces bandeaux, mon unique préoccupation demeurait notre salut, qu'il conviendrait de préserver coûte que coûte.
Il était grand temps de jouer la carte de la ruse. Pourtant, il m'était pénible de devoir mettre à profit mes capacités pour un imbécile. Tournant le dos à mon acolyte, je sortis un parchemin orné d'un sceau, m'approchant de ce colosse endormi. Un « pouf » retentit bruyamment, accompagné d'un nuage de fumée blanche, et, en un clin d'œil, plus de sac de patates à l'horizon. Le parchemin scellé enroulé entre mes doigts, je le tendis à cet amas d'eau humaine, à l'intérieur duquel se trouvait soigneusement enfermé son ami.
« Vois-tu, l'ami, il semblerait que tu aies accumulé une certaine dette envers ma modeste personne. Quant à ce qui concerne la manigance de ces pauvres sots, nous n'avons pas encore tissé des liens suffisamment étroits pour que je puisse te révéler les mystères de ma malice, mon cher petit coquin ~ A partir de maintenant, tu es mon débiteur et tu te dois d’assurer ma protection. »
Vous croyiez vraiment que j'allais tout donner, mon précieux chakra, sans espérer quelque retour en échange ? Vous me connaissez bien mal, mes amis ! Dans notre univers shinobi, c'est un peu comme dans le commerce, tout est une question de négociation. Certes, mon camarade pourrait me tenir responsable de sa présence en ce lieu peu hospitalier, mais, avec sa force des plus modestes, un peu d'entraînement ne lui ferait sans doute pas de tort.
Tout en sortant de notre geôle, j'ai poussé vaillamment mon comparse devant moi, tel un bouclier humain improvisé. Et je dois dire que cela s'est avéré être un choix fort judicieux, car, en un éclair, un shuriken a percé l'air pour le transpercer de part en part. La simple pensée que cela aurait pu être moi à la place m'a donné des frissons dans le dos ! D'un geste vif, j'ai refermé la porte derrière moi, alors que la confusion régnait en maîtresse. Et de ma voix la plus impérative, je lui ai crié :
« Courage, mon ami ! J'ai la plus grande foi en tes capacités ! Montre donc à cet sot que tu peux leur donner une leçon ! »
Perdu dans l'obscurité, mes sens étaient en alerte, mais je n'avais accès qu'à un concert de jurons, de bruits de coups étouffés et de pas précipités. Une préparation s'imposait, je le sentais. L'idée de me sacrifier en tranchant mon propre poignet pour confectionner une corde d'étranglement avait effleuré mon esprit, mais je demeurais perplexe quant à la solidité du fil que j'aurais ainsi créé. C'était une énigme supplémentaire à résoudre dans cette nuit sombre. Ce monde était bien trop étrange et je ne connaissais pas tous les secrets qu’il me réservait.
Soudain, le tumulte s'apaisa, laissant place à un silence oppressant. Je me repliai sur le côté de la porte, prêt à réagir à tout instant. Au moment où elle s'entrouvrit, je fis preuve d'une agilité redoutable et d'une rapidité fulgurante, projetant le côté en acier de mon éventail en direction de la forme qui se dessinait dans l'obscurité. Un jet de liquide brusque m'éclaboussa le visage, et malgré la tension du moment, un sourire nerveux s'esquissa sur mon visage. La comédie macabre se poursuivait, et je m'apprêtais à en dévoiler le dénouement.
« Hahahaha ! C'est toi, mon cher ! Je ne doutais pas un instant que tu allais briller dans cette situation rocambolesque ! »
Je m'approchai de mon camarade, qui semblait bouillir de colère. Pour ma part, je n'éprouvais aucune once de regret pour "lui". Sortant dans le couloir, je découvris une mêlée de corps gisant à terre. C'est alors que j'arquai mon pouce en sa direction, et d'un ton taquin, je m'écriai :
« Bravo ! Je savais que tu étais digne d'être mon bouclier aqueux. Allez, allons chercher ton épée et reprendre mes précieux vivres et or et tirons nous ! »
Je ne m'attardai point et amorçai la montée des escaliers avec une discrétion digne des plus fins espions. Les marches montaient en spirale, un véritable labyrinthe menant vers l'inconnu. Chaque pas était un pas de plus vers l'énigme qui nous attendait. Les ombres dansaient sur les murs, créant une atmosphère de mystère et de suspense, tels les protagonistes d'une pièce de théâtre burlesque.
Une fois au sommet, je me risquai à glisser ma tête à l'extérieur du coin du mur, et là, je fus témoin d'une scène digne des plus farcesques des comédies. Un homme, manifestement dépourvu de toute intelligence, se tenait en sentinelle devant la porte que nous cherchions. Nos biens précieux, sans nul doute, devaient se trouver derrière cette barrière.
Me retournant vers mon complice, qui arborait une mine boudeuse, je soufflai d'un ton comique :
« C'est le moment, mon ami. Notre prochaine péripétie s'annonce des plus rocambolesques, je compte sur toi !!! »
Je brandis mes deux pouces en signe de soutien tout en lançant un regard malicieux. Pensez-vous réellement que j'allais venir à son secours ? Vous me surestimez grandement. Vous savez, je suis d'une nature délicate. Un ongle ébréché pourrait bien m'envoyer à l'agonie, et je ne vous parle même pas de la douleur insoutenable qu'un ongle incarné pourrait me causer.
Suigetsu ressentait une fatigue pesante, résultat de cette rencontre avec un individu des plus étranges. C'était comme s'il avait dégoté la perle rare, mais pas nécessairement dans le bon sens. Toutefois, plutôt que de prendre cela comme une simple bizarrerie, il se demandait s'il n'aurait pas plus de chance au Bingo ou à une loterie. L'argent était un obstacle, mais il songeait déjà à détourner une partie du butin qu'ils prévoyaient de subtiliser. Après tout, le gamin qui les accompagnait voulait seulement récupérer ce qu'il avait pris à des bandits, une sorte de justice personnelle qui ne sonnait pas tout à fait comme du vol.
Dans cette situation inconfortable, Suigetsu ne pouvait s'empêcher de soupirer face au fardeau qu'était Juugo. Il était un poids mort, souvent inutile lorsque ses compétences étaient nécessaires. Suigetsu, témoin de la folie de son partenaire du groupe Taka, savait à quel point il serait difficile de le "calmer" quand il devenait barge. C'était une situation compliquée, et l'approche du gamin ne faisait qu'ajouter une couche de perplexité. Un arquement de sourcil exprima clairement le manque d'enthousiasme de Suigetsu, qui n'avait jamais porté Juugo particulièrement dans son cœur. Du moins, c’est ce qu’il aimait faire penser.
Épuisé rien qu'à penser à la suite des événements, il savait qu'une confrontation était inévitable. Se déplacer avec un fardeau aussi imposant ne permettait pas la discrétion, et l'ignorance totale envers l'autre spécimen attirait déjà l'attention. Ce serait un miracle s'ils n'étaient pas accueillis par une embuscade de malfrats sans talent.
L'espoir de Suigetsu reposait sur une idée simple : que leurs adversaires soient limités dans leur réserve de chakra que lui-même. La situation ne pouvait être que meilleure s'ils partageaient le même désavantage énergétique. Heureusement, la raison de leur présence à Juugo et lui, semblait être douée en sceaux, une compétence qui pouvait s'avérer cruciale. Bien qu'il restait dans l'ombre quant à la manière dont cet individu avait contrôlé les deux autres... Suigetsu venait de glaner une information importante.
Cependant, son étonnement prit une teinte d'incrédulité lorsqu'il apprit qu'il était apparemment redevable à cet étranger. La notion de servir de bouclier le fit froncer les sourcils. Certes, il n’était plus obligé de tirer son pauvre camarade, mais il commençait à réaliser que ce mystérieux personnage pouvait également se débrouiller. Alors, pourquoi devrait-il être le seul à se battre hein ? En plus, il avait besoin d’eau pour se ressourcer.
« Oh là, mec, tu veux dire quoi par "assurer ta sécurité" ? J'ai l'impression que t'as des plans bizarres en tête. J'ai pas signé pour devenir une barricade vivante. T'es sûr que t'as bien compris comment on fonctionne, nous autres, les ninjas ? On se bat, on tranche, on esquive, mais personne n'utilise Suigetsu Hozuki comme un vulgaire bouclier, t'as capté ? Alors, explique-moi ça clairement, parce que si tu penses que je vais me laisser utiliser de la sorte, tu risques de découvrir à quel point j'aime manier ma lame. »
La lame habituelle manquait cruellement à sa prise. Comme si cela ne suffisait pas, l'aimant à problèmes qu'il venait de croiser n'avait ni l'intention de l'écouter ni la moindre envie de se faire découper en deux. La preuve en était qu'à peine avait-il posé un pied dehors, après avoir ouvert la porte de leur zone de cellules, qu'il se fit violemment propulser en avant. La chance était avec lui, car sa condition étrange lui permit d'éviter d'être mortellement blessé par un shuriken. Avant même qu'il puisse se retourner, la porte de la cellule se referma brusquement, et il entendit des encouragements de la part de ce bouffon. Oh, il allait être servi en plat de sushis improvisé celui-là. Mais pour l'instant, il devait s'occuper de ces "enfoirés".
Alors qu'il se retrouvait ainsi précipité dans l'action, Suigetsu ne put s'empêcher de maudire le destin et ses rencontres malheureuses. Entre les ombres de la nuit, Suigetsu, privé de son chakra, laissait parler sa maîtrise acérée des arts martiaux. Dans l'obscurité, ses mouvements fluides étaient aussi indécelables que les vagues d'un lac calme. Les ennemis, tout aussi démunis de chakra, ne s'attendaient pas à la fureur silencieuse qui s'abattait sur eux.
Sans ses techniques aqueuses habituelles, Suigetsu compensait avec une agilité brute. Ses coups, précis et calculés, faisaient voler les adversaires hors d'équilibre, les laissant désorientés face à un ennemi qui avait toujours une longueur d'avance. Tandis que les éclats de métal résonnaient dans l'air nocturne, Suigetsu, dans son état amoindri, démontrait une maîtrise de l'art du combat au corps à corps. Sa silhouette dansait entre les assaillants, évitant les attaques avec une facilité déconcertante.
Malgré son absence de chakra, Suigetsu se révélait être un adversaire redoutable, transformant chaque coup en une leçon de combat. Son esprit aiguisé compensait largement le manque de techniques aquatiques. Les ennemis, initialement confiants, comprenaient rapidement que sous-estimer Suigetsu dans ces circonstances était une erreur fatale.
Dans l'ombre de la nuit, Suigetsu, dénué de sa puissance aquatique, devenait une silhouette insaisissable, un maître du combat à mains nues, déterminé à faire payer à ses ennemis chaque once d'arrogance qu'ils avaient pu avoir face à lui. Sa stratégie était simple : désorienter, désarmer, dominer. Les shinobis adverses, tout aussi démunis que lui, se retrouvaient impuissants face à cette force brute et calculée. Chaque coup de poing, chaque esquive, racontait l'histoire d'un combattant qui refusait de se soumettre, même sans la source d'énergie vitale qu'était le chakra. Au fil de la bataille, Suigetsu imposa sa présence intimidante, transformant l'absence de chakra en une arme redoutable. Son génie tactique et sa maîtrise physique étonnante firent de lui le véritable prédateur de la situation, prouvant que même privé de son pouvoir naturel, il restait un adversaire redoutable dans l'ombre de la bataille.
Il fallait souligner aussi qu’ils n’étaient que trois, mais il était déjà épuisé. De l’eau. Il avait besoin de boire sinon, s’il rencontrait d’autres adversaires, il ne répondait de rien. Il ouvrit à nouveau la porte où, était resté ce petit chenapan et voilà, qu’il se prenait un coup. Un regard noir, peu convaincu par le numéro de son vis-à-vis. Il croyait en lui hein ? Et maintenant, il reconnaissait qu’il le prenait pour son propre bouclier ? Il le suivit après avoir vérifier que le parchemin où, Juugo dormait était toujours à sa ceinture. Rien que pour cela, il allait bien se servir pour l’or.
« Hé, t'emballes pas trop vite, l'amigo. Tes richesses, va falloir qu'on en discute sérieusement. On n'est pas ici pour une partie de cueillette de champignons, et je n'ai pas l'intention de jouer les larbins pour que tu puisses te la couler douce. Si tu veux mon aide, faudra négocier, et ça vaut aussi pour tes vivres et ton or. On est peut-être dans la même galère, mais ça ne fait pas de toi le chef de la bande. »
Il n'était guère enthousiaste à l'idée de suivre des ordres, à part ceux de son chaton, mais c'était une tout autre histoire. Cependant, il avait la sensation de ne pas vraiment parler à un être humain. L'autre, agissait comme bon lui semblait. Il s'était dirigé vers l'étage où leurs biens dérobés étaient censés se trouver. Cependant, un rapide coup d'œil à travers le mur révéla qu'un affrontement était imminent. La cerise sur le gâteau : il était encore seul cette fois-ci. Quelle surprise ! Vous sentez l’ironie n’est-ce pas ? Son compagnon d'infortune ne montrait aucune intention de lui prêter main-forte. Franchement, il se jurait de ne plus jamais recroiser cet abruti de sa vie.
La tension dans l'air était palpable alors qu'il se préparait mentalement à l'affrontement qui l'attendait. Une situation qu'il aurait préféré éviter, mais semble-t-il, la destinée avait d'autres plans pour lui. Une petite voix sarcastique dans sa tête murmura que c'était bien sa veine, comme d'habitude. Un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de Suigetsu alors qu'il répondait d'un ton nonchalant :
« Oh, bien sûr, une aventure rocambolesque en perspective. J'ai déjà hâte. » Il leva un sourcil, mimant un enthousiasme feint. « Le moment que tu attends, hein ? C'est marrant, j'aurais plutôt dit que c'est le moment où tu vas te débrouiller tout seul. Je ne suis pas du genre à me lancer tête baissée dans des péripéties rocambolesques, tu sais. C'est trop risqué pour ma délicate personne. »
Il leva les yeux au ciel, toujours affublé de ce sourire malicieux. « Je te souhaite bien du courage. Et si tu perds un ongle en cours de route, je ne serai pas là pour jouer les infirmiers. Amuse-toi bien, et essaie de ne pas trop te faire massacrer. » Avec un dernier signe de pouce ironique, il tourna les talons, prêt à laisser son cher "ami" se débrouiller avec ses propres ennuis. Après tout, il avait besoin d’eau et puis, pourquoi devrait-il se taper tout le boulot, hein ? Sauf que voilà, sans s'en rendre compte, il ne pouvait plus bouger et se sentit tiré en arrière par une force étrange, le projetant dans le couloir contre un mur. Attirant ainsi tous les regards, essayant de comprendre ce qui s'était passé.
« Tsk. Hé.. »
Il n'eut pas le temps d'en dire davantage. Grâce à sa souplesse, il évita de justesse un autre coup, et la présence de Haruki avait mystérieusement disparu des parages. Comment avait-il accompli cela ? Finalement, la porte s'ouvrit, laissant apparaître un groupe d'hommes. Suigetsu, sentant son incapacité à affronter une multitude d'adversaires dans son état actuel, commença à paniquer intérieurement. Mais, il se reprit rapidement. L’adolescent, tentant de rester calme, esquissa un sourire désinvolte.
« Hé, les gars, pas besoin de jouer les gros bras. Je ne suis pas ici pour me battre. Je suis plutôt du genre à nager paisiblement dans un océan tranquille, vous voyez ? »
Non, n'est-ce pas ? Il conclut la séquence en assénant un coup de pied à celui qui avait tenté de le découper, avant de prendre ses jambes à son cou sans savoir exactement où il se dirigeait. Il allait devoir les éliminer un par un, sinon, il était fichu.
Dans cette situation inconfortable, Suigetsu ne pouvait s'empêcher de soupirer face au fardeau qu'était Juugo. Il était un poids mort, souvent inutile lorsque ses compétences étaient nécessaires. Suigetsu, témoin de la folie de son partenaire du groupe Taka, savait à quel point il serait difficile de le "calmer" quand il devenait barge. C'était une situation compliquée, et l'approche du gamin ne faisait qu'ajouter une couche de perplexité. Un arquement de sourcil exprima clairement le manque d'enthousiasme de Suigetsu, qui n'avait jamais porté Juugo particulièrement dans son cœur. Du moins, c’est ce qu’il aimait faire penser.
Épuisé rien qu'à penser à la suite des événements, il savait qu'une confrontation était inévitable. Se déplacer avec un fardeau aussi imposant ne permettait pas la discrétion, et l'ignorance totale envers l'autre spécimen attirait déjà l'attention. Ce serait un miracle s'ils n'étaient pas accueillis par une embuscade de malfrats sans talent.
L'espoir de Suigetsu reposait sur une idée simple : que leurs adversaires soient limités dans leur réserve de chakra que lui-même. La situation ne pouvait être que meilleure s'ils partageaient le même désavantage énergétique. Heureusement, la raison de leur présence à Juugo et lui, semblait être douée en sceaux, une compétence qui pouvait s'avérer cruciale. Bien qu'il restait dans l'ombre quant à la manière dont cet individu avait contrôlé les deux autres... Suigetsu venait de glaner une information importante.
Cependant, son étonnement prit une teinte d'incrédulité lorsqu'il apprit qu'il était apparemment redevable à cet étranger. La notion de servir de bouclier le fit froncer les sourcils. Certes, il n’était plus obligé de tirer son pauvre camarade, mais il commençait à réaliser que ce mystérieux personnage pouvait également se débrouiller. Alors, pourquoi devrait-il être le seul à se battre hein ? En plus, il avait besoin d’eau pour se ressourcer.
« Oh là, mec, tu veux dire quoi par "assurer ta sécurité" ? J'ai l'impression que t'as des plans bizarres en tête. J'ai pas signé pour devenir une barricade vivante. T'es sûr que t'as bien compris comment on fonctionne, nous autres, les ninjas ? On se bat, on tranche, on esquive, mais personne n'utilise Suigetsu Hozuki comme un vulgaire bouclier, t'as capté ? Alors, explique-moi ça clairement, parce que si tu penses que je vais me laisser utiliser de la sorte, tu risques de découvrir à quel point j'aime manier ma lame. »
La lame habituelle manquait cruellement à sa prise. Comme si cela ne suffisait pas, l'aimant à problèmes qu'il venait de croiser n'avait ni l'intention de l'écouter ni la moindre envie de se faire découper en deux. La preuve en était qu'à peine avait-il posé un pied dehors, après avoir ouvert la porte de leur zone de cellules, qu'il se fit violemment propulser en avant. La chance était avec lui, car sa condition étrange lui permit d'éviter d'être mortellement blessé par un shuriken. Avant même qu'il puisse se retourner, la porte de la cellule se referma brusquement, et il entendit des encouragements de la part de ce bouffon. Oh, il allait être servi en plat de sushis improvisé celui-là. Mais pour l'instant, il devait s'occuper de ces "enfoirés".
Alors qu'il se retrouvait ainsi précipité dans l'action, Suigetsu ne put s'empêcher de maudire le destin et ses rencontres malheureuses. Entre les ombres de la nuit, Suigetsu, privé de son chakra, laissait parler sa maîtrise acérée des arts martiaux. Dans l'obscurité, ses mouvements fluides étaient aussi indécelables que les vagues d'un lac calme. Les ennemis, tout aussi démunis de chakra, ne s'attendaient pas à la fureur silencieuse qui s'abattait sur eux.
Sans ses techniques aqueuses habituelles, Suigetsu compensait avec une agilité brute. Ses coups, précis et calculés, faisaient voler les adversaires hors d'équilibre, les laissant désorientés face à un ennemi qui avait toujours une longueur d'avance. Tandis que les éclats de métal résonnaient dans l'air nocturne, Suigetsu, dans son état amoindri, démontrait une maîtrise de l'art du combat au corps à corps. Sa silhouette dansait entre les assaillants, évitant les attaques avec une facilité déconcertante.
Malgré son absence de chakra, Suigetsu se révélait être un adversaire redoutable, transformant chaque coup en une leçon de combat. Son esprit aiguisé compensait largement le manque de techniques aquatiques. Les ennemis, initialement confiants, comprenaient rapidement que sous-estimer Suigetsu dans ces circonstances était une erreur fatale.
Dans l'ombre de la nuit, Suigetsu, dénué de sa puissance aquatique, devenait une silhouette insaisissable, un maître du combat à mains nues, déterminé à faire payer à ses ennemis chaque once d'arrogance qu'ils avaient pu avoir face à lui. Sa stratégie était simple : désorienter, désarmer, dominer. Les shinobis adverses, tout aussi démunis que lui, se retrouvaient impuissants face à cette force brute et calculée. Chaque coup de poing, chaque esquive, racontait l'histoire d'un combattant qui refusait de se soumettre, même sans la source d'énergie vitale qu'était le chakra. Au fil de la bataille, Suigetsu imposa sa présence intimidante, transformant l'absence de chakra en une arme redoutable. Son génie tactique et sa maîtrise physique étonnante firent de lui le véritable prédateur de la situation, prouvant que même privé de son pouvoir naturel, il restait un adversaire redoutable dans l'ombre de la bataille.
Il fallait souligner aussi qu’ils n’étaient que trois, mais il était déjà épuisé. De l’eau. Il avait besoin de boire sinon, s’il rencontrait d’autres adversaires, il ne répondait de rien. Il ouvrit à nouveau la porte où, était resté ce petit chenapan et voilà, qu’il se prenait un coup. Un regard noir, peu convaincu par le numéro de son vis-à-vis. Il croyait en lui hein ? Et maintenant, il reconnaissait qu’il le prenait pour son propre bouclier ? Il le suivit après avoir vérifier que le parchemin où, Juugo dormait était toujours à sa ceinture. Rien que pour cela, il allait bien se servir pour l’or.
« Hé, t'emballes pas trop vite, l'amigo. Tes richesses, va falloir qu'on en discute sérieusement. On n'est pas ici pour une partie de cueillette de champignons, et je n'ai pas l'intention de jouer les larbins pour que tu puisses te la couler douce. Si tu veux mon aide, faudra négocier, et ça vaut aussi pour tes vivres et ton or. On est peut-être dans la même galère, mais ça ne fait pas de toi le chef de la bande. »
Il n'était guère enthousiaste à l'idée de suivre des ordres, à part ceux de son chaton, mais c'était une tout autre histoire. Cependant, il avait la sensation de ne pas vraiment parler à un être humain. L'autre, agissait comme bon lui semblait. Il s'était dirigé vers l'étage où leurs biens dérobés étaient censés se trouver. Cependant, un rapide coup d'œil à travers le mur révéla qu'un affrontement était imminent. La cerise sur le gâteau : il était encore seul cette fois-ci. Quelle surprise ! Vous sentez l’ironie n’est-ce pas ? Son compagnon d'infortune ne montrait aucune intention de lui prêter main-forte. Franchement, il se jurait de ne plus jamais recroiser cet abruti de sa vie.
La tension dans l'air était palpable alors qu'il se préparait mentalement à l'affrontement qui l'attendait. Une situation qu'il aurait préféré éviter, mais semble-t-il, la destinée avait d'autres plans pour lui. Une petite voix sarcastique dans sa tête murmura que c'était bien sa veine, comme d'habitude. Un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de Suigetsu alors qu'il répondait d'un ton nonchalant :
« Oh, bien sûr, une aventure rocambolesque en perspective. J'ai déjà hâte. » Il leva un sourcil, mimant un enthousiasme feint. « Le moment que tu attends, hein ? C'est marrant, j'aurais plutôt dit que c'est le moment où tu vas te débrouiller tout seul. Je ne suis pas du genre à me lancer tête baissée dans des péripéties rocambolesques, tu sais. C'est trop risqué pour ma délicate personne. »
Il leva les yeux au ciel, toujours affublé de ce sourire malicieux. « Je te souhaite bien du courage. Et si tu perds un ongle en cours de route, je ne serai pas là pour jouer les infirmiers. Amuse-toi bien, et essaie de ne pas trop te faire massacrer. » Avec un dernier signe de pouce ironique, il tourna les talons, prêt à laisser son cher "ami" se débrouiller avec ses propres ennuis. Après tout, il avait besoin d’eau et puis, pourquoi devrait-il se taper tout le boulot, hein ? Sauf que voilà, sans s'en rendre compte, il ne pouvait plus bouger et se sentit tiré en arrière par une force étrange, le projetant dans le couloir contre un mur. Attirant ainsi tous les regards, essayant de comprendre ce qui s'était passé.
« Tsk. Hé.. »
Il n'eut pas le temps d'en dire davantage. Grâce à sa souplesse, il évita de justesse un autre coup, et la présence de Haruki avait mystérieusement disparu des parages. Comment avait-il accompli cela ? Finalement, la porte s'ouvrit, laissant apparaître un groupe d'hommes. Suigetsu, sentant son incapacité à affronter une multitude d'adversaires dans son état actuel, commença à paniquer intérieurement. Mais, il se reprit rapidement. L’adolescent, tentant de rester calme, esquissa un sourire désinvolte.
« Hé, les gars, pas besoin de jouer les gros bras. Je ne suis pas ici pour me battre. Je suis plutôt du genre à nager paisiblement dans un océan tranquille, vous voyez ? »
Non, n'est-ce pas ? Il conclut la séquence en assénant un coup de pied à celui qui avait tenté de le découper, avant de prendre ses jambes à son cou sans savoir exactement où il se dirigeait. Il allait devoir les éliminer un par un, sinon, il était fichu.
Par un soir ténébreux, où l'obscurité enrobait les moindres recoins d'une demeure mystérieuse, je me trouvais face à un individu audacieux qui, d'un ton dédaigneux, m'encouragea d'un simple "Bon courage, hein ?" Pensait-il vraiment que j'allais flancher devant un simple "non" ? Ah, il ne me connaissait guère. L'entêtement coulait dans mes veines tel un poison corrompant mon être. En de telles circonstances, je devenais le plus borné des hommes, une force de la nature que rien ne pouvait contraindre.
Il osa suggérer que c'était à moi de servir d'appât. Absurde ! J'avais en ma possession une autre carte à jouer, une carte que le destin avait dévoilée avec une ironie déconcertante. Qui aurait cru que je me retrouverais face à un membre du célèbre clan Hôzuki ? La chance, capricieuse compagne, ne m'avait point abandonné. L'inconnu s'évertuait à prendre la fuite, le parchemin contenant son ami à la ceinture, ignorant le fardeau qui pesait sur ses épaules.
Les hommes et leur fascination étrange pour les armes, véritables extensions de leur être, me laissaient perplexe. C'était un mystère insondable auquel je n'aspirais point à comprendre. D'un geste fluide, empreint d'une élégance presque malsaine, j'utilisai le peu de chakra en moi pour le projeter contre le mur, tel un pantin désarticulé. Profitant de sa stupeur, je m'éclipsai prestement dans l'ombre, descendant les escaliers avec une agilité féline. Ni vu, ni connu.
Aux pieds des marches, je tendis l'oreille, percevant le tumulte de la foule de l'autre côté du couloir à l’étage. Mon plan fonctionnait à la perfection. Assuré qu'il s'était éloigné, je montai les escaliers avec une rapidité fulgurante. La porte béante de la pièce principale me salua comme une invitation à laquelle je ne pouvais résister. Ils étaient d'une naïveté déconcertante, ces occupants de la demeure.
Pas de temps à perdre. Tel un dément avide de trésors, je me faufilai dans la pièce, jubilant de constater qu'elle était dépourvue de toute âme vivante. Une épée titanesque trônait inutilement, entourée de sacoches d'or et de sacs de vivres. Le spectacle évoquait une scène de l'au-delà, une vision d'opulence délirante. Mon esprit s'éveillait à la folie de l'instant, empreint d'une énergie démoniaque qui guidait chacun de mes gestes.
Il y avait bien plus à dérober que ce que j'avais initialement subtilisé à ces individus. Parfait, puisqu'ils étaient suffisamment crédules pour concentrer toutes leurs richesses dans une pièce unique, je ne ressentais nul remords à les priver de leurs possessions. Ces biens appartenaient déjà à d'autres, et je n'étais qu'un instrument du destin, déplaçant les pions sur l'échiquier de l'existence.
Extrayant de mes vêtements des parchemins soigneusement choisis, je me préparai à les emprisonner dans ces artefacts magiques. Mes doigts dansèrent avec une précision presque surnaturelle pour tracer les mudrâs nécessaires à leur captivité. Tel un enchanteur maudit, je libérai une énergie sombre qui les enveloppa, les confinant dans un espace magique.
Ensuite, d'un geste délibéré, je les enroulai comme des trophées de ma victoire occulte, les cachant une nouvelle fois dans les replis de mes vêtements. Un sourire se dessina sur mes lèvres, mais ce n'était pas le sourire d'un vulgaire voleur. C'était le sourire énigmatique d'un manipulateur, d'un être animé par une force mystérieuse et insaisissable.
Les mandrâs que j'avais esquissés semblaient pulser avec une vie propre, comme s'ils étaient dotés d'une conscience malicieuse. Mon esprit, imprégné d'une folie calculée, accueillit ce tableau diabolique avec une satisfaction teintée de sadisme. J'étais plus qu'un simple cambrioleur ; j'étais le marionnettiste orchestrant une danse macabre où les objets volés prenaient vie, tourbillonnant dans les ombres de ma propre folie orchestrée. Mon éclat de rire résonna dans la pièce silencieuse, un écho dérangeant de ma victoire sur la rationalité du monde. La salle était devenue vide.
Fier de mon petit manège, je décide de m'en aller. Avant cela, je tends à nouveau l'oreille pour m'assurer de ne rencontrer personne. Satisfait de constater l'absence de tout intrus, je me dis qu'il est vraiment temps pour moi de tirer ma révérence. Cependant, à peine sorti de la salle, je me retrouve face à de nouveaux shinobis, et pas seulement : mon ancien partenaire est également de la partie. Pourquoi diable les a-t-il dirigés vers moi ?
Pensant à esquiver la situation en prenant les escaliers, je me rends rapidement compte que c'est impossible. Il ne nous reste qu'une seule option : sauter par la fenêtre. Très bien, je finis par courir aux côtés de Suigetsu pour prendre la décision de plonger dans l'inconnu.
« Pourquoi donc, par tous les diables, es-tu revenu en leur compagnie ? N'avais-tu point la capacité de les abattre d'un coup sec, ou d'entreprendre quelque manœuvre plus astucieuse ? »
Le détachement glacial de mes paroles se mêlait à une lueur d'interrogation dans mon regard. Mon partenaire d’infortune, semblait avoir sombré dans une irrationalité insondable en attirant une nouvelle cohorte de shinobis à nos trousses. Un frisson d'incompréhension parcourut mon être, exacerbant le mystère déjà dense qui enveloppait la situation. Mon esprit, empreint de la rationalité austère d’un limier, s'efforçait de démêler le fil de cette énigme. La logique voulait que l'on échappe discrètement à nos poursuivants, enfin, que je m’échappe. L’autre, je ne le connais pas. Mais voilà que la réalité se transformait en une farce absurde et dérangeante. La folie semblait s'insinuer dans les méandres de notre destinée, distordant la trame même de la logique. L'absurdité de la situation s'imposait avec une intensité croissante. Il ne restait qu'une alternative : sauter par la fenêtre dont on se rapprochait de plus en plus. Un sourire énigmatique se dessina sur mes lèvres, un éclat de folie éclairant mon regard déterminé.
« Très bien. »
Dis-je d'une voix délibérément calme.
« Allons-y, courons et plongeons tête première dans l'incertitude. »
Enfin, plongés dans une incertitude palpable, je me permets un geste élégant à l’aide d’un de mes éventails, déclenchant une légère bourrasque. Mes compétences se limitent à cela, en fuuton. À ses côtés, nous nous lançons dans un saut périlleux. La hauteur est imposante, mais la nature d'un shinobi est d'affronter l'impensable et de toucher terre avec plus ou moins de grâce.
Particulièrement pour le jeune Suigetsu, je décide de prendre le contrôle de son corps, le manipulant pour qu'il me serve de matelas d'atterrissage. Mes pieds, malgré le trempage complet, demeurent insensibles à la douleur. C'est ainsi que, dans une scène à la limite du surréalisme, je réalise un petit salut de la main, signe de remerciement ou de défi, laissant planer le mystère de mes intentions.
« Pardonne-moi et accepte mes remerciements pour ton assistance ! À la revoyure, peut-être dans les méandres de l'inconnu ! »
De là, je m'élance de nouveau dans ma course effrénée, ignorant délibérément l'état du malheureux adolescent, dont la constitution, semblable à une plaie béante face à mon Kekkei Genkai, ne suscite guère mon intérêt.
Il osa suggérer que c'était à moi de servir d'appât. Absurde ! J'avais en ma possession une autre carte à jouer, une carte que le destin avait dévoilée avec une ironie déconcertante. Qui aurait cru que je me retrouverais face à un membre du célèbre clan Hôzuki ? La chance, capricieuse compagne, ne m'avait point abandonné. L'inconnu s'évertuait à prendre la fuite, le parchemin contenant son ami à la ceinture, ignorant le fardeau qui pesait sur ses épaules.
Les hommes et leur fascination étrange pour les armes, véritables extensions de leur être, me laissaient perplexe. C'était un mystère insondable auquel je n'aspirais point à comprendre. D'un geste fluide, empreint d'une élégance presque malsaine, j'utilisai le peu de chakra en moi pour le projeter contre le mur, tel un pantin désarticulé. Profitant de sa stupeur, je m'éclipsai prestement dans l'ombre, descendant les escaliers avec une agilité féline. Ni vu, ni connu.
Aux pieds des marches, je tendis l'oreille, percevant le tumulte de la foule de l'autre côté du couloir à l’étage. Mon plan fonctionnait à la perfection. Assuré qu'il s'était éloigné, je montai les escaliers avec une rapidité fulgurante. La porte béante de la pièce principale me salua comme une invitation à laquelle je ne pouvais résister. Ils étaient d'une naïveté déconcertante, ces occupants de la demeure.
Pas de temps à perdre. Tel un dément avide de trésors, je me faufilai dans la pièce, jubilant de constater qu'elle était dépourvue de toute âme vivante. Une épée titanesque trônait inutilement, entourée de sacoches d'or et de sacs de vivres. Le spectacle évoquait une scène de l'au-delà, une vision d'opulence délirante. Mon esprit s'éveillait à la folie de l'instant, empreint d'une énergie démoniaque qui guidait chacun de mes gestes.
Il y avait bien plus à dérober que ce que j'avais initialement subtilisé à ces individus. Parfait, puisqu'ils étaient suffisamment crédules pour concentrer toutes leurs richesses dans une pièce unique, je ne ressentais nul remords à les priver de leurs possessions. Ces biens appartenaient déjà à d'autres, et je n'étais qu'un instrument du destin, déplaçant les pions sur l'échiquier de l'existence.
Extrayant de mes vêtements des parchemins soigneusement choisis, je me préparai à les emprisonner dans ces artefacts magiques. Mes doigts dansèrent avec une précision presque surnaturelle pour tracer les mudrâs nécessaires à leur captivité. Tel un enchanteur maudit, je libérai une énergie sombre qui les enveloppa, les confinant dans un espace magique.
Ensuite, d'un geste délibéré, je les enroulai comme des trophées de ma victoire occulte, les cachant une nouvelle fois dans les replis de mes vêtements. Un sourire se dessina sur mes lèvres, mais ce n'était pas le sourire d'un vulgaire voleur. C'était le sourire énigmatique d'un manipulateur, d'un être animé par une force mystérieuse et insaisissable.
Les mandrâs que j'avais esquissés semblaient pulser avec une vie propre, comme s'ils étaient dotés d'une conscience malicieuse. Mon esprit, imprégné d'une folie calculée, accueillit ce tableau diabolique avec une satisfaction teintée de sadisme. J'étais plus qu'un simple cambrioleur ; j'étais le marionnettiste orchestrant une danse macabre où les objets volés prenaient vie, tourbillonnant dans les ombres de ma propre folie orchestrée. Mon éclat de rire résonna dans la pièce silencieuse, un écho dérangeant de ma victoire sur la rationalité du monde. La salle était devenue vide.
Fier de mon petit manège, je décide de m'en aller. Avant cela, je tends à nouveau l'oreille pour m'assurer de ne rencontrer personne. Satisfait de constater l'absence de tout intrus, je me dis qu'il est vraiment temps pour moi de tirer ma révérence. Cependant, à peine sorti de la salle, je me retrouve face à de nouveaux shinobis, et pas seulement : mon ancien partenaire est également de la partie. Pourquoi diable les a-t-il dirigés vers moi ?
Pensant à esquiver la situation en prenant les escaliers, je me rends rapidement compte que c'est impossible. Il ne nous reste qu'une seule option : sauter par la fenêtre. Très bien, je finis par courir aux côtés de Suigetsu pour prendre la décision de plonger dans l'inconnu.
« Pourquoi donc, par tous les diables, es-tu revenu en leur compagnie ? N'avais-tu point la capacité de les abattre d'un coup sec, ou d'entreprendre quelque manœuvre plus astucieuse ? »
Le détachement glacial de mes paroles se mêlait à une lueur d'interrogation dans mon regard. Mon partenaire d’infortune, semblait avoir sombré dans une irrationalité insondable en attirant une nouvelle cohorte de shinobis à nos trousses. Un frisson d'incompréhension parcourut mon être, exacerbant le mystère déjà dense qui enveloppait la situation. Mon esprit, empreint de la rationalité austère d’un limier, s'efforçait de démêler le fil de cette énigme. La logique voulait que l'on échappe discrètement à nos poursuivants, enfin, que je m’échappe. L’autre, je ne le connais pas. Mais voilà que la réalité se transformait en une farce absurde et dérangeante. La folie semblait s'insinuer dans les méandres de notre destinée, distordant la trame même de la logique. L'absurdité de la situation s'imposait avec une intensité croissante. Il ne restait qu'une alternative : sauter par la fenêtre dont on se rapprochait de plus en plus. Un sourire énigmatique se dessina sur mes lèvres, un éclat de folie éclairant mon regard déterminé.
« Très bien. »
Dis-je d'une voix délibérément calme.
« Allons-y, courons et plongeons tête première dans l'incertitude. »
Enfin, plongés dans une incertitude palpable, je me permets un geste élégant à l’aide d’un de mes éventails, déclenchant une légère bourrasque. Mes compétences se limitent à cela, en fuuton. À ses côtés, nous nous lançons dans un saut périlleux. La hauteur est imposante, mais la nature d'un shinobi est d'affronter l'impensable et de toucher terre avec plus ou moins de grâce.
Particulièrement pour le jeune Suigetsu, je décide de prendre le contrôle de son corps, le manipulant pour qu'il me serve de matelas d'atterrissage. Mes pieds, malgré le trempage complet, demeurent insensibles à la douleur. C'est ainsi que, dans une scène à la limite du surréalisme, je réalise un petit salut de la main, signe de remerciement ou de défi, laissant planer le mystère de mes intentions.
« Pardonne-moi et accepte mes remerciements pour ton assistance ! À la revoyure, peut-être dans les méandres de l'inconnu ! »
De là, je m'élance de nouveau dans ma course effrénée, ignorant délibérément l'état du malheureux adolescent, dont la constitution, semblable à une plaie béante face à mon Kekkei Genkai, ne suscite guère mon intérêt.
Les ténèbres de la grande bâtisse engloutirent Suigetsu, le dissimulant dans l'obscurité comme une ombre fluide. L'écho de ses pas résonnait dans les couloirs silencieux, ponctué par le doux claquement de l'eau qui composait son être. L'atmosphère était saturée de tension, chaque recoin de la structure semblait prêt à révéler un nouvel adversaire. La faible lueur des torches dispersées éclairait à peine les lieux, offrant à Suigetsu un camouflage idéal pour ses déplacements furtifs. Son agilité naturelle et ses capacités héréditaires, héritées de son clan Hozuki, lui conféraient un avantage indéniable dans cette obscurité oppressante.
Repérant un adversaire isolé, Suigetsu émergea des ténèbres. Ses bras se métamorphosèrent en lames liquides, une extension de son pouvoir unique. Il fondit sur sa cible avec une grâce déconcertante, exécutant une série de mouvements fluides qui laissèrent son adversaire désarmé avant qu'il n'ait pu riposter. Dans un instant, Suigetsu avait neutralisé son premier poursuivant.
Sans perdre un instant, il retourna dans l'ombre, disparaissant comme une goutte d'eau dans la mer. Son parcours labyrinthique à travers la bâtisse le conduisit à une salle plus vaste, où un groupe d'hommes l'attendait. Un sourire désinvolte se dessina sur le visage de Suigetsu.
« Hé, les gars, vous allez bien ? J’ai perdu mon chemin, si vous aviez la gentillesse de bien vouloir m’indiquer la sortie.. Non hein ? »
Son ton léger contrastait avec l'intensité de la situation. Cependant, les hommes, loin de se laisser berner, se lancèrent à l'attaque. Suigetsu esquiva habilement leurs assauts, utilisant la souplesse de son corps pour éviter les coups. Cependant, il savait qu'il ne pouvait pas se permettre de s'attarder face à une multitude d'adversaires. D'un geste fluide, Suigetsu fit jaillir l'eau de son corps pour créer une illusion de lui-même dans la salle. Les hommes, désorientés, s'acharnèrent sur l'image liquide, donnant à Suigetsu l'occasion de s'infiltrer dans les ténèbres.
Alors que la confusion régnait dans la pièce, Suigetsu poursuivit son chemin, traquant son prochain adversaire. La structure semblait sans fin, ses couloirs tortueux s'étendant dans toutes les directions. Il devait rester mobile, toujours en mouvement pour échapper à la vue de ses poursuivants. Le son de pas hésitants le conduisit à une pièce voisine. Un homme solitaire se tenait au milieu de la salle, ignorant le danger qui s'approchait. Suigetsu, se fondant dans l'ombre, émergea silencieusement derrière lui. Ses bras se transformèrent à nouveau en lames liquides, prêtes à l'action. La bataille qui s'ensuivit fut une danse mortelle. Les mouvements fluides de Suigetsu s'entremêlèrent avec la résistance désespérée de son adversaire. En un éclair, la lame liquide trancha l'air, neutralisant l'homme qui s'effondra au sol.
Cependant, la menace n'était pas écartée. Suigetsu savait que d'autres attendaient dans l'ombre. Il descendit rapidement un escalier, cherchant à échapper à la vue de ses ennemis. La pénombre des sous-sols de la bâtisse ajoutait un niveau supplémentaire d'incertitude à la situation. Son ouïe affûtée captait le moindre bruit, le prévenant des mouvements autour de lui. Un groupe plus conséquent se rassembla devant lui. Suigetsu, bien que conscient de son état affaibli, décida de faire face.
Le bruit de l'eau s'élevant de son corps créa une aura menaçante autour de lui. Ses bras se mirent en mouvement, devenant des lames aiguisées prêtes à découper tout sur leur passage. La bataille était inévitable. Suigetsu esquiva, parant, et contre-attaqua avec une précision presque artistique. Chaque geste était calculé, chaque mouvement exécuté avec une maîtrise impressionnante. Cependant, le nombre commença à peser sur lui. Une pensée traversa son esprit. Il devait trouver un moyen de s'échapper ou de repousser ses assaillants. Utilisant sa connaissance de la bâtisse qui était maigre, Suigetsu plongea dans les recoins sombres, se faufilant entre les ombres pour échapper temporairement à la mêlée.
C'était une course contre le temps. Suigetsu, épuisé mais déterminé, se prépara pour la prochaine phase de la bataille. Chaque coin obscur de la grande bâtisse pourrait cacher une nouvelle menace, mais il n'avait d'autre choix que de continuer à se battre, à esquiver, et à chercher la sortie de ce labyrinthe de danger. La bataille dans les ténèbres était loin d'être terminée.
Enfin, la décision de faire marche arrière s'imposa à lui, comme une conclusion inévitable. Aucune porte, aucune fenêtre ne se présentait à lui, à l'exception de cette fenêtre qui avait été le point de départ de sa tumultueuse course-poursuite. Il la contempla, cette ouverture à la fois alléchante et menaçante, le lieu où tout avait commencé. Son regard se posa sur l'individu qui avait joué avec lui, l'enfoiré qui avait manœuvré les ficelles de cette situation insensée. L'envie de le tuer pulsait en lui, une impulsion brutale dictée par la colère et la frustration. Cependant, une lueur de compréhension perça l'obscurité de son esprit tourmenté. Quelque chose n'allait pas avec cet individu, une évidence que même la fureur ne pouvait obscurcir.
Comment avait-il pu être projeté contre le mur de manière si abrupte ? Avant cela, ses pas avaient été entravés, immobilisé par une force mystérieuse. Ces incidents étaient bien trop étranges pour être le simple fait d'un gamin impulsif. Suigetsu, malgré son désir de vengeance, commença à douter. Le gamin, qui avait osé lui faire la morale sans lever le moindre petit doigt, se tenait là, à ses côtés en train de courir tout droit vers cette maudite fenêtre. Suigetsu, toujours tourné vers la fenêtre, répondit avec une froideur calculée :
« Crois-moi, si j'avais pu les éliminer d'un simple geste, je l'aurais fait. Et puis, je te signale, que tout ce qui arrive et ta faute ! »
Évidemment, ce n'était pas le moment pour des espiègleries, mais épuisé et traqué par une horde de meurtriers, il était sur les nerfs. S'ils avaient eu accès à leur chakra, ils ne s'en tireraient pas indemnes. Malgré tout, il trouva le courage de parler. La tension électrique était palpable, mais ses mots glissèrent dans l'air tendu, exprimant un mélange de fatigue et de défi.
« Ouais ouais sautons ! »
Lorsqu'ils bondirent à l'unisson, le contrôle d'Haruki sur son propre corps lui glissa entre les doigts. Il se mua malgré lui en marchepied pour cet individu agaçant. L'atterrissage brutal, avec une éclaboussure provoquée par son don héréditaire, n'apaisa pas sa frustration. Un simple "merci" fut tout ce qu'il reçut avant que l'énergumène ne s'éloigne. Une colère grandissante brûlait en lui. Les autres, faute de chakra, hésitaient à suivre le même chemin aérien. Suigetsu décida de pourchasser le trouble-fête en empruntant un itinéraire différent, réussissant à distancer ses poursuivants. Retournant involontairement au lieu de leur première rencontre, il donna un coup de pied à un caillou, épuisé. Puis, son regard fut captivé par une vision inattendue : son épée. S'y précipitant, il découvrit également un sac de provisions et un peu d'argent, accompagnés d'un mot : "Merci et à la prochaine, beau gosse".
Un rire dément s'échappa de sa gorge alors qu'il froissait le papier. "À la prochaine", avait-il mentionné ? Il espérait plutôt "à jamais".
Repérant un adversaire isolé, Suigetsu émergea des ténèbres. Ses bras se métamorphosèrent en lames liquides, une extension de son pouvoir unique. Il fondit sur sa cible avec une grâce déconcertante, exécutant une série de mouvements fluides qui laissèrent son adversaire désarmé avant qu'il n'ait pu riposter. Dans un instant, Suigetsu avait neutralisé son premier poursuivant.
Sans perdre un instant, il retourna dans l'ombre, disparaissant comme une goutte d'eau dans la mer. Son parcours labyrinthique à travers la bâtisse le conduisit à une salle plus vaste, où un groupe d'hommes l'attendait. Un sourire désinvolte se dessina sur le visage de Suigetsu.
« Hé, les gars, vous allez bien ? J’ai perdu mon chemin, si vous aviez la gentillesse de bien vouloir m’indiquer la sortie.. Non hein ? »
Son ton léger contrastait avec l'intensité de la situation. Cependant, les hommes, loin de se laisser berner, se lancèrent à l'attaque. Suigetsu esquiva habilement leurs assauts, utilisant la souplesse de son corps pour éviter les coups. Cependant, il savait qu'il ne pouvait pas se permettre de s'attarder face à une multitude d'adversaires. D'un geste fluide, Suigetsu fit jaillir l'eau de son corps pour créer une illusion de lui-même dans la salle. Les hommes, désorientés, s'acharnèrent sur l'image liquide, donnant à Suigetsu l'occasion de s'infiltrer dans les ténèbres.
Alors que la confusion régnait dans la pièce, Suigetsu poursuivit son chemin, traquant son prochain adversaire. La structure semblait sans fin, ses couloirs tortueux s'étendant dans toutes les directions. Il devait rester mobile, toujours en mouvement pour échapper à la vue de ses poursuivants. Le son de pas hésitants le conduisit à une pièce voisine. Un homme solitaire se tenait au milieu de la salle, ignorant le danger qui s'approchait. Suigetsu, se fondant dans l'ombre, émergea silencieusement derrière lui. Ses bras se transformèrent à nouveau en lames liquides, prêtes à l'action. La bataille qui s'ensuivit fut une danse mortelle. Les mouvements fluides de Suigetsu s'entremêlèrent avec la résistance désespérée de son adversaire. En un éclair, la lame liquide trancha l'air, neutralisant l'homme qui s'effondra au sol.
Cependant, la menace n'était pas écartée. Suigetsu savait que d'autres attendaient dans l'ombre. Il descendit rapidement un escalier, cherchant à échapper à la vue de ses ennemis. La pénombre des sous-sols de la bâtisse ajoutait un niveau supplémentaire d'incertitude à la situation. Son ouïe affûtée captait le moindre bruit, le prévenant des mouvements autour de lui. Un groupe plus conséquent se rassembla devant lui. Suigetsu, bien que conscient de son état affaibli, décida de faire face.
Le bruit de l'eau s'élevant de son corps créa une aura menaçante autour de lui. Ses bras se mirent en mouvement, devenant des lames aiguisées prêtes à découper tout sur leur passage. La bataille était inévitable. Suigetsu esquiva, parant, et contre-attaqua avec une précision presque artistique. Chaque geste était calculé, chaque mouvement exécuté avec une maîtrise impressionnante. Cependant, le nombre commença à peser sur lui. Une pensée traversa son esprit. Il devait trouver un moyen de s'échapper ou de repousser ses assaillants. Utilisant sa connaissance de la bâtisse qui était maigre, Suigetsu plongea dans les recoins sombres, se faufilant entre les ombres pour échapper temporairement à la mêlée.
C'était une course contre le temps. Suigetsu, épuisé mais déterminé, se prépara pour la prochaine phase de la bataille. Chaque coin obscur de la grande bâtisse pourrait cacher une nouvelle menace, mais il n'avait d'autre choix que de continuer à se battre, à esquiver, et à chercher la sortie de ce labyrinthe de danger. La bataille dans les ténèbres était loin d'être terminée.
Enfin, la décision de faire marche arrière s'imposa à lui, comme une conclusion inévitable. Aucune porte, aucune fenêtre ne se présentait à lui, à l'exception de cette fenêtre qui avait été le point de départ de sa tumultueuse course-poursuite. Il la contempla, cette ouverture à la fois alléchante et menaçante, le lieu où tout avait commencé. Son regard se posa sur l'individu qui avait joué avec lui, l'enfoiré qui avait manœuvré les ficelles de cette situation insensée. L'envie de le tuer pulsait en lui, une impulsion brutale dictée par la colère et la frustration. Cependant, une lueur de compréhension perça l'obscurité de son esprit tourmenté. Quelque chose n'allait pas avec cet individu, une évidence que même la fureur ne pouvait obscurcir.
Comment avait-il pu être projeté contre le mur de manière si abrupte ? Avant cela, ses pas avaient été entravés, immobilisé par une force mystérieuse. Ces incidents étaient bien trop étranges pour être le simple fait d'un gamin impulsif. Suigetsu, malgré son désir de vengeance, commença à douter. Le gamin, qui avait osé lui faire la morale sans lever le moindre petit doigt, se tenait là, à ses côtés en train de courir tout droit vers cette maudite fenêtre. Suigetsu, toujours tourné vers la fenêtre, répondit avec une froideur calculée :
« Crois-moi, si j'avais pu les éliminer d'un simple geste, je l'aurais fait. Et puis, je te signale, que tout ce qui arrive et ta faute ! »
Évidemment, ce n'était pas le moment pour des espiègleries, mais épuisé et traqué par une horde de meurtriers, il était sur les nerfs. S'ils avaient eu accès à leur chakra, ils ne s'en tireraient pas indemnes. Malgré tout, il trouva le courage de parler. La tension électrique était palpable, mais ses mots glissèrent dans l'air tendu, exprimant un mélange de fatigue et de défi.
« Ouais ouais sautons ! »
Lorsqu'ils bondirent à l'unisson, le contrôle d'Haruki sur son propre corps lui glissa entre les doigts. Il se mua malgré lui en marchepied pour cet individu agaçant. L'atterrissage brutal, avec une éclaboussure provoquée par son don héréditaire, n'apaisa pas sa frustration. Un simple "merci" fut tout ce qu'il reçut avant que l'énergumène ne s'éloigne. Une colère grandissante brûlait en lui. Les autres, faute de chakra, hésitaient à suivre le même chemin aérien. Suigetsu décida de pourchasser le trouble-fête en empruntant un itinéraire différent, réussissant à distancer ses poursuivants. Retournant involontairement au lieu de leur première rencontre, il donna un coup de pied à un caillou, épuisé. Puis, son regard fut captivé par une vision inattendue : son épée. S'y précipitant, il découvrit également un sac de provisions et un peu d'argent, accompagnés d'un mot : "Merci et à la prochaine, beau gosse".
Un rire dément s'échappa de sa gorge alors qu'il froissait le papier. "À la prochaine", avait-il mentionné ? Il espérait plutôt "à jamais".