Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 09.10.23 17:14
Deidara avait compris depuis le début que le succès de sa mission de capture de Gaara, l'hôte d'Ichibi, dépendrait largement de l'information. Les mots-clés ici étaient la connaissance et la compréhension. Sans ces éléments, son infiltration à Suna serait vouée à l'échec. Ainsi, il avait consacré de précieuses semaines à rassembler des renseignements cruciaux sur sa cible et sur la ville elle-même. L'obscurité de la nuit avait enveloppé Suna alors que Deidara se glissait furtivement dans les ombres des dunes de sable. Le sable, sec et brûlant sous ses pieds, ne le dérangeait guère, car il se sentait en pleine harmonie avec son environnement. Son sens de l'observation aiguisé, hérité de nombreuses années d'expérience en tant que ninja, l'aidait à éviter les gardes de la ville et à se déplacer en toute discrétion.
La première étape de sa mission de reconnaissance avait été de comprendre son adversaire, Gaara. Deidara avait suivi le jeune Kazekage pendant des jours, étudiant ses habitudes et ses routines. Il avait noté que Gaara passait beaucoup de temps seul, se retirant souvent dans les zones désertiques autour de Suna pour méditer. C'était un moment de vulnérabilité potentiel qu'il pouvait exploiter. Mais Deidara savait également que Gaara n'était jamais complètement sans protection. Il avait identifié les gardes du corps du Kazekage, des ninjas d'élite, et avait mémorisé leurs visages et leurs habitudes. Il était vital de connaître ses ennemis aussi bien que sa cible.
La ville elle-même était un élément clé de l'équation. Deidara avait cartographié Suna dans les moindres détails. Il avait dessiné des plans de la tour du Kazekage, de ses environs, et des principaux points d'accès. Il avait repéré les patrouilles de garde. Rien ne devait être laissé au hasard. Pour compléter son arsenal d'informations, Deidara avait également puisé dans les ressources de l'Akatsuki. Il avait consulté les dossiers internes de l'organisation, recueilli des rapports d'autres membres, et échangé des informations avec ses collègues. Toutes ces données s'emboîtaient pour former une image claire de la situation.
La préparation minutieuse, la connaissance de l'ennemi et de l'environnement, et la recherche méthodique faisaient partie de l'art de la guerre. L’artificier était un artiste, mais il était aussi un tacticien habile. Tout cela faisait partie de son plan pour réussir à capturer Gaara, l'hôte d'Ichibi. Maintenant, avec une base solide d'informations en main, Deidara était prêt à passer à la prochaine phase de sa mission : l'infiltration et la capture de Gaara. Le résultat de cette confrontation dépendrait de la manière dont il utiliserait les informations qu'il avait patiemment rassemblées.
Après des semaines d'efforts consacrés à la collecte d'informations cruciales sur Gaara et Suna, Deidara était finalement prêt à passer à la phase suivante de sa mission : la préparation de ses explosifs. Pour lui, l'art des explosions était bien plus qu'une simple compétence ; c'était une forme d'expression personnelle, une manière de créer de l'art éphémère à travers la destruction. Il avait passé d'innombrables heures à façonner chaque création explosive pour cette mission unique. L'argile explosive était le médium à partir duquel il créait ses œuvres d'art explosives. Pour cette mission, Deidara avait sélectionné soigneusement plusieurs types d'argile, chacun adapté à un objectif spécifique. Il les avait pétris, sculptés, et imprégnés de son chakra pour les doter de puissance explosive.
La première catégorie d'explosifs qu'il avait préparée était destinée à semer le chaos et la confusion parmi les gardes et les habitants de Suna. Deidara avait créé de petites bombes d'argile discrètes, conçues pour exploser avec un bruit assourdissant et libérer une pluie de débris tranchants. Ces explosifs seraient disséminés dans la ville avant son assaut, créant une diversion essentielle. Il savait qu'il devrait peut-être faire face à des adversaires redoutables en chemin vers Gaara. Pour les contrer, Deidara avait préparé des créations explosives plus puissantes. Ces œuvres d'art dévastatrices étaient capables de provoquer des explosions impressionnantes et de repousser tout obstacle sur son chemin. Chacune était une combinaison de sa créativité et de sa maîtrise du chakra explosif. À mesure qu'il achevait les préparatifs de ses explosifs, Deidara sentait l'excitation monter en lui. Il était prêt à mettre en œuvre son art explosif dans la ville de Suna, à déployer ses créations comme des chefs-d'œuvre éphémères dans le sable brûlant du désert. La mission était sur le point de commencer, et il était prêt à faire exploser l'obscurité de la nuit de Suna de mille couleurs éclatantes. Deidara avait achevé la préparation de ses explosifs, chaque création prête à jouer son rôle dans la mission visant à capturer Gaara, l'hôte d'Ichibi. Maintenant, il était temps de se lancer dans l'action et de mettre en œuvre ses œuvres d'art explosives dans le désert de Suna.
Deidara, maître de l'art explosif, avait compris que l'élément clé pour réussir son infiltration à Suna était de passer inaperçu jusqu'à ce que le moment propice se présente. Pour atteindre cet objectif, il avait adopté une approche ingénieuse, mêlant habilement la dissimulation à son art caractéristique.
Déguisé en marchand ambulant de bijoux en argile, Deidara se fondait parfaitement dans le paysage désertique. Ses cheveux blonds étaient dissimulés sous un turban, et il portait une longue cape pour se protéger du soleil brûlant. Son étalage de bijoux en argile, délicatement sculptés pour ressembler à des œuvres d'art, attirait l'attention des passants sans éveiller de soupçons. Il se mêlait habilement à la foule, engageant de courtes conversations avec les habitants de Suna pour paraître authentique. Sa couverture en tant que marchand ambulant était parfaite. Personne ne se doutait que cet artiste ambulant était en réalité un membre redoutable de l'Akatsuki, prêt à capturer le Kazekage. Cela lui allait, finalement, ce n’était pas si mal cette mission, le plus jeune membre de l’Akatsuki faisait sensation, même si, ce n’était pas son art original, mais au moins, ses bijoux semblaient faire sensation. Il allait attaquer bientôt, il était peut-être temps qu’il parte pour donner un dernier regard sur ses préparations, mais il ne pouvait malheureusement pas fermer son stand à cause d’une certaine personne. Une fille aux goûts raffinés.
« Puis-je vous aider ? Un bijou vous a tapé dans l’œil ? »
La première étape de sa mission de reconnaissance avait été de comprendre son adversaire, Gaara. Deidara avait suivi le jeune Kazekage pendant des jours, étudiant ses habitudes et ses routines. Il avait noté que Gaara passait beaucoup de temps seul, se retirant souvent dans les zones désertiques autour de Suna pour méditer. C'était un moment de vulnérabilité potentiel qu'il pouvait exploiter. Mais Deidara savait également que Gaara n'était jamais complètement sans protection. Il avait identifié les gardes du corps du Kazekage, des ninjas d'élite, et avait mémorisé leurs visages et leurs habitudes. Il était vital de connaître ses ennemis aussi bien que sa cible.
La ville elle-même était un élément clé de l'équation. Deidara avait cartographié Suna dans les moindres détails. Il avait dessiné des plans de la tour du Kazekage, de ses environs, et des principaux points d'accès. Il avait repéré les patrouilles de garde. Rien ne devait être laissé au hasard. Pour compléter son arsenal d'informations, Deidara avait également puisé dans les ressources de l'Akatsuki. Il avait consulté les dossiers internes de l'organisation, recueilli des rapports d'autres membres, et échangé des informations avec ses collègues. Toutes ces données s'emboîtaient pour former une image claire de la situation.
La préparation minutieuse, la connaissance de l'ennemi et de l'environnement, et la recherche méthodique faisaient partie de l'art de la guerre. L’artificier était un artiste, mais il était aussi un tacticien habile. Tout cela faisait partie de son plan pour réussir à capturer Gaara, l'hôte d'Ichibi. Maintenant, avec une base solide d'informations en main, Deidara était prêt à passer à la prochaine phase de sa mission : l'infiltration et la capture de Gaara. Le résultat de cette confrontation dépendrait de la manière dont il utiliserait les informations qu'il avait patiemment rassemblées.
Après des semaines d'efforts consacrés à la collecte d'informations cruciales sur Gaara et Suna, Deidara était finalement prêt à passer à la phase suivante de sa mission : la préparation de ses explosifs. Pour lui, l'art des explosions était bien plus qu'une simple compétence ; c'était une forme d'expression personnelle, une manière de créer de l'art éphémère à travers la destruction. Il avait passé d'innombrables heures à façonner chaque création explosive pour cette mission unique. L'argile explosive était le médium à partir duquel il créait ses œuvres d'art explosives. Pour cette mission, Deidara avait sélectionné soigneusement plusieurs types d'argile, chacun adapté à un objectif spécifique. Il les avait pétris, sculptés, et imprégnés de son chakra pour les doter de puissance explosive.
La première catégorie d'explosifs qu'il avait préparée était destinée à semer le chaos et la confusion parmi les gardes et les habitants de Suna. Deidara avait créé de petites bombes d'argile discrètes, conçues pour exploser avec un bruit assourdissant et libérer une pluie de débris tranchants. Ces explosifs seraient disséminés dans la ville avant son assaut, créant une diversion essentielle. Il savait qu'il devrait peut-être faire face à des adversaires redoutables en chemin vers Gaara. Pour les contrer, Deidara avait préparé des créations explosives plus puissantes. Ces œuvres d'art dévastatrices étaient capables de provoquer des explosions impressionnantes et de repousser tout obstacle sur son chemin. Chacune était une combinaison de sa créativité et de sa maîtrise du chakra explosif. À mesure qu'il achevait les préparatifs de ses explosifs, Deidara sentait l'excitation monter en lui. Il était prêt à mettre en œuvre son art explosif dans la ville de Suna, à déployer ses créations comme des chefs-d'œuvre éphémères dans le sable brûlant du désert. La mission était sur le point de commencer, et il était prêt à faire exploser l'obscurité de la nuit de Suna de mille couleurs éclatantes. Deidara avait achevé la préparation de ses explosifs, chaque création prête à jouer son rôle dans la mission visant à capturer Gaara, l'hôte d'Ichibi. Maintenant, il était temps de se lancer dans l'action et de mettre en œuvre ses œuvres d'art explosives dans le désert de Suna.
Deidara, maître de l'art explosif, avait compris que l'élément clé pour réussir son infiltration à Suna était de passer inaperçu jusqu'à ce que le moment propice se présente. Pour atteindre cet objectif, il avait adopté une approche ingénieuse, mêlant habilement la dissimulation à son art caractéristique.
Déguisé en marchand ambulant de bijoux en argile, Deidara se fondait parfaitement dans le paysage désertique. Ses cheveux blonds étaient dissimulés sous un turban, et il portait une longue cape pour se protéger du soleil brûlant. Son étalage de bijoux en argile, délicatement sculptés pour ressembler à des œuvres d'art, attirait l'attention des passants sans éveiller de soupçons. Il se mêlait habilement à la foule, engageant de courtes conversations avec les habitants de Suna pour paraître authentique. Sa couverture en tant que marchand ambulant était parfaite. Personne ne se doutait que cet artiste ambulant était en réalité un membre redoutable de l'Akatsuki, prêt à capturer le Kazekage. Cela lui allait, finalement, ce n’était pas si mal cette mission, le plus jeune membre de l’Akatsuki faisait sensation, même si, ce n’était pas son art original, mais au moins, ses bijoux semblaient faire sensation. Il allait attaquer bientôt, il était peut-être temps qu’il parte pour donner un dernier regard sur ses préparations, mais il ne pouvait malheureusement pas fermer son stand à cause d’une certaine personne. Une fille aux goûts raffinés.
« Puis-je vous aider ? Un bijou vous a tapé dans l’œil ? »
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 10.10.23 9:34
Avant l'attaque de Deidara contre le Cinquième Kazekage, j'ai préféré m'éclipser discrètement de la surveillance de mon grand-père, Ebizo, le chef du conseil de Suna. Il ne me voyait que comme un échec, une sorte de folle de la famille Mizukata, en raison de ma personnalité excentrique et de mon côté efféminé sur lequel, je jouais énormément. J’aimais me travestir auprès des inconnus, comme ça, je ne restais pas souvent dans les pensées des autres. Je n’avais aucun ami ici. Juste un grand-père qui, si il connaissait que j’avais bel et bien hérité de mon don héréditaire, m’enfermerait sûrement. Ma famille, a été sacrifiée pour le bien de ce village, pour la famille « Royale » de Suna dont le titre de Kage, ne revenait qu’à la descendante directe. En dernière recours, lointaine, mais vu qu’ils étaient trois. L’avenir de ce village semblait vivre de beaux jours.
Mon esprit était ailleurs alors que je me retirais dans un coin isolé de Suna. Je m'évadai dans ma petite oasis secrète, une cachette bien dissimulée loin du tumulte de Suna. La maison en pierre se dressait fièrement au sommet d'une petite colline, dominant le village en contrebas. C'était un endroit isolé, à la fois près et loin des regards indiscrets des citoyens de Suna. La porte en bois grinça légèrement lorsque j'entrai, révélant l'intérieur confortable de la maison. Les murs étaient ornés de peintures colorées, une manifestation de ma passion pour l'art. Mon regard se posa ensuite sur la cour à l'arrière de la maison.
Là, une voilière s'étendait, composée de nombreuses cages suspendues, chacune abritant un oiseau différent. Les oiseaux étaient une fascination personnelle, un rappel de mon lien unique avec les fluides et la nature. Leurs chants doux et mélodieux remplissaient l'air, créant une atmosphère paisible et sereine. Je m'approchai de la volière avec précaution, observant les oiseaux aux couleurs vives et variées. Leurs plumes chatoyaient sous la lumière du soleil, et je me sentais en harmonie avec ce petit coin de nature que j'avais créé pour moi-même. C'était un refuge, un endroit où je pouvais m'évader du monde extérieur et être en paix avec mes pensées.
Le vent léger soufflait à travers la cour, faisant tinter légèrement les cages. Je laissai échapper un soupir de soulagement, savourant la tranquillité de cet endroit caché. C'était là que je trouvais la sérénité et la créativité dont j'avais besoin pour échapper aux pressions de ma famille et de mon village.
J'étais seul dans ma cour secrète, à l'abri des regards indiscrets, et je n'avais plus besoin de porter ce masque de l'idiot que j'avais cultivé pendant si longtemps. Ce masque de pleutre et d'incapable qui m'avait valu la réputation d'un garçon avec une tête vide, obsédé par les éventails. Bien sûr, c'était triste d'une certaine manière, mais cela avait ses avantages. Au moins, j'étais tranquille ici.
La solitude était un fardeau qui pesait sur moi, mais avec la compagnie de ces oiseaux que j'avais capturé moi-même, elle était un peu moins étouffante. Alors, de façon exagérée, je commençai à raconter ma journée, bien que je la trouve bien trop barbante à mon goût.
« Ah, mes amis à plumes, laissez-moi vous narrer l'ennui abyssal qui m'a assailli aujourd'hui ! »
M'écriai-je, mes gestes et mes expressions exagérés pour rendre le récit encore plus dramatique. Ma journée a été d'un ennui mortel, je dois dire. Mon cher grand-père ne rate jamais l'occasion de me sermonner sur le fait que je suis toujours Genin à mon âge. Comme s'il pensait que le grade définissait réellement la valeur d'un ninja ! Mais que peut-il comprendre de mes véritables talents et de ma soif de connaissances ? Il me voit comme un échec, mais il ignore que ma véritable puissance se cache dans les ombres, dans les secrets de la maîtrise des fluides. Il ne voit que la surface, mais moi, je vois au-delà, dans les mystères de l'art ninja. Un sourire sarcastique étire mes lèvres. Je caressai délicatement les barres en bois précieux de la voilière, écoutant attentivement les doux gazouillements des oiseaux. Ils semblaient apaisés, presque en harmonie avec le calme de cet endroit secret. Puis, prenant un peu de graines, je les leur offris, observant avec fascination comment ils se précipitaient pour se nourrir. Dans un murmure confiant, je leur fis part de mes projets.
« Peut-être suis-je destiné à rester un Genin éternellement, un éternel élève dans l'école de la vie. Mais peu importe. La grandeur ne se mesure pas au grade, mais à la maîtrise de soi et à la compréhension des mystères du monde qui nous entoure. »
Mes chers amis à plumes, aujourd'hui, je m'en vais explorer un monde mystérieux. Il paraît qu'un marchand a récemment acquis des bijoux en argile, une rareté que je n'ai jamais eu le plaisir de voir. L'idée même de ces créations m'intrigue au plus haut point. Je vais tenter de comprendre leur essence, leur beauté unique. Ne vous inquiétez pas, je reviendrai bientôt avec des récits fascinants à partager.
Ils gazouillèrent en réponse, comme s'ils comprenaient mes paroles. Avec un dernier regard sur eux, je m'éloignai de la voilière, l'excitation de la découverte illuminant mes yeux. Ce marchand promettait une aventure dans le monde de l'inconnu, et rien ne pouvait me retenir loin de cette opportunité de percer les secrets des bijoux en argile.
Je me dirigeai vers le marché, curieux de voir de mes propres yeux les bijoux en argile dont j'avais entendu parler. Les rumeurs disaient que ces créations étaient d'un genre totalement inédit, et ma passion pour l'art m'incitait à ne pas manquer une telle opportunité.
Mais dès que j'approchai du stand en question, quelque chose attira immédiatement mon attention. Ce n'était pas la vision des bijoux, mais plutôt une odeur, une odeur familière et troublante. Une odeur qui me rappelait un sinistre passé. Mes narines se frémirent alors que je scrutais les environs à la recherche de la source de cette senteur étrangement familière. Une odeur que j’avais respiré pour avoir expérimenté cette « épice » spéciale pour l’un de mes poisons. J’avais un parfum pyrogène sur moi. Est-ce que je me faisais des idées ?
Je me tenais là, partagé entre la fascination pour les bijoux en argile devant moi et le danger que représentait la présence de cet ingrédient mystère. C’était subtile. Mon esprit était en alerte, mes sens en éveil, car je savais que cette rencontre n'était pas due au hasard. Il faudrait que je puisse en prendre un et le renifler. Cet étranger avait un plan en tête, et je devais être prêt à faire face à tout ce qu'il pourrait déclencher.
Face à cet intriguant personnage qui se tenait derrière le stand, je me mis à agir comme une jeune fille, essayant de masquer mon malaise. L’inconnu m'interrogea d'une voix amicale, me demandant si l'un des bijoux m'avait attiré. Je répondis en prenant un ton doux et flirtant, jouant le rôle d'une demoiselle intriguée par les bijoux en argile.
« Oh, peut-être bien! »
Répondis-je avec un petit rire coquet, tout en feignant un intérêt pour les créations devant moi. Mon objectif était de paraître inoffensif et désintéressé par autre chose que les bijoux, tout en gardant un œil sur Deidara et sur les éventuels indices qu'il pourrait révéler.
« C’est difficile de choisir hmm. Vous possédez des mains divines pour confectionner de telles œuvres d’art. »
Mon esprit était ailleurs alors que je me retirais dans un coin isolé de Suna. Je m'évadai dans ma petite oasis secrète, une cachette bien dissimulée loin du tumulte de Suna. La maison en pierre se dressait fièrement au sommet d'une petite colline, dominant le village en contrebas. C'était un endroit isolé, à la fois près et loin des regards indiscrets des citoyens de Suna. La porte en bois grinça légèrement lorsque j'entrai, révélant l'intérieur confortable de la maison. Les murs étaient ornés de peintures colorées, une manifestation de ma passion pour l'art. Mon regard se posa ensuite sur la cour à l'arrière de la maison.
Là, une voilière s'étendait, composée de nombreuses cages suspendues, chacune abritant un oiseau différent. Les oiseaux étaient une fascination personnelle, un rappel de mon lien unique avec les fluides et la nature. Leurs chants doux et mélodieux remplissaient l'air, créant une atmosphère paisible et sereine. Je m'approchai de la volière avec précaution, observant les oiseaux aux couleurs vives et variées. Leurs plumes chatoyaient sous la lumière du soleil, et je me sentais en harmonie avec ce petit coin de nature que j'avais créé pour moi-même. C'était un refuge, un endroit où je pouvais m'évader du monde extérieur et être en paix avec mes pensées.
Le vent léger soufflait à travers la cour, faisant tinter légèrement les cages. Je laissai échapper un soupir de soulagement, savourant la tranquillité de cet endroit caché. C'était là que je trouvais la sérénité et la créativité dont j'avais besoin pour échapper aux pressions de ma famille et de mon village.
J'étais seul dans ma cour secrète, à l'abri des regards indiscrets, et je n'avais plus besoin de porter ce masque de l'idiot que j'avais cultivé pendant si longtemps. Ce masque de pleutre et d'incapable qui m'avait valu la réputation d'un garçon avec une tête vide, obsédé par les éventails. Bien sûr, c'était triste d'une certaine manière, mais cela avait ses avantages. Au moins, j'étais tranquille ici.
La solitude était un fardeau qui pesait sur moi, mais avec la compagnie de ces oiseaux que j'avais capturé moi-même, elle était un peu moins étouffante. Alors, de façon exagérée, je commençai à raconter ma journée, bien que je la trouve bien trop barbante à mon goût.
« Ah, mes amis à plumes, laissez-moi vous narrer l'ennui abyssal qui m'a assailli aujourd'hui ! »
M'écriai-je, mes gestes et mes expressions exagérés pour rendre le récit encore plus dramatique. Ma journée a été d'un ennui mortel, je dois dire. Mon cher grand-père ne rate jamais l'occasion de me sermonner sur le fait que je suis toujours Genin à mon âge. Comme s'il pensait que le grade définissait réellement la valeur d'un ninja ! Mais que peut-il comprendre de mes véritables talents et de ma soif de connaissances ? Il me voit comme un échec, mais il ignore que ma véritable puissance se cache dans les ombres, dans les secrets de la maîtrise des fluides. Il ne voit que la surface, mais moi, je vois au-delà, dans les mystères de l'art ninja. Un sourire sarcastique étire mes lèvres. Je caressai délicatement les barres en bois précieux de la voilière, écoutant attentivement les doux gazouillements des oiseaux. Ils semblaient apaisés, presque en harmonie avec le calme de cet endroit secret. Puis, prenant un peu de graines, je les leur offris, observant avec fascination comment ils se précipitaient pour se nourrir. Dans un murmure confiant, je leur fis part de mes projets.
« Peut-être suis-je destiné à rester un Genin éternellement, un éternel élève dans l'école de la vie. Mais peu importe. La grandeur ne se mesure pas au grade, mais à la maîtrise de soi et à la compréhension des mystères du monde qui nous entoure. »
Mes chers amis à plumes, aujourd'hui, je m'en vais explorer un monde mystérieux. Il paraît qu'un marchand a récemment acquis des bijoux en argile, une rareté que je n'ai jamais eu le plaisir de voir. L'idée même de ces créations m'intrigue au plus haut point. Je vais tenter de comprendre leur essence, leur beauté unique. Ne vous inquiétez pas, je reviendrai bientôt avec des récits fascinants à partager.
Ils gazouillèrent en réponse, comme s'ils comprenaient mes paroles. Avec un dernier regard sur eux, je m'éloignai de la voilière, l'excitation de la découverte illuminant mes yeux. Ce marchand promettait une aventure dans le monde de l'inconnu, et rien ne pouvait me retenir loin de cette opportunité de percer les secrets des bijoux en argile.
Je me dirigeai vers le marché, curieux de voir de mes propres yeux les bijoux en argile dont j'avais entendu parler. Les rumeurs disaient que ces créations étaient d'un genre totalement inédit, et ma passion pour l'art m'incitait à ne pas manquer une telle opportunité.
Mais dès que j'approchai du stand en question, quelque chose attira immédiatement mon attention. Ce n'était pas la vision des bijoux, mais plutôt une odeur, une odeur familière et troublante. Une odeur qui me rappelait un sinistre passé. Mes narines se frémirent alors que je scrutais les environs à la recherche de la source de cette senteur étrangement familière. Une odeur que j’avais respiré pour avoir expérimenté cette « épice » spéciale pour l’un de mes poisons. J’avais un parfum pyrogène sur moi. Est-ce que je me faisais des idées ?
Je me tenais là, partagé entre la fascination pour les bijoux en argile devant moi et le danger que représentait la présence de cet ingrédient mystère. C’était subtile. Mon esprit était en alerte, mes sens en éveil, car je savais que cette rencontre n'était pas due au hasard. Il faudrait que je puisse en prendre un et le renifler. Cet étranger avait un plan en tête, et je devais être prêt à faire face à tout ce qu'il pourrait déclencher.
Face à cet intriguant personnage qui se tenait derrière le stand, je me mis à agir comme une jeune fille, essayant de masquer mon malaise. L’inconnu m'interrogea d'une voix amicale, me demandant si l'un des bijoux m'avait attiré. Je répondis en prenant un ton doux et flirtant, jouant le rôle d'une demoiselle intriguée par les bijoux en argile.
« Oh, peut-être bien! »
Répondis-je avec un petit rire coquet, tout en feignant un intérêt pour les créations devant moi. Mon objectif était de paraître inoffensif et désintéressé par autre chose que les bijoux, tout en gardant un œil sur Deidara et sur les éventuels indices qu'il pourrait révéler.
« C’est difficile de choisir hmm. Vous possédez des mains divines pour confectionner de telles œuvres d’art. »
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 10.10.23 14:31
Deidara observait attentivement la réaction de cette jeune personne, qui semblait être à peine plus jeune que lui, cherchant des signes de méfiance ou d'appréhension. La jeune fille jouait parfaitement son rôle, feignant un intérêt pour les bijoux en argile tout en maintenant un certain éloignement vis-à-vis de l'étranger derrière le stand. Deidara savait qu'il ne fallait pas sous-estimer son client potentiel. Il répondit avec une légère inclinaison de tête, appréciant l'approbation implicite de ses compétences artistiques. Son sourire en coin ne faiblit pas, mais il gardait un œil vigilant sur Haruki. Après tout, il était si près de son but, il ne pouvait pas se permettre qu’unE inconnue puisse détruire ses plans.
Deidara observa attentivement la réaction de Haruki, qui jouait parfaitement son rôle de jeune fille intéressée par les bijoux en argile. Le compliment sur ses créations fit naître un sourire satisfait sur le visage de l'artiste de l'Akatsuki.
« Merci pour le compliment, hmm.[/b] » répondit Deidara avec un ton modeste, laissant planer un air de mystère autour de sa personne. « L'argile est un médium fascinant à travailler. Chacune de mes créations est unique, un vrai chef-d'œuvre éphémère.[/b] »
Il savait qu'il devait garder la conversation légère pour l'instant, sans révéler la véritable raison de sa présence à Suna. Toutefois, il était également conscient que Haruki était un client potentiellement intéressant, peut-être même un allié dans les ombres.
« Si vous le souhaitez, vous pouvez essayez un bijou, hmm, » proposa le jeune membre d'un ton amical. « Il y a beaucoup de détails à découvrir dans chaque pièce. »
La conversation semblait se dérouler selon le plan du blondinet de l’Akatsuki. Pour l'instant, l’adolescente semblait inoffensive et intéressée uniquement par les bijoux. Cependant, le kamikaze ne pouvait pas s'empêcher de se demander jusqu'où allait la curiosité de cette jeune fille et si elle avait réellement l'intention d'acheter quelque chose. Il la laissa donc, explorer les bijoux en argile à sa guise, tout en restant vigilant et prêt à passer à la phase suivante de leur échange, dès que le moment serait opportun. La danse de l'intrigue était en cours, et Deidara était déterminé à en tirer le meilleur parti pour servir les intérêts de l'Akatsuki. Il était si prêt du but, mais il était aussi très simple à plaire. Une remarque positive sur son art, non pas que vous l’ayez dans sa poche, mais au moins, il ne vous tuera pas de suite et essaiera de faire ça rapide si, il était obligé de commettre un attenta sur votre personne. Nulles personnes n’avaient survécu pour admirer pleinement son talent. C’était d’une tristesse, mais cela signifiait aussi que ses créations étaient plus impactantes, plus grandioses.
Il s'approcha légèrement du comptoir, gardant une distance respectueuse mais suffisamment proche pour poursuivre la conversation. Son regard se posa sur les bijoux en argile, puis se releva pour fixer Haruki avec curiosité.
« Si l'un de ces bijoux t'attire vraiment, n'hésite pas à le prendre. Hmm. »
Deidara, toujours dans son rôle de marchand d'argile, prit un collier en argile délicatement sculpté de l'étagère derrière lui. Il le présenta à Haruki avec une légèreté feinte, cachant habilement sa véritable intention.
Le collier était une véritable œuvre d'art explosive. La chaîne elle-même était faite d'une argile lisse et argentée, avec des perles d'argile sculptées à la main qui brillaient comme de véritables gemmes. Au centre du collier se trouvait un pendentif en forme de lotus, un symbole de beauté et d'élégance. Deidara avait soigneusement incrusté une petite bombe d'argile dans le cœur du lotus, la cachant astucieusement parmi les pétales délicats.
« Celui-ci, » dit Deidara d'un ton calme et raffiné tout en tendant le collier à Haruki, « est un bijou unique en son genre. L'argile utilisée pour le fabriquer est d'une qualité exceptionnelle, et les perles sont ornées de détails complexes hmm. » Il étudia le teint de la jeune « fille » avec un regard expert et ajouta, « Je pense que les tons argentés de ce collier mettraient en valeur la beauté de votre teint. Une pièce parfaite pour une personne aussi raffinée que vous. »
Bien sûr, le véritable trésor résidait dans la petite bombe dissimulée, prête à être utilisée si nécessaire. Deidara avait hâte de voir comment Haruki réagirait à cette offre et à l'objet qu'il venait de présenter.
Deidara observa attentivement Haruki alors que ce dernier examinait le collier en argile qu'il lui avait présenté. Son regard était empreint d'un mélange d'excitation et de curiosité, ce qui amusa secrètement Deidara. Il avait choisi le collier avec soin, sachant qu'il correspondait parfaitement au teint de la demoiselle. Après tout, les adolescents appréciaient généralement les bijoux, et Deidara avait de l'expérience dans l'art de manipuler les goûts et les désirs des autres.
Deidara observa attentivement la réaction de Haruki, qui jouait parfaitement son rôle de jeune fille intéressée par les bijoux en argile. Le compliment sur ses créations fit naître un sourire satisfait sur le visage de l'artiste de l'Akatsuki.
« Merci pour le compliment, hmm.[/b] » répondit Deidara avec un ton modeste, laissant planer un air de mystère autour de sa personne. « L'argile est un médium fascinant à travailler. Chacune de mes créations est unique, un vrai chef-d'œuvre éphémère.[/b] »
Il savait qu'il devait garder la conversation légère pour l'instant, sans révéler la véritable raison de sa présence à Suna. Toutefois, il était également conscient que Haruki était un client potentiellement intéressant, peut-être même un allié dans les ombres.
« Si vous le souhaitez, vous pouvez essayez un bijou, hmm, » proposa le jeune membre d'un ton amical. « Il y a beaucoup de détails à découvrir dans chaque pièce. »
La conversation semblait se dérouler selon le plan du blondinet de l’Akatsuki. Pour l'instant, l’adolescente semblait inoffensive et intéressée uniquement par les bijoux. Cependant, le kamikaze ne pouvait pas s'empêcher de se demander jusqu'où allait la curiosité de cette jeune fille et si elle avait réellement l'intention d'acheter quelque chose. Il la laissa donc, explorer les bijoux en argile à sa guise, tout en restant vigilant et prêt à passer à la phase suivante de leur échange, dès que le moment serait opportun. La danse de l'intrigue était en cours, et Deidara était déterminé à en tirer le meilleur parti pour servir les intérêts de l'Akatsuki. Il était si prêt du but, mais il était aussi très simple à plaire. Une remarque positive sur son art, non pas que vous l’ayez dans sa poche, mais au moins, il ne vous tuera pas de suite et essaiera de faire ça rapide si, il était obligé de commettre un attenta sur votre personne. Nulles personnes n’avaient survécu pour admirer pleinement son talent. C’était d’une tristesse, mais cela signifiait aussi que ses créations étaient plus impactantes, plus grandioses.
Il s'approcha légèrement du comptoir, gardant une distance respectueuse mais suffisamment proche pour poursuivre la conversation. Son regard se posa sur les bijoux en argile, puis se releva pour fixer Haruki avec curiosité.
« Si l'un de ces bijoux t'attire vraiment, n'hésite pas à le prendre. Hmm. »
Deidara, toujours dans son rôle de marchand d'argile, prit un collier en argile délicatement sculpté de l'étagère derrière lui. Il le présenta à Haruki avec une légèreté feinte, cachant habilement sa véritable intention.
Le collier était une véritable œuvre d'art explosive. La chaîne elle-même était faite d'une argile lisse et argentée, avec des perles d'argile sculptées à la main qui brillaient comme de véritables gemmes. Au centre du collier se trouvait un pendentif en forme de lotus, un symbole de beauté et d'élégance. Deidara avait soigneusement incrusté une petite bombe d'argile dans le cœur du lotus, la cachant astucieusement parmi les pétales délicats.
« Celui-ci, » dit Deidara d'un ton calme et raffiné tout en tendant le collier à Haruki, « est un bijou unique en son genre. L'argile utilisée pour le fabriquer est d'une qualité exceptionnelle, et les perles sont ornées de détails complexes hmm. » Il étudia le teint de la jeune « fille » avec un regard expert et ajouta, « Je pense que les tons argentés de ce collier mettraient en valeur la beauté de votre teint. Une pièce parfaite pour une personne aussi raffinée que vous. »
Bien sûr, le véritable trésor résidait dans la petite bombe dissimulée, prête à être utilisée si nécessaire. Deidara avait hâte de voir comment Haruki réagirait à cette offre et à l'objet qu'il venait de présenter.
Deidara observa attentivement Haruki alors que ce dernier examinait le collier en argile qu'il lui avait présenté. Son regard était empreint d'un mélange d'excitation et de curiosité, ce qui amusa secrètement Deidara. Il avait choisi le collier avec soin, sachant qu'il correspondait parfaitement au teint de la demoiselle. Après tout, les adolescents appréciaient généralement les bijoux, et Deidara avait de l'expérience dans l'art de manipuler les goûts et les désirs des autres.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 12.10.23 13:45
Je m'efforçais de maintenir mon rôle, feignant un intérêt pour les bijoux en argile tout en gardant un œil attentif sur l'étranger derrière le stand. Les compétences de l'artiste étaient indéniables, et il semblait apprécier le compliment que je lui avais adressé. Ses paroles étaient empreintes de modestie, un sourire en coin qui trahissait la confiance en son talent.
« Je vous en prie, l'argile est une merveilleuse toile pour l'expression artistique ! »
Répliquai-je avec une pointe d'enthousiasme feint.
« Chaque création est unique, une éphémère œuvre d'art, comme vous le dites. »
Je continuai de discuter avec lui, tout en gardant un air détaché. Mes questions visaient à obtenir des informations sans éveiller de soupçons. J'étais déjà conscient des rumeurs entourant les membres de l'Akatsuki, et le nom de Deidara ne m'était pas inconnu, ni même son visage. Il était réputé pour ses créations explosives en argile, un talent potentiellement redoutable. Evidemment, je n’avais aucun doutes le concernant, du moins jusqu’à ce que je sente cette odeur.
Effectivement, pendant notre conversation, une odeur subtile de soufre me parvint, émanant des bijoux. Mes doutes se renforcèrent. Si mes recherches se révélaient exactes, cette personne devait être un membre de l'Akatsuki, une organisation notoire aux desseins obscurs. Mon rôle de curieuse jeune femme devait être maintenu, tout en continuant de recueillir des informations sur cet individu mystérieux. Mon grand-père m'avait toujours dit que la connaissance était le pouvoir, et dans ce monde étrange, le pouvoir était ce qui m'aiderait à comprendre et à survivre. Et il avait raison, puisque j’étais encore en vie et que je n’avais effectué aucune mission. Mieux ne valait pas se faire connaître comme étant un génie, mais comme un idiot. La vie était simple et personne ne venait vous demander de sacrifier votre vie pour une mission qui ne nous est pas bénéfique. Certes, mon grand-père avait sûrement d’autres projets pour moi depuis l’enfance. Je ne lui ai jamais laissé entrevoir ne serait-ce qu’un peu de mon talent. Si, je l’avais fait, je serais devenu un oiseau, déjà que je suis enfermé dans ce village.
Je m'efforçais de maintenir mon rôle, feignant un intérêt pour les bijoux en argile, tout en restant sur mes gardes. La proposition du jeune homme, membre de l'Akatsuki, de tenter un bijou semblait inoffensif. Cependant, je ne pouvais m'empêcher d'être prudent. Mes recherches sur cette organisation m'avaient appris à me méfier de ses membres, même s'ils semblaient amicaux. Son déguisement était parfait, si je ne connaissais pas les compétences décrite dans le Bingo Book, je me serais fait avoir en plus, d’avoir un odorat sensible. Il faut dire que pour mes parfums, je suis un as.
« Merci, c'est très aimable de votre part. »
Il voulait me tuer et j’en étais conscient. Est-ce que je devrais lancer l’alerte ? Non, trop flemmard et puis ce qui pouvait arriver à ce village ? M’importait pas des masses. Ce n’est pas comme si, ils me considérait comme l’un d’entre-eux. Mon regard se posa sur les bijoux en argile, cherchant à déterminer s'il y avait quelque chose de plus qu'il n'y paraissait. Chaque pièce était une œuvre d'art en soi, avec des détails subtils qui semblaient inviter à une observation plus minutieuse. Je choisis un collier finement sculpté, dont les motifs évoquaient des volutes. Le poids de l'argile était agréable contre ma paume, mais je savais que je devais garder à l'esprit le véritable pouvoir de ces créations. J'essayais de rester calme, tout en gardant une distance respectueuse avec le vendeur.
« Les détails sont impressionnants, vraiment. »
Commentai-je en poursuivant le jeu de la curieuse cliente.
« Je suis particulièrement intriguée par la façon dont vous incorporez des éléments de la nature dans vos créations. Cela leur donne une touche unique. »
Mon regard se leva pour fixer Deidara, mes yeux cherchant à percer le masque de cet artiste de l'Akatsuki. Je posais le collier dans ma main quand je le vis esquisser un mouvement. Je continuais à jouer mon rôle de cliente curieuse, observant le collier que Deidara avait sorti de l'étagère derrière lui. Le bijou était magnifique, il n'y avait aucun doute là-dessus. Les détails délicats et la qualité de l'argile utilisée étaient impressionnants. Cependant, je savais qu'il y avait plus que ce qui se voyait à l'œil nu.
Le sourire du vendeur était toujours présent, et il me présenta le collier avec une élégance feinte. Ses mots semblaient empreints de flatterie, me vantant les mérites du bijou, mais je ne me laissais pas aveugler. Les compliments sur mon teint me firent sourire, alors que je gardais à l'esprit l'objectif de cette rencontre.
« Le collier est en effet magnifique. »
Répondis-je en conservant un ton poli.
« Vous avez raison, les tons argentés sont charmants. Cependant, je ne pense pas être digne d’un tel bijoux malgré votre compliment. »
Compliment empoisonné oui. Je ne suis pas né de la dernière pluie. J’ai été témoin des réunions des deux principaux du village.
« Vous êtes un artiste talentueux, et il est rare de trouver de telles créations. Mais puis-je poser une question ? »
Je lui adressai un regard tout en continuant à jouer mon rôle de cliente curieuse.
« Qu'est-ce qui vous inspire à créer ces bijoux en argile ? Il y a sûrement une histoire derrière chacune de vos pièces. J'adorerais entendre un peu de l'histoire qui se cache derrière ce collier. »
Mon ton était empreint de curiosité, mais je cherchais à en savoir plus sur l'artiste lui-même, tout en évitant de dévoiler ma propre identité et mes véritables motivations. J'espérais que cette question pouvait m'apporter des réponses, même si je devais rester vigilante face à cet étranger.
« Je vous en prie, l'argile est une merveilleuse toile pour l'expression artistique ! »
Répliquai-je avec une pointe d'enthousiasme feint.
« Chaque création est unique, une éphémère œuvre d'art, comme vous le dites. »
Je continuai de discuter avec lui, tout en gardant un air détaché. Mes questions visaient à obtenir des informations sans éveiller de soupçons. J'étais déjà conscient des rumeurs entourant les membres de l'Akatsuki, et le nom de Deidara ne m'était pas inconnu, ni même son visage. Il était réputé pour ses créations explosives en argile, un talent potentiellement redoutable. Evidemment, je n’avais aucun doutes le concernant, du moins jusqu’à ce que je sente cette odeur.
Effectivement, pendant notre conversation, une odeur subtile de soufre me parvint, émanant des bijoux. Mes doutes se renforcèrent. Si mes recherches se révélaient exactes, cette personne devait être un membre de l'Akatsuki, une organisation notoire aux desseins obscurs. Mon rôle de curieuse jeune femme devait être maintenu, tout en continuant de recueillir des informations sur cet individu mystérieux. Mon grand-père m'avait toujours dit que la connaissance était le pouvoir, et dans ce monde étrange, le pouvoir était ce qui m'aiderait à comprendre et à survivre. Et il avait raison, puisque j’étais encore en vie et que je n’avais effectué aucune mission. Mieux ne valait pas se faire connaître comme étant un génie, mais comme un idiot. La vie était simple et personne ne venait vous demander de sacrifier votre vie pour une mission qui ne nous est pas bénéfique. Certes, mon grand-père avait sûrement d’autres projets pour moi depuis l’enfance. Je ne lui ai jamais laissé entrevoir ne serait-ce qu’un peu de mon talent. Si, je l’avais fait, je serais devenu un oiseau, déjà que je suis enfermé dans ce village.
Je m'efforçais de maintenir mon rôle, feignant un intérêt pour les bijoux en argile, tout en restant sur mes gardes. La proposition du jeune homme, membre de l'Akatsuki, de tenter un bijou semblait inoffensif. Cependant, je ne pouvais m'empêcher d'être prudent. Mes recherches sur cette organisation m'avaient appris à me méfier de ses membres, même s'ils semblaient amicaux. Son déguisement était parfait, si je ne connaissais pas les compétences décrite dans le Bingo Book, je me serais fait avoir en plus, d’avoir un odorat sensible. Il faut dire que pour mes parfums, je suis un as.
« Merci, c'est très aimable de votre part. »
Il voulait me tuer et j’en étais conscient. Est-ce que je devrais lancer l’alerte ? Non, trop flemmard et puis ce qui pouvait arriver à ce village ? M’importait pas des masses. Ce n’est pas comme si, ils me considérait comme l’un d’entre-eux. Mon regard se posa sur les bijoux en argile, cherchant à déterminer s'il y avait quelque chose de plus qu'il n'y paraissait. Chaque pièce était une œuvre d'art en soi, avec des détails subtils qui semblaient inviter à une observation plus minutieuse. Je choisis un collier finement sculpté, dont les motifs évoquaient des volutes. Le poids de l'argile était agréable contre ma paume, mais je savais que je devais garder à l'esprit le véritable pouvoir de ces créations. J'essayais de rester calme, tout en gardant une distance respectueuse avec le vendeur.
« Les détails sont impressionnants, vraiment. »
Commentai-je en poursuivant le jeu de la curieuse cliente.
« Je suis particulièrement intriguée par la façon dont vous incorporez des éléments de la nature dans vos créations. Cela leur donne une touche unique. »
Mon regard se leva pour fixer Deidara, mes yeux cherchant à percer le masque de cet artiste de l'Akatsuki. Je posais le collier dans ma main quand je le vis esquisser un mouvement. Je continuais à jouer mon rôle de cliente curieuse, observant le collier que Deidara avait sorti de l'étagère derrière lui. Le bijou était magnifique, il n'y avait aucun doute là-dessus. Les détails délicats et la qualité de l'argile utilisée étaient impressionnants. Cependant, je savais qu'il y avait plus que ce qui se voyait à l'œil nu.
Le sourire du vendeur était toujours présent, et il me présenta le collier avec une élégance feinte. Ses mots semblaient empreints de flatterie, me vantant les mérites du bijou, mais je ne me laissais pas aveugler. Les compliments sur mon teint me firent sourire, alors que je gardais à l'esprit l'objectif de cette rencontre.
« Le collier est en effet magnifique. »
Répondis-je en conservant un ton poli.
« Vous avez raison, les tons argentés sont charmants. Cependant, je ne pense pas être digne d’un tel bijoux malgré votre compliment. »
Compliment empoisonné oui. Je ne suis pas né de la dernière pluie. J’ai été témoin des réunions des deux principaux du village.
« Vous êtes un artiste talentueux, et il est rare de trouver de telles créations. Mais puis-je poser une question ? »
Je lui adressai un regard tout en continuant à jouer mon rôle de cliente curieuse.
« Qu'est-ce qui vous inspire à créer ces bijoux en argile ? Il y a sûrement une histoire derrière chacune de vos pièces. J'adorerais entendre un peu de l'histoire qui se cache derrière ce collier. »
Mon ton était empreint de curiosité, mais je cherchais à en savoir plus sur l'artiste lui-même, tout en évitant de dévoiler ma propre identité et mes véritables motivations. J'espérais que cette question pouvait m'apporter des réponses, même si je devais rester vigilante face à cet étranger.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 14.10.23 11:54
Il sourit, feignant un intérêt pour les bijoux en argile qu'il vendait. Son talent artistique était indéniable, et il était content de recevoir un compliment de la part de la jeune fille derrière le stand. Ses paroles étaient empreintes de modestie, mais il semblait tout de même impressionné par son travail. Il tenta de continuer la conversation, tout en gardant un œil attentif sur cet individu. Celui-ci posait des questions, cherchant probablement à obtenir des informations sans éveiller de soupçons. Il se demandait pourquoi cet étranger s'intéressait à ses créations. Était-ce une simple curiosité ou y avait-il une intention cachée derrière tout cela ?
Il se demandait également si sa véritable identité était compromise, pourtant il n’était pas de suna et ne pensant pas que son déguisement était défectueux. Il avait même eu l’aval de son binôme. Certes, sa photo se trouvait dans le Bingo Book, mais quand même. Cela le poussa donc, à se forcer de rester sur ses gardes, car ses actions n'étaient pas motivées par la vente de bijoux, mais plutôt par une mission secrète. Capturer l'hôte de Shukaku était son objectif, et cette opportunité inattendue de discuter avec un étranger pouvait potentiellement lui fournir des informations utiles de dernières minutes, mais il ne devait pas non plus prendre le risque que la mission échoue.
Alors qu'il poursuivait la conversation, il espérait que son couvert ne serait pas compromis, car la mission était cruciale, et ils ne pouvaient pas se permettre de révéler leurs véritables intentions à ce stade.
Il eut un sourire en retour, faisant de son mieux pour garder son rôle de vendeur d'artisanat en argile. Bien qu'il ait été appréciatif du bijou que l'étranger avait choisi, il ne pouvait s'empêcher de remarquer la méfiance dans les yeux de l'homme. Cette méfiance était justifiée, sachant qu'il n'avait pas réussi à le duper complètement, peut-être en raison de son odeur particulière ou d'autres signaux qui avaient éveillé son attention.
« Merci beaucoup, hmm, » dit-il, en répondant au compliment de l'homme. « L'argile est un matériau très flexible, ce qui me permet de créer des motifs complexes. »
Il gardait un œil vigilant sur l'étrangère qui semblait être une civile de ce petit pays arriéré. Il ne pensait pas que c’était possible qu’un village ait aussi mauvais goût que son pays natal, mais en fin de compte si. Comme quoi, Iwa, à côté n’était si mal. Ils étaient plus performants au niveau de la sécurité, ici ? Bien que cela fasse ses affaires, c’était en carton. En tout cas, il était prêt à réagir au moindre signe de danger. Son rôle actuel était de maintenir sa couverture de vendeur d'artisanat, de vendre ses créations, mais aussi de rassembler des informations. Il ne pouvait faire autrement que de se méfier de cet homme curieux, car il pouvait très bien être un espion ou un membre d'une organisation rivale. Dans le monde périlleux des ninjas, la prudence était de mise, et il se devait de protéger les secrets de l'Akatsuki.
« Si vous avez d'autres questions sur mes créations, n'hésitez pas à demander, » ajouta-t-il, s'efforçant de maintenir l'intérêt de l'étranger tout en continuant à observer attentivement ses réactions. Baisser la garde n'était pas une option, car sa mission était d'une importance cruciale pour l'Akatsuki.
Il écouta attentivement les compliments de la cliente curieuse, feignant de s'intéresser à son intérêt pour les éléments de la nature intégrés dans ses créations. Son rôle de vendeur restait une priorité, et il devait garder son masque de gentillesse et de courtoisie, même s'il se doutait que cette étrangère cachait quelque chose. Ses compétences de manipulation et de persuasion étaient un atout majeur pour un artiste de l'Akatsuki.
Deidara sourit à la cliente lorsque celle-ci évoqua le magnifique collier qu'il avait présenté. Son rôle exigeait qu'il continue de flatter son client potentiel, tout en dissimulant ses véritables intentions.
« Je comprends, hmm, » répondit-il, essayant de paraître déçu sans être intrusif. Ce qui n’était pas très difficile, puisque, il l’était dans le fond. Comment osait-elle rejeter son collier hein ? Quoi, qu’elle avait donné comme raison qu’elle ne méritait pas un tel collier. Dans ce cas alors, « C'est vrai que nos bijoux sont conçus pour des personnes exceptionnelles, mais je peux vous assurer que vous en faîtes partit ! »
Il pouvait sentir que l'étrangère gardait ses réserves, et il se demandait ce qu'elle cachait. Cependant, il ne pouvait pas risquer de révéler sa véritable identité ni de mettre en péril la mission de l'Akatsuki. Il devait jouer son rôle à la perfection et rester sur ses gardes.
« Peut-être un autre bijou vous plairait davantage, » suggéra-t-il, tout en gardant son sourire de vendeur. « Nous avons une grande variété de créations uniques, alors je suis sûr que nous pouvons trouver quelque chose qui correspondra à vos goûts. Hmm.. »
Il ne voulait pas laisser la cliente partir les mains vides, mais il ne pouvait pas non plus forcer la vente. Deidara avait flairé une opportunité avec cette cliente curieuse. Il avait fait de son mieux pour entretenir une atmosphère de confiance et de courtoisie. Alors qu'elle continuait de parcourir les créations exposées, il sentit qu'elle était ouverte à l'idée de trouver un bijou qui lui correspondrait.
Avec un sourire bienveillant, il se dirigea vers une petite armoire en bois finement sculptée. Il l'ouvrit avec précaution pour révéler une collection de bijoux soigneusement rangés. Chaque pièce était unique et portait la « touche distinctive » de Deidara, mêlant habilement l'argile à des éléments de la nature et sa spécialité. Le premier bijou était un collier en argent incrusté de petites perles de céramique bleues. Deidara l'attrapa délicatement et le présenta à Haruki avec une élégance feinte.
« Voici un bijou qui évoque la pureté de l'eau, » expliqua-t-il, les yeux pétillants de conviction. « Les perles de céramique bleues rappellent le calme d'un lac d'altitude. Ce collier est idéal pour quelqu'un qui apprécie la sérénité et la fraîcheur. Il peut être porté en toute occasion et ajoutera une touche d'élégance à n'importe quelle tenue. Hmmm. »
Deidara avait élaboré cet argument de vente avec soin, sachant que la cliente apprécierait peut-être un bijou qui évoquait la nature. Le deuxième bijou était un bracelet assorti au collier, avec des perles de céramique blanches et bleues. Il le fit glisser sur sa main avant de le présenter à la jeune femme.
« Ce bracelet est le compagnon parfait du collier, » déclara-t-il. « Les perles blanches symbolisent la pureté, tandis que les perles bleues rappellent la clarté de l'eau. C'est un ensemble qui évoque la beauté naturelle, idéal pour une personne qui apprécie la simplicité et l'harmonie. Il peut être porté au quotidien pour ajouter une touche de grâce. »
Le troisième bijou était un pendentif en forme de goutte d'eau, en argile d'un bleu profond, suspendu à une fine chaîne en argent.
« Ce pendentif est conçu pour capturer la beauté de l'élément aquatique, » dit-il en montrant la pièce. « La forme en goutte d'eau évoque la fluidité et la liberté. C'est un bijou qui peut être porté seul pour un look minimaliste ou associé au collier et au bracelet pour une parure complète. Il représente l'élégance et la grâce de la nature. »
Deidara espérait que l'une de ces créations serait à son goût, offrant à Haruki un choix de bijoux qui s'harmonisaient avec sa personnalité et son style. Il ne pouvait pas refuser de lui acheter un bijoux n’est-ce pas ? C’était impossible ! Personne ne pouvait résister à ces bijoux même si les arguments de vente ne marchaient pas si ? Ah si, seulement il savait quel genre de personne était cette personne. Il n’était pas au bout de ses surprises pour son plus grand malheur.
« Vous semblez vous être même une artiste en herbe et avoir l’œil pour les jolies choses. Vous êtes vous-même une créatrice vous-même ? »
Il se demandait également si sa véritable identité était compromise, pourtant il n’était pas de suna et ne pensant pas que son déguisement était défectueux. Il avait même eu l’aval de son binôme. Certes, sa photo se trouvait dans le Bingo Book, mais quand même. Cela le poussa donc, à se forcer de rester sur ses gardes, car ses actions n'étaient pas motivées par la vente de bijoux, mais plutôt par une mission secrète. Capturer l'hôte de Shukaku était son objectif, et cette opportunité inattendue de discuter avec un étranger pouvait potentiellement lui fournir des informations utiles de dernières minutes, mais il ne devait pas non plus prendre le risque que la mission échoue.
Alors qu'il poursuivait la conversation, il espérait que son couvert ne serait pas compromis, car la mission était cruciale, et ils ne pouvaient pas se permettre de révéler leurs véritables intentions à ce stade.
Il eut un sourire en retour, faisant de son mieux pour garder son rôle de vendeur d'artisanat en argile. Bien qu'il ait été appréciatif du bijou que l'étranger avait choisi, il ne pouvait s'empêcher de remarquer la méfiance dans les yeux de l'homme. Cette méfiance était justifiée, sachant qu'il n'avait pas réussi à le duper complètement, peut-être en raison de son odeur particulière ou d'autres signaux qui avaient éveillé son attention.
« Merci beaucoup, hmm, » dit-il, en répondant au compliment de l'homme. « L'argile est un matériau très flexible, ce qui me permet de créer des motifs complexes. »
Il gardait un œil vigilant sur l'étrangère qui semblait être une civile de ce petit pays arriéré. Il ne pensait pas que c’était possible qu’un village ait aussi mauvais goût que son pays natal, mais en fin de compte si. Comme quoi, Iwa, à côté n’était si mal. Ils étaient plus performants au niveau de la sécurité, ici ? Bien que cela fasse ses affaires, c’était en carton. En tout cas, il était prêt à réagir au moindre signe de danger. Son rôle actuel était de maintenir sa couverture de vendeur d'artisanat, de vendre ses créations, mais aussi de rassembler des informations. Il ne pouvait faire autrement que de se méfier de cet homme curieux, car il pouvait très bien être un espion ou un membre d'une organisation rivale. Dans le monde périlleux des ninjas, la prudence était de mise, et il se devait de protéger les secrets de l'Akatsuki.
« Si vous avez d'autres questions sur mes créations, n'hésitez pas à demander, » ajouta-t-il, s'efforçant de maintenir l'intérêt de l'étranger tout en continuant à observer attentivement ses réactions. Baisser la garde n'était pas une option, car sa mission était d'une importance cruciale pour l'Akatsuki.
Il écouta attentivement les compliments de la cliente curieuse, feignant de s'intéresser à son intérêt pour les éléments de la nature intégrés dans ses créations. Son rôle de vendeur restait une priorité, et il devait garder son masque de gentillesse et de courtoisie, même s'il se doutait que cette étrangère cachait quelque chose. Ses compétences de manipulation et de persuasion étaient un atout majeur pour un artiste de l'Akatsuki.
Deidara sourit à la cliente lorsque celle-ci évoqua le magnifique collier qu'il avait présenté. Son rôle exigeait qu'il continue de flatter son client potentiel, tout en dissimulant ses véritables intentions.
« Je comprends, hmm, » répondit-il, essayant de paraître déçu sans être intrusif. Ce qui n’était pas très difficile, puisque, il l’était dans le fond. Comment osait-elle rejeter son collier hein ? Quoi, qu’elle avait donné comme raison qu’elle ne méritait pas un tel collier. Dans ce cas alors, « C'est vrai que nos bijoux sont conçus pour des personnes exceptionnelles, mais je peux vous assurer que vous en faîtes partit ! »
Il pouvait sentir que l'étrangère gardait ses réserves, et il se demandait ce qu'elle cachait. Cependant, il ne pouvait pas risquer de révéler sa véritable identité ni de mettre en péril la mission de l'Akatsuki. Il devait jouer son rôle à la perfection et rester sur ses gardes.
« Peut-être un autre bijou vous plairait davantage, » suggéra-t-il, tout en gardant son sourire de vendeur. « Nous avons une grande variété de créations uniques, alors je suis sûr que nous pouvons trouver quelque chose qui correspondra à vos goûts. Hmm.. »
Il ne voulait pas laisser la cliente partir les mains vides, mais il ne pouvait pas non plus forcer la vente. Deidara avait flairé une opportunité avec cette cliente curieuse. Il avait fait de son mieux pour entretenir une atmosphère de confiance et de courtoisie. Alors qu'elle continuait de parcourir les créations exposées, il sentit qu'elle était ouverte à l'idée de trouver un bijou qui lui correspondrait.
Avec un sourire bienveillant, il se dirigea vers une petite armoire en bois finement sculptée. Il l'ouvrit avec précaution pour révéler une collection de bijoux soigneusement rangés. Chaque pièce était unique et portait la « touche distinctive » de Deidara, mêlant habilement l'argile à des éléments de la nature et sa spécialité. Le premier bijou était un collier en argent incrusté de petites perles de céramique bleues. Deidara l'attrapa délicatement et le présenta à Haruki avec une élégance feinte.
« Voici un bijou qui évoque la pureté de l'eau, » expliqua-t-il, les yeux pétillants de conviction. « Les perles de céramique bleues rappellent le calme d'un lac d'altitude. Ce collier est idéal pour quelqu'un qui apprécie la sérénité et la fraîcheur. Il peut être porté en toute occasion et ajoutera une touche d'élégance à n'importe quelle tenue. Hmmm. »
Deidara avait élaboré cet argument de vente avec soin, sachant que la cliente apprécierait peut-être un bijou qui évoquait la nature. Le deuxième bijou était un bracelet assorti au collier, avec des perles de céramique blanches et bleues. Il le fit glisser sur sa main avant de le présenter à la jeune femme.
« Ce bracelet est le compagnon parfait du collier, » déclara-t-il. « Les perles blanches symbolisent la pureté, tandis que les perles bleues rappellent la clarté de l'eau. C'est un ensemble qui évoque la beauté naturelle, idéal pour une personne qui apprécie la simplicité et l'harmonie. Il peut être porté au quotidien pour ajouter une touche de grâce. »
Le troisième bijou était un pendentif en forme de goutte d'eau, en argile d'un bleu profond, suspendu à une fine chaîne en argent.
« Ce pendentif est conçu pour capturer la beauté de l'élément aquatique, » dit-il en montrant la pièce. « La forme en goutte d'eau évoque la fluidité et la liberté. C'est un bijou qui peut être porté seul pour un look minimaliste ou associé au collier et au bracelet pour une parure complète. Il représente l'élégance et la grâce de la nature. »
Deidara espérait que l'une de ces créations serait à son goût, offrant à Haruki un choix de bijoux qui s'harmonisaient avec sa personnalité et son style. Il ne pouvait pas refuser de lui acheter un bijoux n’est-ce pas ? C’était impossible ! Personne ne pouvait résister à ces bijoux même si les arguments de vente ne marchaient pas si ? Ah si, seulement il savait quel genre de personne était cette personne. Il n’était pas au bout de ses surprises pour son plus grand malheur.
« Vous semblez vous être même une artiste en herbe et avoir l’œil pour les jolies choses. Vous êtes vous-même une créatrice vous-même ? »
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 15.10.23 16:31
Dans cette scène tendue, je maintenais mon rôle de marchande d'antiquités curieuses avec une détermination silencieuse. La façade de "l'acheteuse curieuse" était un masque que je portais avec aisance, même si c'était loin de ma véritable identité. Mon visage affichait un intérêt feint pour les bijoux en argile, mes gestes se voulaient gracieux, et ma voix débordait de charme bien étudié.
Pendant que l’homme, continuait de flatter la cliente, qui n'était autre que moi-même sous une fausse identité, je gardais mon sang-froid, observant chaque mot et geste. Mon rôle exigeait que je maintienne une attitude d'acheteuse curieuse, même si cela signifiait entendre des compliments voilés ou feindre un certain mépris pour les bijoux qu'il offrait. La situation était complexe. D'un côté, cet artiste devait maintenir son charme et son assurance pour dissimuler ses véritables intentions, tout en luttant contre la méfiance persistante de la cliente étrangère. De l'autre côté, moi, Haruki, j'étais engagé dans une subtile confrontation de mensonges, cherchant à obtenir des informations sans révéler ma propre identité ou mes véritables motivations.
Dans ce jeu d'ombres et de masques, l'art de la dissimulation atteignait son paroxysme. Chacun de nous devait naviguer avec précaution entre la vérité et le mensonge, cherchant à lire les intentions de l'autre tout en gardant les nôtres secrètes. C'était un ballet complexe où chaque mot et chaque geste comptaient, un duel silencieux entre deux individus habiles dans l'art de la tromperie. En tant qu'espion pour mon propre compte, j'avais l'habitude de ce genre d'interactions, où la vérité était rarement exposée au grand jour. C'était une question de patience, de subtilité et d'observation constante. La moindre faiblesse, le moindre relâchement de la garde pouvait révéler des indices cruciaux. Et dans cette scène, j'étais déterminé à rester vigilant, à saisir toute opportunité de découvrir la vérité cachée derrière le masque de ce vendeur, même si cela signifiait rester dans mon rôle d'acheteuse curieuse jusqu'au bout.
J'ai accepté le collier en argent, observant chaque détail avec attention. Mon regard s'est posé sur les petites perles de céramique bleues, une touche délicate qui ajoutait à la beauté de la pièce. Alors que Deidara maintenait son rôle de vendeur affable, je m'efforçais de conserver l'apparence d'une cliente curieuse et intéressée.
« Ce collier est tout aussi charmant que le précédent, Vous avez vraiment un don pour mêler la nature à l'argile de cette manière. »
Mes mots étaient soigneusement choisis pour exprimer mon admiration tout en restant sur mes gardes. Je savais que Deidara jouait un jeu similaire, dissimulant habilement ses véritables intentions sous une façade de vendeur attentionné. L'atmosphère était chargée de tension, chaque mot et chaque mouvement pesant lourdement dans cette interaction complexe. Deux individus, chacun avec son propre objectif caché, dansant sur un fil ténu de courtoisie et de flatterie, tout en gardant leurs secrets bien gardés.
« Ce collier est tout aussi charmant que le précédent, Vous avez vraiment un don pour mêler la nature à l'argile de cette manière. »
Cet homme, exposait avec habileté le bijou, décrivant sa signification tout en maintenant son rôle de vendeur enthousiaste. Ses yeux pétillaient d'une conviction feinte, et il était évident qu'il avait élaboré son argument de vente avec soin. J'écoutais ses paroles, tout en gardant une attitude attentive et intéressée.
« Vos descriptions sont tout à fait évocatrices, vous répondez ainsi à ma question concernant votre inspiration. Vos descriptions sont tout à fait évocatrices. »
Mes mots étaient soigneusement pesés, exprimant mon intérêt tout en gardant à l'esprit la prudence. Je savais que Deidara avait une agenda caché, et je devais maintenir ma façade de cliente tout en explorant ses bijoux. Il avait clairement envisagé l'ensemble collier-bracelet comme une option, et ses paroles étaient destinées à me convaincre de l'acheter. Mon rôle consistait à jouer le jeu de l'acheteur potentiel, tout en restant sur mes gardes.
« Ce bracelet est vraiment charmant, il complète parfaitement le collier, créant un ensemble harmonieux. Vous avez un talent indéniable pour créer des bijoux qui évoquent la beauté naturelle. »
Je serais plus honnête avec moi-même. Si j’étais certain qu’il n’y avait pas une surprise à l’intérieur, je peux vous assurer que je me serais fait un plaisir coupable pour acheter. C’est vraiment dommage que je ne puisse pas porter de telles œuvres sur moi. Je ne doute pas que je puisse faire sensation, mais si faire sensation, c’était brûler. Soudainement, la perspective m’enchantait bien moins. La douleur ne m’effrayait point. J’étais habitué et je pouvais me guérir, mais à côté de cela.. Il était bon à essayer de me vendre sa came.
Le pendentif en forme de goutte d'eau qu’il me présenta attira mon attention. Sa forme fluide et la profondeur du bleu de l'argile semblaient capturer la beauté de l'élément aquatique d'une manière élégante. Écoutant son argumentaire, je pouvais sentir son dévouement pour ces créations, tout en restant méfiant de ses véritables intentions.
« Ce pendentif est réellement unique, la goutte d'eau évoque à la fois la fluidité et la liberté, et son bleu profond est magnifique. Je peux voir comment il peut être porté de différentes manières, offrant une certaine polyvalence. Il représente effectivement l'élégance de la nature. »
Mon approbation était sincère, car même si je jouais le rôle de la cliente, je ne pouvais m'empêcher d'apprécier la qualité du travail de Deidara. Mon but était d'en apprendre davantage sur lui et d'évaluer s'il cachait autre chose sous son rôle de vendeur de bijoux. Lorsqu'il fit cette suggestion, je lui adressai un sourire sincère. En tant qu'artiste, j'appréciais la reconnaissance de mes capacités, même si je les avais cachées soigneusement jusqu'à présent. Sa question, posée d'une manière si délicate, me laissa un peu perplexe. C'était une opportunité de me rapprocher un peu plus de lui, de gagner sa confiance en partageant un peu de ma propre histoire, bien que soigneusement choisie.
« Vous avez un œil perspicace, j'adore l'art sous toutes ses formes, et j'aime expérimenter de temps en temps. »
Je fis une pause, réfléchissant à la meilleure façon de poursuivre.
« Je me suis consacrée à l'étude de différents médiums artistiques, mais je n'ai pas encore trouvé ma voie. C'est une quête continue, et je suppose que je trouve l'inspiration dans des endroits inattendus, comme ici, par exemple. »
Mes paroles étaient empreintes de sincérité, même si elles omettaient délibérément certains détails de ma vie, car je ne pouvais pas révéler ma véritable identité ni mes intentions. Au lieu de cela, je préférais le laisser s'imaginer des aspects de ma vie qui m'aideraient à rester dans son rôle de cliente curieuse. J'ai observé les bijoux que Deidara avait soigneusement présentés, et ils étaient vraiment magnifiques. Chacun d'entre eux portait sa touche artistique distinctive, et il était évident qu'il avait consacré du temps et de l'effort à leur création. Cependant, malgré mon intérêt pour ces pièces uniques, j'ai trouvé des excuses pour finalement décliner poliment son offre.
« Vos bijoux sont vraiment splendides, et je suis honorée par votre proposition. Cependant, en y réfléchissant davantage, je crains de ne pas être capable de les porter à leur juste valeur. Vous avez mentionné que ces créations sont conçues pour des personnes exceptionnelles, et je crains que je ne puisse pas me compter parmi elles, malgré vos dires. Hmm et dîtes-moi, vous restez longtemps à Suna ? C'est la première fois que je vous vois, vous venez de quel pays ? »
Pendant que l’homme, continuait de flatter la cliente, qui n'était autre que moi-même sous une fausse identité, je gardais mon sang-froid, observant chaque mot et geste. Mon rôle exigeait que je maintienne une attitude d'acheteuse curieuse, même si cela signifiait entendre des compliments voilés ou feindre un certain mépris pour les bijoux qu'il offrait. La situation était complexe. D'un côté, cet artiste devait maintenir son charme et son assurance pour dissimuler ses véritables intentions, tout en luttant contre la méfiance persistante de la cliente étrangère. De l'autre côté, moi, Haruki, j'étais engagé dans une subtile confrontation de mensonges, cherchant à obtenir des informations sans révéler ma propre identité ou mes véritables motivations.
Dans ce jeu d'ombres et de masques, l'art de la dissimulation atteignait son paroxysme. Chacun de nous devait naviguer avec précaution entre la vérité et le mensonge, cherchant à lire les intentions de l'autre tout en gardant les nôtres secrètes. C'était un ballet complexe où chaque mot et chaque geste comptaient, un duel silencieux entre deux individus habiles dans l'art de la tromperie. En tant qu'espion pour mon propre compte, j'avais l'habitude de ce genre d'interactions, où la vérité était rarement exposée au grand jour. C'était une question de patience, de subtilité et d'observation constante. La moindre faiblesse, le moindre relâchement de la garde pouvait révéler des indices cruciaux. Et dans cette scène, j'étais déterminé à rester vigilant, à saisir toute opportunité de découvrir la vérité cachée derrière le masque de ce vendeur, même si cela signifiait rester dans mon rôle d'acheteuse curieuse jusqu'au bout.
J'ai accepté le collier en argent, observant chaque détail avec attention. Mon regard s'est posé sur les petites perles de céramique bleues, une touche délicate qui ajoutait à la beauté de la pièce. Alors que Deidara maintenait son rôle de vendeur affable, je m'efforçais de conserver l'apparence d'une cliente curieuse et intéressée.
« Ce collier est tout aussi charmant que le précédent, Vous avez vraiment un don pour mêler la nature à l'argile de cette manière. »
Mes mots étaient soigneusement choisis pour exprimer mon admiration tout en restant sur mes gardes. Je savais que Deidara jouait un jeu similaire, dissimulant habilement ses véritables intentions sous une façade de vendeur attentionné. L'atmosphère était chargée de tension, chaque mot et chaque mouvement pesant lourdement dans cette interaction complexe. Deux individus, chacun avec son propre objectif caché, dansant sur un fil ténu de courtoisie et de flatterie, tout en gardant leurs secrets bien gardés.
« Ce collier est tout aussi charmant que le précédent, Vous avez vraiment un don pour mêler la nature à l'argile de cette manière. »
Cet homme, exposait avec habileté le bijou, décrivant sa signification tout en maintenant son rôle de vendeur enthousiaste. Ses yeux pétillaient d'une conviction feinte, et il était évident qu'il avait élaboré son argument de vente avec soin. J'écoutais ses paroles, tout en gardant une attitude attentive et intéressée.
« Vos descriptions sont tout à fait évocatrices, vous répondez ainsi à ma question concernant votre inspiration. Vos descriptions sont tout à fait évocatrices. »
Mes mots étaient soigneusement pesés, exprimant mon intérêt tout en gardant à l'esprit la prudence. Je savais que Deidara avait une agenda caché, et je devais maintenir ma façade de cliente tout en explorant ses bijoux. Il avait clairement envisagé l'ensemble collier-bracelet comme une option, et ses paroles étaient destinées à me convaincre de l'acheter. Mon rôle consistait à jouer le jeu de l'acheteur potentiel, tout en restant sur mes gardes.
« Ce bracelet est vraiment charmant, il complète parfaitement le collier, créant un ensemble harmonieux. Vous avez un talent indéniable pour créer des bijoux qui évoquent la beauté naturelle. »
Je serais plus honnête avec moi-même. Si j’étais certain qu’il n’y avait pas une surprise à l’intérieur, je peux vous assurer que je me serais fait un plaisir coupable pour acheter. C’est vraiment dommage que je ne puisse pas porter de telles œuvres sur moi. Je ne doute pas que je puisse faire sensation, mais si faire sensation, c’était brûler. Soudainement, la perspective m’enchantait bien moins. La douleur ne m’effrayait point. J’étais habitué et je pouvais me guérir, mais à côté de cela.. Il était bon à essayer de me vendre sa came.
Le pendentif en forme de goutte d'eau qu’il me présenta attira mon attention. Sa forme fluide et la profondeur du bleu de l'argile semblaient capturer la beauté de l'élément aquatique d'une manière élégante. Écoutant son argumentaire, je pouvais sentir son dévouement pour ces créations, tout en restant méfiant de ses véritables intentions.
« Ce pendentif est réellement unique, la goutte d'eau évoque à la fois la fluidité et la liberté, et son bleu profond est magnifique. Je peux voir comment il peut être porté de différentes manières, offrant une certaine polyvalence. Il représente effectivement l'élégance de la nature. »
Mon approbation était sincère, car même si je jouais le rôle de la cliente, je ne pouvais m'empêcher d'apprécier la qualité du travail de Deidara. Mon but était d'en apprendre davantage sur lui et d'évaluer s'il cachait autre chose sous son rôle de vendeur de bijoux. Lorsqu'il fit cette suggestion, je lui adressai un sourire sincère. En tant qu'artiste, j'appréciais la reconnaissance de mes capacités, même si je les avais cachées soigneusement jusqu'à présent. Sa question, posée d'une manière si délicate, me laissa un peu perplexe. C'était une opportunité de me rapprocher un peu plus de lui, de gagner sa confiance en partageant un peu de ma propre histoire, bien que soigneusement choisie.
« Vous avez un œil perspicace, j'adore l'art sous toutes ses formes, et j'aime expérimenter de temps en temps. »
Je fis une pause, réfléchissant à la meilleure façon de poursuivre.
« Je me suis consacrée à l'étude de différents médiums artistiques, mais je n'ai pas encore trouvé ma voie. C'est une quête continue, et je suppose que je trouve l'inspiration dans des endroits inattendus, comme ici, par exemple. »
Mes paroles étaient empreintes de sincérité, même si elles omettaient délibérément certains détails de ma vie, car je ne pouvais pas révéler ma véritable identité ni mes intentions. Au lieu de cela, je préférais le laisser s'imaginer des aspects de ma vie qui m'aideraient à rester dans son rôle de cliente curieuse. J'ai observé les bijoux que Deidara avait soigneusement présentés, et ils étaient vraiment magnifiques. Chacun d'entre eux portait sa touche artistique distinctive, et il était évident qu'il avait consacré du temps et de l'effort à leur création. Cependant, malgré mon intérêt pour ces pièces uniques, j'ai trouvé des excuses pour finalement décliner poliment son offre.
« Vos bijoux sont vraiment splendides, et je suis honorée par votre proposition. Cependant, en y réfléchissant davantage, je crains de ne pas être capable de les porter à leur juste valeur. Vous avez mentionné que ces créations sont conçues pour des personnes exceptionnelles, et je crains que je ne puisse pas me compter parmi elles, malgré vos dires. Hmm et dîtes-moi, vous restez longtemps à Suna ? C'est la première fois que je vous vois, vous venez de quel pays ? »
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 17.10.23 23:46
Deidara observa attentivement l'étrangère tout en maintenant sa façade de vendeur d'artisanat en argile. Elle avait fait preuve d'appréciation pour ses créations et avait reconnu son talent pour mêler la nature à l'argile. Ses paroles étaient agréables à entendre, mais il savait que tous deux dansaient sur un fil ténu de courtoisie et de dissimulation. La tension était palpable, chaque mot prononcé étant soigneusement pesé pour servir leurs propres objectifs.
« Merci beaucoup, hmm » répondit il, gardant son sourire de vendeur. « Je trouve que la nature est une source d'inspiration infinie, et j’essaie de capturer sa beauté à travers ses créations. »
Sa réponse était une combinaison de sincérité et de maîtrise de soi. Il avait conscience que cette femme était probablement plus qu'une simple cliente curieuse. Elle avait posé des questions habiles, montrant un intérêt pour l'inspiration derrière ses bijoux. C'était une opportunité pour lui de rassembler des informations tout en continuant de vendre ses créations.
« Les éléments naturels tels que l'eau, la terre et l'air ont toujours été une source d'inspiration pour moi, hmm » ajouta-t-il. « Ils représentent la pureté et la beauté que je m'efforce de capturer dans ses bijoux. »
Il avait décidé de jouer le jeu, tout en restant sur ses gardes. L'étrangère semblait perspicace et cherchait probablement à obtenir des informations sans éveiller de soupçons. Elle avait reconnu sa capacité à mêler la nature à l'argile, ce qui correspondait à sa couverture de vendeur d'artisanat en argile. Cependant, il devait faire attention à ne pas révéler d'informations compromettantes sur sa véritable identité ou ses activités au sein de l'Akatsuki. Sa question sur sa fascination pour la nature était directe, mais il devait rester prudent dans sa réponse. Il devait maintenir l'illusion tout en répondant d'une manière qui ne compromettrait pas ses véritables intentions.
« Merci beaucoup, » répondit il avec gratitude, son sourire de vendeur charmant.« C'est ma passion de capturer la beauté de la nature à travers mes créations. Chaque bijou que je crée est une expression de cet amour et de cette fascination pour le monde qui nous entoure. »
Il pouvait voir que l'étrangère était sur le point de prendre sa décision. Chaque mot qu'il avait choisi avec précaution l'avait rapprochée de son objectif de vendre un de ses bijoux tout en maintenant l'illusion de son rôle de vendeur d'artisanat en argile. Il attendit patiemment, se préparant mentalement à chaque éventualité, sachant que cette rencontre pouvait avoir des répercussions imprévues sur ses plans au sein de l'Akatsuki. Elle ne pouvait pas refuser cette fois. C’était impossible, il avait mis tous les arguments possibles de son côté.
Le regard du cadet du plus grand groupe de terroriste se fit plus intense, captant chaque mot de la réponse d'Haruki. Elle avait une façon de s'exprimer qui l'intriguait, un subtil mélange d'assurance et de réserve. En tant qu'artiste, il pouvait comprendre ce désir de trouver sa véritable voie, de chercher l'inspiration dans les endroits les plus inattendus. C'était là une quête qu’ils partageaient tous les deux, même si leurs motivations étaient différentes.
Son ton était empreint d'une sincérité feinte, l'authenticité de ses paroles habilement dissimulée derrière son rôle de vendeur attentionné. Il cherchait à gagner sa confiance tout en préservant la sienne. La conversation avait atteint un niveau de subtilité où chaque phrase avait plusieurs significations, chaque sourire dissimulait une intention cachée.
« Si vous aimez expérimenter, peut-être devriez vous envisager de travailler avec de nouveaux matériaux, de découvrir des techniques différentes, » suggéra t'il en offrant un conseil qui, bien sûr, n'était pas dénué d'arrière-pensées. « Parfois, l'art réside dans l'exploration courageuse de l'inconnu, hmm. »
Sa suggestion était à la fois innocente et calculée, une invitation à approfondir leur conversation tout en lui donnant l'opportunité d'en apprendre davantage sur elle. Chaque mot qu’il prononçait était une pièce de l'énigme, chaque échange était un pas de plus dans cette danse complexe de l'art et de la manipulation. Son regard était vif, attentif à la moindre réaction d'Haruki, cherchant à percer le voile de ses intentions tout en préservant jalousement les miennes. Dans tous les cas, c’était quand qu’il se décidait à acheter une de ses œuvres hein ? Il avait du temps, mais il n’avait pas tout le temps, nuance. Alors, qu’elle prenne un bijou et qu’il puisse fermer boutique.
Sa main glissa sur l'une des créations exposées, caressant délicatement la surface texturée d'un pendentif en forme de goutte d'eau, laissant ses doigts explorer le travail de Deidara avec une certaine admiration feinte. Ses mots, empreints de modestie, étaient une manière habile de décliner son offre sans blesser ses sentiments. Sauf que là, le blondinet était en train de bouillir. Il aurait aimé crier et lui dire que si elle n’achetait pas, qu’elle débarrasse le plancher pour qu’il puisse trouver une nouvelle «victime », ah non, client hum hum.
Son sourire colgate de vendeur demeura inchangé, ( même si il était sûr d’avoir mal aux joues plus tard ), et hocha légèrement la tête pour montrer qu'il comprenait son point de vue. « Je comprends, hmm, » prononça t’il, feignant de la compréhension. Parce qu’en vérité l’artificier était en train d’imaginer de la tuer sur place. Sauf que le faire en public était une très mauvaise idée. « Chacun de ses bijoux est unique, conçu pour refléter la personnalité et le style de celui ou celle qui le porte. Si vous préférez une approche plus discrète, je respecte totalement votre choix. »
Ses mots étaient empreints de courtoisie, et il était déterminé à maintenir une ambiance positive malgré sa décision de ne pas acheter. Puis, vint la question sur sa présence à Suna. Cette interrogation était inévitable, et il a répondu avec prudence pour ne pas compromettre sa couverture. Il devait tenir, cela ne devrait plus être long pour se débarrasser d'elle.
« Je sui ici depuis peu, je viens d’un village archaïque qui ne comprend rien à l’art » répondit il, tout en dissimulant habilement sa véritable identité. « En tant qu'artiste, je voyage souvent à la recherche d'inspiration. Et quant à mon pays d'origine, disons que c'est un endroit éloigné et mystérieux. »
Son ton était volontairement vague, veillant à ne pas révéler de détails qui pourraient éveiller ses soupçons. Répondre à ses questions tout en restant dans son rôle de vendeur était un exercice délicat, et il s’est efforcé de maintenir un équilibre entre la courtoisie et le secret. Deidara avait senti que la cliente était bien trop curieuse pour son propre bien. Bien qu'elle puisse être une artiste en herbe, il était impératif de protéger les secrets de l'Akatsuki. Il ne pouvait pas laisser de traces ni de liens qui pourraient compromettre la mission. C'était triste, car il avait senti une certaine connexion artistique avec elle, mais les risques étaient bien trop grands.
Deidara se rendit compte que la curiosité de la cliente le mettait mal à l'aise. Bien qu'il ne pouvait pas identifier clairement la source de son inquiétude, il savait qu'il devait agir rapidement et efficacement pour se débarrasser d'elle sans éveiller de soupçons. Son regard perçant croisa le sien, et dans un élan de décision, il se pencha légèrement vers elle, son sourire de vendeur toujours accroché à son visage.
« Votre curiosité m'honore, mais peut-être que vous aimeriez voir quelque chose de vraiment spécial et unique. Suivez-moi, hmm » dit-il, son ton devenant plus convaincant alors qu'il l'invitait à le suivre vers un autre stand.
Il l'entraîna loin de la foule animée du marché, les conduisant vers un endroit reculé de Suna qu'il connaissait bien grâce à son repérage. Ils marchèrent pendant quelques minutes à travers les ruelles étroites de la ville, évitant habilement les regards indiscrets. Arrivés à un coin isolé, Deidara fit signe à la cliente de le suivre dans un petit espace ombragé sous les feuilles d'un grand palmier. Là, ils étaient à l'abri des regards curieux, dans un lieu tranquille où leur conversation ne serait pas entendue.
« C'est ici que je crée la plupart de mes pièces, hmm » expliqua-t-il, désignant le stand de fortune qui se dressait à côté d'eux. « C'est un endroit paisible, loin des regards indiscrets. Et si vous êtes une artiste, peut-être que cet endroit pourra vous inspirer. »
Il espérait que ce changement de lieu dissiperait les soupçons de la cliente tout en lui offrant une excuse pour se débarrasser d'elle discrètement. Dans cet endroit reculé, il pourrait trouver le moyen de la convaincre de partir sans éveiller de soupçons. La chaleur écrasante du soleil de Suna brillait au-dessus d'eux, créant des jeux d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. Deidara espérait que cet endroit tranquille, éloigné de l'agitation du marché, mettrait fin à leur échange et lui permettrait de reprendre le contrôle de la situation.
« Merci beaucoup, hmm » répondit il, gardant son sourire de vendeur. « Je trouve que la nature est une source d'inspiration infinie, et j’essaie de capturer sa beauté à travers ses créations. »
Sa réponse était une combinaison de sincérité et de maîtrise de soi. Il avait conscience que cette femme était probablement plus qu'une simple cliente curieuse. Elle avait posé des questions habiles, montrant un intérêt pour l'inspiration derrière ses bijoux. C'était une opportunité pour lui de rassembler des informations tout en continuant de vendre ses créations.
« Les éléments naturels tels que l'eau, la terre et l'air ont toujours été une source d'inspiration pour moi, hmm » ajouta-t-il. « Ils représentent la pureté et la beauté que je m'efforce de capturer dans ses bijoux. »
Il avait décidé de jouer le jeu, tout en restant sur ses gardes. L'étrangère semblait perspicace et cherchait probablement à obtenir des informations sans éveiller de soupçons. Elle avait reconnu sa capacité à mêler la nature à l'argile, ce qui correspondait à sa couverture de vendeur d'artisanat en argile. Cependant, il devait faire attention à ne pas révéler d'informations compromettantes sur sa véritable identité ou ses activités au sein de l'Akatsuki. Sa question sur sa fascination pour la nature était directe, mais il devait rester prudent dans sa réponse. Il devait maintenir l'illusion tout en répondant d'une manière qui ne compromettrait pas ses véritables intentions.
« Merci beaucoup, » répondit il avec gratitude, son sourire de vendeur charmant.« C'est ma passion de capturer la beauté de la nature à travers mes créations. Chaque bijou que je crée est une expression de cet amour et de cette fascination pour le monde qui nous entoure. »
Il pouvait voir que l'étrangère était sur le point de prendre sa décision. Chaque mot qu'il avait choisi avec précaution l'avait rapprochée de son objectif de vendre un de ses bijoux tout en maintenant l'illusion de son rôle de vendeur d'artisanat en argile. Il attendit patiemment, se préparant mentalement à chaque éventualité, sachant que cette rencontre pouvait avoir des répercussions imprévues sur ses plans au sein de l'Akatsuki. Elle ne pouvait pas refuser cette fois. C’était impossible, il avait mis tous les arguments possibles de son côté.
Le regard du cadet du plus grand groupe de terroriste se fit plus intense, captant chaque mot de la réponse d'Haruki. Elle avait une façon de s'exprimer qui l'intriguait, un subtil mélange d'assurance et de réserve. En tant qu'artiste, il pouvait comprendre ce désir de trouver sa véritable voie, de chercher l'inspiration dans les endroits les plus inattendus. C'était là une quête qu’ils partageaient tous les deux, même si leurs motivations étaient différentes.
Son ton était empreint d'une sincérité feinte, l'authenticité de ses paroles habilement dissimulée derrière son rôle de vendeur attentionné. Il cherchait à gagner sa confiance tout en préservant la sienne. La conversation avait atteint un niveau de subtilité où chaque phrase avait plusieurs significations, chaque sourire dissimulait une intention cachée.
« Si vous aimez expérimenter, peut-être devriez vous envisager de travailler avec de nouveaux matériaux, de découvrir des techniques différentes, » suggéra t'il en offrant un conseil qui, bien sûr, n'était pas dénué d'arrière-pensées. « Parfois, l'art réside dans l'exploration courageuse de l'inconnu, hmm. »
Sa suggestion était à la fois innocente et calculée, une invitation à approfondir leur conversation tout en lui donnant l'opportunité d'en apprendre davantage sur elle. Chaque mot qu’il prononçait était une pièce de l'énigme, chaque échange était un pas de plus dans cette danse complexe de l'art et de la manipulation. Son regard était vif, attentif à la moindre réaction d'Haruki, cherchant à percer le voile de ses intentions tout en préservant jalousement les miennes. Dans tous les cas, c’était quand qu’il se décidait à acheter une de ses œuvres hein ? Il avait du temps, mais il n’avait pas tout le temps, nuance. Alors, qu’elle prenne un bijou et qu’il puisse fermer boutique.
Sa main glissa sur l'une des créations exposées, caressant délicatement la surface texturée d'un pendentif en forme de goutte d'eau, laissant ses doigts explorer le travail de Deidara avec une certaine admiration feinte. Ses mots, empreints de modestie, étaient une manière habile de décliner son offre sans blesser ses sentiments. Sauf que là, le blondinet était en train de bouillir. Il aurait aimé crier et lui dire que si elle n’achetait pas, qu’elle débarrasse le plancher pour qu’il puisse trouver une nouvelle «victime », ah non, client hum hum.
Son sourire colgate de vendeur demeura inchangé, ( même si il était sûr d’avoir mal aux joues plus tard ), et hocha légèrement la tête pour montrer qu'il comprenait son point de vue. « Je comprends, hmm, » prononça t’il, feignant de la compréhension. Parce qu’en vérité l’artificier était en train d’imaginer de la tuer sur place. Sauf que le faire en public était une très mauvaise idée. « Chacun de ses bijoux est unique, conçu pour refléter la personnalité et le style de celui ou celle qui le porte. Si vous préférez une approche plus discrète, je respecte totalement votre choix. »
Ses mots étaient empreints de courtoisie, et il était déterminé à maintenir une ambiance positive malgré sa décision de ne pas acheter. Puis, vint la question sur sa présence à Suna. Cette interrogation était inévitable, et il a répondu avec prudence pour ne pas compromettre sa couverture. Il devait tenir, cela ne devrait plus être long pour se débarrasser d'elle.
« Je sui ici depuis peu, je viens d’un village archaïque qui ne comprend rien à l’art » répondit il, tout en dissimulant habilement sa véritable identité. « En tant qu'artiste, je voyage souvent à la recherche d'inspiration. Et quant à mon pays d'origine, disons que c'est un endroit éloigné et mystérieux. »
Son ton était volontairement vague, veillant à ne pas révéler de détails qui pourraient éveiller ses soupçons. Répondre à ses questions tout en restant dans son rôle de vendeur était un exercice délicat, et il s’est efforcé de maintenir un équilibre entre la courtoisie et le secret. Deidara avait senti que la cliente était bien trop curieuse pour son propre bien. Bien qu'elle puisse être une artiste en herbe, il était impératif de protéger les secrets de l'Akatsuki. Il ne pouvait pas laisser de traces ni de liens qui pourraient compromettre la mission. C'était triste, car il avait senti une certaine connexion artistique avec elle, mais les risques étaient bien trop grands.
Deidara se rendit compte que la curiosité de la cliente le mettait mal à l'aise. Bien qu'il ne pouvait pas identifier clairement la source de son inquiétude, il savait qu'il devait agir rapidement et efficacement pour se débarrasser d'elle sans éveiller de soupçons. Son regard perçant croisa le sien, et dans un élan de décision, il se pencha légèrement vers elle, son sourire de vendeur toujours accroché à son visage.
« Votre curiosité m'honore, mais peut-être que vous aimeriez voir quelque chose de vraiment spécial et unique. Suivez-moi, hmm » dit-il, son ton devenant plus convaincant alors qu'il l'invitait à le suivre vers un autre stand.
Il l'entraîna loin de la foule animée du marché, les conduisant vers un endroit reculé de Suna qu'il connaissait bien grâce à son repérage. Ils marchèrent pendant quelques minutes à travers les ruelles étroites de la ville, évitant habilement les regards indiscrets. Arrivés à un coin isolé, Deidara fit signe à la cliente de le suivre dans un petit espace ombragé sous les feuilles d'un grand palmier. Là, ils étaient à l'abri des regards curieux, dans un lieu tranquille où leur conversation ne serait pas entendue.
« C'est ici que je crée la plupart de mes pièces, hmm » expliqua-t-il, désignant le stand de fortune qui se dressait à côté d'eux. « C'est un endroit paisible, loin des regards indiscrets. Et si vous êtes une artiste, peut-être que cet endroit pourra vous inspirer. »
Il espérait que ce changement de lieu dissiperait les soupçons de la cliente tout en lui offrant une excuse pour se débarrasser d'elle discrètement. Dans cet endroit reculé, il pourrait trouver le moyen de la convaincre de partir sans éveiller de soupçons. La chaleur écrasante du soleil de Suna brillait au-dessus d'eux, créant des jeux d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. Deidara espérait que cet endroit tranquille, éloigné de l'agitation du marché, mettrait fin à leur échange et lui permettrait de reprendre le contrôle de la situation.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 19.10.23 10:11
Je souris à Deidara, appréciant ses mots soigneusement choisis et son jeu d'acteur expert en tant que marchand d'artisanat en argile. La tension dans l'air était palpable, chaque mot prononcé par nous deux étant calculé pour servir nos propres desseins, tout en dissimulant nos véritables intentions. Fidèle à moi-même, je ne pouvais que lui répondre sur un ton qui oscillait entre l'admiration sincère et l'intérêt feint.
« La pureté et la beauté de la nature... C'est une source d'inspiration magnifique, et vous le traduisez admirablement dans vos créations. »
Mes paroles étaient réfléchies, et j'espérais qu'elles susciteraient davantage de confiance de sa part. J'étais déterminé à en apprendre plus sur lui, à déchiffrer les indices cachés derrière sa façade de marchand. Il était évident que nous étions deux joueurs engagés dans une partie délicate de dissimulation, cherchant à sonder l'autre sans révéler nos cartes.
« Vous avez mentionné les éléments naturels comme source d'inspiration. Y a-t-il un élément en particulier qui vous fascine davantage ? L'eau, la terre ou l'air, peut-être ? »
Demandai-je, cherchant à creuser un peu plus profondément dans ses motivations sans éveiller de soupçons. C'était une question directe, mais elle était formulée de manière à suggérer un simple intérêt pour son métier. Ma curiosité était authentique, mais je devais rester vigilant. Après tout, il était tout aussi capable de poser des questions habiles pour obtenir des informations. J'étais résolu à garder ma couverture intacte, tout en explorant les limites de la sienne. Dans ce jeu d'ombres et de dissimulation, chaque échange verbal était une occasion de découvrir la vérité qui se cachait derrière le masque de ce mystérieux marchand d'argile. De toute façon, je ne suis pas né de la dernière pluie… Déjà pour avoir de la pluie dans ce fichu pays, c’était dur et je doute sérieusement qu’il y en avait le jour de ma naissance. Ce pays est réellement en perdition. Pour survivre sur ces terres, il faut soit être rusé, soit né avec une force de la nature incroyable. Certes, cela forger le caractère d’être élevé dans ce pays de poussière et de sable à perte de vue. Je me passerais bien du sable si vous voulez mon avis.
Je pris en compte la suggestion de Deidara, reconnaissant qu'elle portait un double sens, tout en restant fidèle à ma couverture. Je souris de manière engageante en faisant entendre ma réponse.
« Vous avez raison, l'exploration de nouvelles avenues artistiques peut être extrêmement enrichissante ! »
Mes mots étaient choisis pour montrer que j'adhérais à l'idée d'explorer l'inconnu, tout en maintenant la prudence qui m'était nécessaire dans cette situation délicate. Chaque échange verbal était une opportunité pour lui de sonder mes intentions, tout comme cela l'était pour moi. Nous dansions sur un fil ténu de courtoisie et de dissimulation, cherchant à avancer dans notre quête d'informations tout en maintenant nos masques. C'était un jeu d'équilibre complexe, et nous étions tous deux engagés dans cette danse subtile.
Le moment de l'achat se rapprochait, mais j'étais déterminée à poursuivre cette conversation aussi longtemps que nécessaire pour rassembler autant d'informations que possible. C'était une occasion précieuse de découvrir la vérité derrière la façade du vendeur d'argile, et je ne comptais pas laisser passer cette opportunité. « Vos créations sont magnifiques, vraiment uniques. Je suis honorée de pouvoir les voir de si près », ajoutai-je, continuant de jouer mon rôle d'acheteuse curieuse. Mon but était d'en savoir plus sur Deidara, mais il n'était pas encore temps de dévoiler mes véritables intentions.
« Au fait, puis-je connaître votre nom ? Beaucoup de monde parle de vous, mais j’aimerais connaître votre nom. Un artiste tel que vous, doit rester dans les mémoires. »
Lorsque Deidara me répondit avec son sourire de vendeur inchangé, je pouvais presque sentir la tension dans l'air s'épaissir. Mon propre rôle d'acheteuse curieuse était un masque que je portais avec habileté, mais il semblait que Deidara était tout aussi déterminé à préserver sa façade de vendeur d'artisanat en argile. Cette interaction était un jeu subtil, une danse complexe de masques et de mensonges.
Il avait pris ma décision de ne pas acheter avec une courtoisie feinte, exprimant sa compréhension tout en gardant son sourire professionnel. Son comportement m'impressionnait, car il était évident qu'il ne souhaitait pas prolonger cette rencontre autant que moi. Pourtant, nous devions tous deux jouer nos rôles jusqu'à la fin. Je lui rendis un sourire poli, exprimant ma gratitude pour sa compréhension.
« Vos bijoux sont vraiment splendides, et je suis honorée par votre proposition. Cependant, en y réfléchissant davantage, je crains de ne pas être capable de les porter à leur juste valeur. Vous avez mentionné que ces créations sont conçues pour des personnes exceptionnelles, et je crains que je ne puisse pas me compter parmi elles, malgré vos dires. »
Ma réponse était formulée avec politesse, mais c'était aussi une façon de mettre fin à cette rencontre. J'étais déterminée à préserver ma propre couverture en tant qu'artiste voyageuse en quête d'inspiration. Mon objectif principal était de découvrir si Deidara cachait quelque chose de plus sinistre sous sa façade de vendeur d'artisanat en argile.
Lorsque Deidara répondit à ma question sur sa présence à Suna, il le fit avec habileté, dissimulant soigneusement sa véritable identité et son affiliation à l'Akatsuki. Sa réponse était vague, évoquant un village archaïque et éloigné. Il avait également mentionné son désir de voyager à la recherche d'inspiration en tant qu'artiste. C'était une réponse bien élaborée, destinée à ne pas éveiller de soupçons.
Deidara se montra réactif, décidant qu'il était temps de mener cette rencontre à un endroit plus discret où ils pourraient continuer à discuter sans craindre d'être entendus. Alors que ses yeux perçaient les miens avec une expression déterminée, il fit un geste en direction d'un endroit où nous pourrions poursuivre notre conversation loin des regards indiscrets. Sa proposition d'explorer quelque chose de "vraiment spécial et unique" avait un ton convaincant, et j'acquiesçai d'un signe de tête en signe d'approbation.
Nous nous éloignâmes de la foule animée du marché, marchant à travers les ruelles étroites de Suna. Deidara se montrait habile dans sa façon d'éviter les regards curieux, et je suivais son rythme, déterminée à ne pas attirer l'attention non plus. Après quelques minutes de marche, nous arrivâmes à un coin isolé de la ville. Là, il m'invita à le suivre dans un espace ombragé sous les feuilles d'un grand palmier. C'était l'endroit idéal pour continuer notre discussion, à l'abri des regards indiscrets.
Dans ce lieu tranquille, où seules les brises légères et le doux murmure des feuilles nous entouraient, Deidara rompit finalement le silence.
« J'ai l'impression que nous avons tous les deux des secrets à préserver. Quoi qu’il en soit, où se trouve cette incroyable collection ? Je ne vois rien si ce n’est qu’une grande caisse. Je commence sérieusement à avoir des doutes ! »
Bien que je devais maintenir ma propre couverture et protéger mes véritables intentions, ma curiosité à l'égard de cet homme énigmatique ne faisait que croître. Je m'étais aventurée sur ce terrain délicat avec lui, et il était temps de voir jusqu'où cette danse de masques et de dissimulation nous mènerait, heureux d’avoir sur moi, mes délicats parfums.
Deidara, me conduisit cette fois en me montrant sa caisse un avant goût de ses créations pour m’attirer loin du village. C’était suspect, il n’était pas un simple artisan comme je le pensais. Sinon, pourquoi me conduirait-il si loin du village. Je commençais à avoir mal aux pieds ou plutôt. J’ai décidé de lui faire croire.
« C’est encore loin ? Je commence à avoir mal aux pieds. Pourquoi, s’éloigner du village hein ? Cela n’aurait pas été plus simple de garder vos affaires au sein du village ? »
La chaleur écrasante du désert était toujours présente, nous enveloppant de sa chaleur oppressante. J'avais toujours ma main posée sur l'une des bouteilles de parfum que je portais en bandoulière, une source de réconfort et de confiance dans cette situation ambiguë.
Nous nous sommes arrêtés à l'entrée d'une grotte dissimulée derrière un amas de rochers et de palmiers. La grotte émergeait de manière presque inattendue, comme si elle avait été sculptée par la main de la nature elle-même. Une voûte de pierre s'élevait majestueusement, formant un portail naturel qui menait à l'intérieur de la grotte. Les parois de la caverne étaient ornées de dessins rupestres et de gravures, témoignages d'une histoire ancienne et mystérieuse. Des stalactites pendouillaient du plafond, donnant l'impression d'une mâchoire béante prête à se refermer.
La lumière du soleil filtrait faiblement à travers l'entrée de la grotte, créant des motifs d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. L'endroit avait une atmosphère mystique, presque surnaturelle, qui évoquait une aura de secrets enfouis.
« C’est charmant comme endroit ! Bien que je ne pourrais dans doute pas rester ici très longtemps. »
Fis-je en me ventilant avec mon éventail d’une main et mes doigts apportant doucement près de moi l’une de mes bouteilles de parfums.
« La pureté et la beauté de la nature... C'est une source d'inspiration magnifique, et vous le traduisez admirablement dans vos créations. »
Mes paroles étaient réfléchies, et j'espérais qu'elles susciteraient davantage de confiance de sa part. J'étais déterminé à en apprendre plus sur lui, à déchiffrer les indices cachés derrière sa façade de marchand. Il était évident que nous étions deux joueurs engagés dans une partie délicate de dissimulation, cherchant à sonder l'autre sans révéler nos cartes.
« Vous avez mentionné les éléments naturels comme source d'inspiration. Y a-t-il un élément en particulier qui vous fascine davantage ? L'eau, la terre ou l'air, peut-être ? »
Demandai-je, cherchant à creuser un peu plus profondément dans ses motivations sans éveiller de soupçons. C'était une question directe, mais elle était formulée de manière à suggérer un simple intérêt pour son métier. Ma curiosité était authentique, mais je devais rester vigilant. Après tout, il était tout aussi capable de poser des questions habiles pour obtenir des informations. J'étais résolu à garder ma couverture intacte, tout en explorant les limites de la sienne. Dans ce jeu d'ombres et de dissimulation, chaque échange verbal était une occasion de découvrir la vérité qui se cachait derrière le masque de ce mystérieux marchand d'argile. De toute façon, je ne suis pas né de la dernière pluie… Déjà pour avoir de la pluie dans ce fichu pays, c’était dur et je doute sérieusement qu’il y en avait le jour de ma naissance. Ce pays est réellement en perdition. Pour survivre sur ces terres, il faut soit être rusé, soit né avec une force de la nature incroyable. Certes, cela forger le caractère d’être élevé dans ce pays de poussière et de sable à perte de vue. Je me passerais bien du sable si vous voulez mon avis.
Je pris en compte la suggestion de Deidara, reconnaissant qu'elle portait un double sens, tout en restant fidèle à ma couverture. Je souris de manière engageante en faisant entendre ma réponse.
« Vous avez raison, l'exploration de nouvelles avenues artistiques peut être extrêmement enrichissante ! »
Mes mots étaient choisis pour montrer que j'adhérais à l'idée d'explorer l'inconnu, tout en maintenant la prudence qui m'était nécessaire dans cette situation délicate. Chaque échange verbal était une opportunité pour lui de sonder mes intentions, tout comme cela l'était pour moi. Nous dansions sur un fil ténu de courtoisie et de dissimulation, cherchant à avancer dans notre quête d'informations tout en maintenant nos masques. C'était un jeu d'équilibre complexe, et nous étions tous deux engagés dans cette danse subtile.
Le moment de l'achat se rapprochait, mais j'étais déterminée à poursuivre cette conversation aussi longtemps que nécessaire pour rassembler autant d'informations que possible. C'était une occasion précieuse de découvrir la vérité derrière la façade du vendeur d'argile, et je ne comptais pas laisser passer cette opportunité. « Vos créations sont magnifiques, vraiment uniques. Je suis honorée de pouvoir les voir de si près », ajoutai-je, continuant de jouer mon rôle d'acheteuse curieuse. Mon but était d'en savoir plus sur Deidara, mais il n'était pas encore temps de dévoiler mes véritables intentions.
« Au fait, puis-je connaître votre nom ? Beaucoup de monde parle de vous, mais j’aimerais connaître votre nom. Un artiste tel que vous, doit rester dans les mémoires. »
Lorsque Deidara me répondit avec son sourire de vendeur inchangé, je pouvais presque sentir la tension dans l'air s'épaissir. Mon propre rôle d'acheteuse curieuse était un masque que je portais avec habileté, mais il semblait que Deidara était tout aussi déterminé à préserver sa façade de vendeur d'artisanat en argile. Cette interaction était un jeu subtil, une danse complexe de masques et de mensonges.
Il avait pris ma décision de ne pas acheter avec une courtoisie feinte, exprimant sa compréhension tout en gardant son sourire professionnel. Son comportement m'impressionnait, car il était évident qu'il ne souhaitait pas prolonger cette rencontre autant que moi. Pourtant, nous devions tous deux jouer nos rôles jusqu'à la fin. Je lui rendis un sourire poli, exprimant ma gratitude pour sa compréhension.
« Vos bijoux sont vraiment splendides, et je suis honorée par votre proposition. Cependant, en y réfléchissant davantage, je crains de ne pas être capable de les porter à leur juste valeur. Vous avez mentionné que ces créations sont conçues pour des personnes exceptionnelles, et je crains que je ne puisse pas me compter parmi elles, malgré vos dires. »
Ma réponse était formulée avec politesse, mais c'était aussi une façon de mettre fin à cette rencontre. J'étais déterminée à préserver ma propre couverture en tant qu'artiste voyageuse en quête d'inspiration. Mon objectif principal était de découvrir si Deidara cachait quelque chose de plus sinistre sous sa façade de vendeur d'artisanat en argile.
Lorsque Deidara répondit à ma question sur sa présence à Suna, il le fit avec habileté, dissimulant soigneusement sa véritable identité et son affiliation à l'Akatsuki. Sa réponse était vague, évoquant un village archaïque et éloigné. Il avait également mentionné son désir de voyager à la recherche d'inspiration en tant qu'artiste. C'était une réponse bien élaborée, destinée à ne pas éveiller de soupçons.
Deidara se montra réactif, décidant qu'il était temps de mener cette rencontre à un endroit plus discret où ils pourraient continuer à discuter sans craindre d'être entendus. Alors que ses yeux perçaient les miens avec une expression déterminée, il fit un geste en direction d'un endroit où nous pourrions poursuivre notre conversation loin des regards indiscrets. Sa proposition d'explorer quelque chose de "vraiment spécial et unique" avait un ton convaincant, et j'acquiesçai d'un signe de tête en signe d'approbation.
Nous nous éloignâmes de la foule animée du marché, marchant à travers les ruelles étroites de Suna. Deidara se montrait habile dans sa façon d'éviter les regards curieux, et je suivais son rythme, déterminée à ne pas attirer l'attention non plus. Après quelques minutes de marche, nous arrivâmes à un coin isolé de la ville. Là, il m'invita à le suivre dans un espace ombragé sous les feuilles d'un grand palmier. C'était l'endroit idéal pour continuer notre discussion, à l'abri des regards indiscrets.
Dans ce lieu tranquille, où seules les brises légères et le doux murmure des feuilles nous entouraient, Deidara rompit finalement le silence.
« J'ai l'impression que nous avons tous les deux des secrets à préserver. Quoi qu’il en soit, où se trouve cette incroyable collection ? Je ne vois rien si ce n’est qu’une grande caisse. Je commence sérieusement à avoir des doutes ! »
Bien que je devais maintenir ma propre couverture et protéger mes véritables intentions, ma curiosité à l'égard de cet homme énigmatique ne faisait que croître. Je m'étais aventurée sur ce terrain délicat avec lui, et il était temps de voir jusqu'où cette danse de masques et de dissimulation nous mènerait, heureux d’avoir sur moi, mes délicats parfums.
Deidara, me conduisit cette fois en me montrant sa caisse un avant goût de ses créations pour m’attirer loin du village. C’était suspect, il n’était pas un simple artisan comme je le pensais. Sinon, pourquoi me conduirait-il si loin du village. Je commençais à avoir mal aux pieds ou plutôt. J’ai décidé de lui faire croire.
« C’est encore loin ? Je commence à avoir mal aux pieds. Pourquoi, s’éloigner du village hein ? Cela n’aurait pas été plus simple de garder vos affaires au sein du village ? »
La chaleur écrasante du désert était toujours présente, nous enveloppant de sa chaleur oppressante. J'avais toujours ma main posée sur l'une des bouteilles de parfum que je portais en bandoulière, une source de réconfort et de confiance dans cette situation ambiguë.
Nous nous sommes arrêtés à l'entrée d'une grotte dissimulée derrière un amas de rochers et de palmiers. La grotte émergeait de manière presque inattendue, comme si elle avait été sculptée par la main de la nature elle-même. Une voûte de pierre s'élevait majestueusement, formant un portail naturel qui menait à l'intérieur de la grotte. Les parois de la caverne étaient ornées de dessins rupestres et de gravures, témoignages d'une histoire ancienne et mystérieuse. Des stalactites pendouillaient du plafond, donnant l'impression d'une mâchoire béante prête à se refermer.
La lumière du soleil filtrait faiblement à travers l'entrée de la grotte, créant des motifs d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. L'endroit avait une atmosphère mystique, presque surnaturelle, qui évoquait une aura de secrets enfouis.
« C’est charmant comme endroit ! Bien que je ne pourrais dans doute pas rester ici très longtemps. »
Fis-je en me ventilant avec mon éventail d’une main et mes doigts apportant doucement près de moi l’une de mes bouteilles de parfums.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 20.10.23 13:06
Deidara avait remarqué que la cliente était déterminée à prolonger leur conversation. Sa curiosité semblait insatiable, et il devait rester vigilant pour ne pas révéler d'informations compromettantes. Il répondit à ses compliments avec un sourire poli, tout en se préparant mentalement à maintenir sa façade.
« Je suis ravi que vous trouviez mes créations magnifiques, Haruki-san. C'est un honneur de recevoir de tels compliments de votre part, hmm » dit-il, utilisant son ton de vendeur enthousiaste tout en gardant un œil sur elle. Il devait être prudent et ne pas montrer de signes de nervosité, même si la situation commençait à le mettre mal à l'aise.
Lorsqu'elle demanda son nom, Deidara fit mine de réfléchir un instant, créant un suspense léger pour satisfaire sa curiosité. « Je suis simplement un humble artisan,hmm.. Quel est votre nom déjà ? C'est la beauté de l'argile qui mérite toute l'attention. Mais si cela peut vous aider à vous souvenir de mes créations, appelez-moi Dara, hmm » répondit-il finalement, offrant un sourire énigmatique.
La tension entre eux était palpable, chaque mot pesant lourdement dans cette interaction complexe. Deidara observait attentivement Haruki, essayant de déchiffrer ses intentions réelles, tout en dissimulant les siennes. Il savait que cette rencontre était une occasion précieuse de rassembler des informations sur cette acheteuse curieuse, mais il ne pouvait pas se permettre de laisser sa garde baisser.
Lorsqu'elle déclina poliment son offre d'achat, Deidara répondit avec une courtoisie feinte. « Je comprends parfaitement votre point de vue, Haruki-san. Mes créations sont conçues pour ceux qui les apprécient à leur juste valeur. C'est une question de goût personnel, après tout, hmm » déclara-t-il, continuant de sourire. Il ne voulait pas montrer de déception, bien qu'il eût préféré qu'elle accepte.
La tension persista, chaque mot prononcé devenant un pas de plus dans cette danse subtile de masques et de mensonges. Deidara maintint sa façade de vendeur d'artisanat en argile jusqu'à la fin, sachant qu'il ne pouvait pas laisser transparaître ses véritables intentions. Les enjeux de la mission de l'Akatsuki étaient bien trop importants pour cela. Deidara écouta attentivement la réponse d'Haruki, tout en continuant de jouer son rôle de marchand de bijoux. Il avait noté son désir de préserver sa couverture en tant qu'artiste voyageuse en quête d'inspiration, tout en cherchant à percer la façade qu'il avait soigneusement construite en tant que vendeur d'artisanat en argile.
Il prit une profonde inspiration, gardant son sourire professionnel inchangé. Le jeu de masques et de dissimulation se poursuivait. La réponse d'Haruki révélait sa détermination à en savoir plus sur lui, à découvrir ce qui se cachait derrière cette façade. Cela éveilla en lui un mélange de méfiance et d'admiration pour l'artiste qui se tenait devant lui.
Haruki posa des questions sur sa présence à Suna, cherchant à en savoir plus sur son passé et ses intentions. Deidara répondit avec une habileté calculée, dissimulant soigneusement sa véritable identité et son affiliation à l'Akatsuki. Il évoqua un village archaïque et éloigné, et mentionna son désir de voyager à la recherche d'inspiration en tant qu'artiste. Sa réponse était bien élaborée, destinée à ne pas éveiller de soupçons, mais il était conscient que les enjeux étaient élevés. Le moment était venu pour Deidara de passer à la phase suivante de leur interaction. Il se montra réactif, proposant de poursuivre leur conversation à l'abri des regards indiscrets. Il lança un regard déterminé à Haruki, l'invitant à le suivre vers un lieu plus isolé. Sa proposition était empreinte de conviction, et elle fut accueillie favorablement par Haruki, qui acquiesça d'un signe de tête.
Ils se dirigèrent ensemble hors de la foule animée du marché, empruntant les ruelles étroites de Suna. Deidara se montra habile dans sa manière d'éviter les regards curieux, une compétence qu'il avait affinée au fil des ans. Haruki le suivait, déterminée à ne pas attirer l'attention sur eux. Après quelques minutes de marche, ils arrivèrent à un coin isolé de la ville, où un grand palmier offrait un abri naturel sous ses feuilles. Deidara invita Haruki à le rejoindre à cet endroit, à l'abri des regards indiscrets. C'était l'endroit parfait pour poursuivre leur discussion en toute discrétion. Dans ce cadre tranquille, baigné par les brises légères et le doux murmure des feuilles, Deidara brisa finalement le silence qui les avait entourés jusque-là. Sa voix trahissait une pointe d'excitation contenue.
« Il n’y a qu’une caisse ici, mais voilà, quelques petites statues ne sont-elles pas plus intéressantes que des colliers ? »
Evidemment, son plan était d’attiser un peu plus sa curiosité pour l’entraîner dans une grotte, assez éloignée du village de sable afin de pouvoir la tuer. Il ne pouvait pas se permettre une erreur. Il avait des doutes, ses questions étaient bizarres. C’est son instinct qui le lui criait. Dommage, car ce n’était pas tous les jours qu’il rencontrait une personne artistique. Il aurait bien aimé qu’elle lui révèle ses talents, mais comment dire… Le bien de la mission passait avant tout.
Deidara conduisit Haruki plus loin du village, l'attirant vers sa destination secrète. Il pouvait sentir que les questions de l'artiste se faisaient plus insistantes, des doutes commençant à germer dans son esprit. Elle s'inquiétait de l'éloignement du village, remettant en question la nécessité de garder ses créations aussi loin de la civilisation. Alors qu'ils continuaient à avancer sous la chaleur écrasante du désert, Haruki se plaignit de la fatigue et de la douleur dans ses pieds. Elle cherchait à créer l'apparence de la fatigue, ce qui était compréhensible compte tenu de la situation ambiguë dans laquelle ils se trouvaient.
Deidara lui jeta un regard en coin, remarquant le geste de sa main posée sur l'une des bouteilles de parfum qu'elle portait en bandoulière. Il devait rester vigilant. La caverne vers laquelle il la menait était un endroit qu'il avait soigneusement choisi pour discuter en toute sécurité, mais il ne pouvait pas se permettre de révéler ses secrets trop rapidement. Ils atteignirent enfin leur destination, s'arrêtant à l'entrée d'une grotte dissimulée derrière des rochers et des palmiers. La caverne s'ouvrit devant eux de manière presque inattendue, une merveille de la nature. Des dessins rupestres et des gravures ornaient les parois de la grotte, racontant une histoire ancienne et mystérieuse. Les stalactites pendouillaient du plafond, ajoutant à l'ambiance impressionnante de l'endroit.
La lumière du soleil filtrait à peine à travers l'entrée de la grotte, créant des motifs d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. L'endroit avait une atmosphère mystique, une aura de secrets enfouis. Haruki commenta l'endroit d'une manière charmante, tout en exprimant son désir de ne pas y rester trop longtemps.
Deidara conserva son calme, son sourire professionnel toujours présent. « Cet endroit a son charme, c'est vrai hmm, » répondit-il, s'abstenant de révéler la véritable raison de leur venue dans cette grotte. « Et pour répondre à votre question, il est essentiel de garder mes créations à l'écart des regards indiscrets. » Il gardait le mystère intact, sachant qu'il était temps de révéler une partie de ses secrets, mais pas encore tout. « Mais je crois que vous seriez intéressée de voir certaines de mes œuvres. » Deidara fit un geste pour l'inviter à entrer dans la grotte, où ils pourraient continuer leur conversation à l'abri des regards et explorer un peu plus les mystères qui les entouraient.
La demande de Haruki de revenir au village après avoir exploré la grotte n'était pas exactement ce que Deidara espérait. Il avait envisagé de s'éloigner encore plus du village pour trouver un moyen discret de se débarrasser d'elle. Il était de plus en plus convaincu que sa curiosité pouvait devenir un problème. Cependant, il devait maintenir les apparences et ne pas éveiller les soupçons. Il pouvait sentir que Haruki était à la fois curieuse et méfiante, ce qui rendait la situation plus délicate. Il lui adressa un sourire cordial.
À mesure qu'ils progressaient à travers la grotte, il menait Haruki plus profondément dans l'obscurité mystérieuse. Les parois rupestres semblaient garder les secrets de cette caverne depuis des siècles, et des statues anciennes émergeaient peu à peu de l'obscurité, révélant des créations sculptées avec une grande précision.
Soudainement, alors qu'ils approchaient du bout de la grotte, il fit un geste rapide pour fermer l'entrée derrière eux, obstruant ainsi le chemin de la lumière du soleil. Un grincement sinistre se fit entendre alors que la paroi rocheuse couvrait l'ouverture grâce à sa manipulation du doton. L'obscurité enveloppa immédiatement la grotte, créant une atmosphère oppressante. Il se tourna vers Haruki, son sourire de vendeur ayant disparu, remplacé par une expression plus sérieuse. Son regard se fixa sur elle, bien conscient de la gravité de la situation.
« Je crains que nous ne puissions pas retourner au village aussi facilement que vous le souhaitiez. Vous voyez, vous êtes trop proche d’un secret qui ne doit pas être révélé. Je suis désolé, mais vous ne pouvez pas quitter cet endroit. Mais soyez honorée, vous allez avoir l’honneur de faire partit de mon art. »
Deidara, conscient que sa couverture était compromise et que Haruki avait découvert trop de choses, prit une petite bombe argile de sa poche avec rapidité et la lança habilement vers elle. L'explosion qui suivit fut impressionnante malgré la petite taille de l'engin, créant un nuage de fumée et de poussière dans la grotte.
« C’est en remerciement à vos compliments et vôtre goût prononcé pour l’art. Dommage que nous nous soyons rencontrés dans ces circonstances.. Hmm.. ? »
« Je suis ravi que vous trouviez mes créations magnifiques, Haruki-san. C'est un honneur de recevoir de tels compliments de votre part, hmm » dit-il, utilisant son ton de vendeur enthousiaste tout en gardant un œil sur elle. Il devait être prudent et ne pas montrer de signes de nervosité, même si la situation commençait à le mettre mal à l'aise.
Lorsqu'elle demanda son nom, Deidara fit mine de réfléchir un instant, créant un suspense léger pour satisfaire sa curiosité. « Je suis simplement un humble artisan,hmm.. Quel est votre nom déjà ? C'est la beauté de l'argile qui mérite toute l'attention. Mais si cela peut vous aider à vous souvenir de mes créations, appelez-moi Dara, hmm » répondit-il finalement, offrant un sourire énigmatique.
La tension entre eux était palpable, chaque mot pesant lourdement dans cette interaction complexe. Deidara observait attentivement Haruki, essayant de déchiffrer ses intentions réelles, tout en dissimulant les siennes. Il savait que cette rencontre était une occasion précieuse de rassembler des informations sur cette acheteuse curieuse, mais il ne pouvait pas se permettre de laisser sa garde baisser.
Lorsqu'elle déclina poliment son offre d'achat, Deidara répondit avec une courtoisie feinte. « Je comprends parfaitement votre point de vue, Haruki-san. Mes créations sont conçues pour ceux qui les apprécient à leur juste valeur. C'est une question de goût personnel, après tout, hmm » déclara-t-il, continuant de sourire. Il ne voulait pas montrer de déception, bien qu'il eût préféré qu'elle accepte.
La tension persista, chaque mot prononcé devenant un pas de plus dans cette danse subtile de masques et de mensonges. Deidara maintint sa façade de vendeur d'artisanat en argile jusqu'à la fin, sachant qu'il ne pouvait pas laisser transparaître ses véritables intentions. Les enjeux de la mission de l'Akatsuki étaient bien trop importants pour cela. Deidara écouta attentivement la réponse d'Haruki, tout en continuant de jouer son rôle de marchand de bijoux. Il avait noté son désir de préserver sa couverture en tant qu'artiste voyageuse en quête d'inspiration, tout en cherchant à percer la façade qu'il avait soigneusement construite en tant que vendeur d'artisanat en argile.
Il prit une profonde inspiration, gardant son sourire professionnel inchangé. Le jeu de masques et de dissimulation se poursuivait. La réponse d'Haruki révélait sa détermination à en savoir plus sur lui, à découvrir ce qui se cachait derrière cette façade. Cela éveilla en lui un mélange de méfiance et d'admiration pour l'artiste qui se tenait devant lui.
Haruki posa des questions sur sa présence à Suna, cherchant à en savoir plus sur son passé et ses intentions. Deidara répondit avec une habileté calculée, dissimulant soigneusement sa véritable identité et son affiliation à l'Akatsuki. Il évoqua un village archaïque et éloigné, et mentionna son désir de voyager à la recherche d'inspiration en tant qu'artiste. Sa réponse était bien élaborée, destinée à ne pas éveiller de soupçons, mais il était conscient que les enjeux étaient élevés. Le moment était venu pour Deidara de passer à la phase suivante de leur interaction. Il se montra réactif, proposant de poursuivre leur conversation à l'abri des regards indiscrets. Il lança un regard déterminé à Haruki, l'invitant à le suivre vers un lieu plus isolé. Sa proposition était empreinte de conviction, et elle fut accueillie favorablement par Haruki, qui acquiesça d'un signe de tête.
Ils se dirigèrent ensemble hors de la foule animée du marché, empruntant les ruelles étroites de Suna. Deidara se montra habile dans sa manière d'éviter les regards curieux, une compétence qu'il avait affinée au fil des ans. Haruki le suivait, déterminée à ne pas attirer l'attention sur eux. Après quelques minutes de marche, ils arrivèrent à un coin isolé de la ville, où un grand palmier offrait un abri naturel sous ses feuilles. Deidara invita Haruki à le rejoindre à cet endroit, à l'abri des regards indiscrets. C'était l'endroit parfait pour poursuivre leur discussion en toute discrétion. Dans ce cadre tranquille, baigné par les brises légères et le doux murmure des feuilles, Deidara brisa finalement le silence qui les avait entourés jusque-là. Sa voix trahissait une pointe d'excitation contenue.
« Il n’y a qu’une caisse ici, mais voilà, quelques petites statues ne sont-elles pas plus intéressantes que des colliers ? »
Evidemment, son plan était d’attiser un peu plus sa curiosité pour l’entraîner dans une grotte, assez éloignée du village de sable afin de pouvoir la tuer. Il ne pouvait pas se permettre une erreur. Il avait des doutes, ses questions étaient bizarres. C’est son instinct qui le lui criait. Dommage, car ce n’était pas tous les jours qu’il rencontrait une personne artistique. Il aurait bien aimé qu’elle lui révèle ses talents, mais comment dire… Le bien de la mission passait avant tout.
Deidara conduisit Haruki plus loin du village, l'attirant vers sa destination secrète. Il pouvait sentir que les questions de l'artiste se faisaient plus insistantes, des doutes commençant à germer dans son esprit. Elle s'inquiétait de l'éloignement du village, remettant en question la nécessité de garder ses créations aussi loin de la civilisation. Alors qu'ils continuaient à avancer sous la chaleur écrasante du désert, Haruki se plaignit de la fatigue et de la douleur dans ses pieds. Elle cherchait à créer l'apparence de la fatigue, ce qui était compréhensible compte tenu de la situation ambiguë dans laquelle ils se trouvaient.
Deidara lui jeta un regard en coin, remarquant le geste de sa main posée sur l'une des bouteilles de parfum qu'elle portait en bandoulière. Il devait rester vigilant. La caverne vers laquelle il la menait était un endroit qu'il avait soigneusement choisi pour discuter en toute sécurité, mais il ne pouvait pas se permettre de révéler ses secrets trop rapidement. Ils atteignirent enfin leur destination, s'arrêtant à l'entrée d'une grotte dissimulée derrière des rochers et des palmiers. La caverne s'ouvrit devant eux de manière presque inattendue, une merveille de la nature. Des dessins rupestres et des gravures ornaient les parois de la grotte, racontant une histoire ancienne et mystérieuse. Les stalactites pendouillaient du plafond, ajoutant à l'ambiance impressionnante de l'endroit.
La lumière du soleil filtrait à peine à travers l'entrée de la grotte, créant des motifs d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. L'endroit avait une atmosphère mystique, une aura de secrets enfouis. Haruki commenta l'endroit d'une manière charmante, tout en exprimant son désir de ne pas y rester trop longtemps.
Deidara conserva son calme, son sourire professionnel toujours présent. « Cet endroit a son charme, c'est vrai hmm, » répondit-il, s'abstenant de révéler la véritable raison de leur venue dans cette grotte. « Et pour répondre à votre question, il est essentiel de garder mes créations à l'écart des regards indiscrets. » Il gardait le mystère intact, sachant qu'il était temps de révéler une partie de ses secrets, mais pas encore tout. « Mais je crois que vous seriez intéressée de voir certaines de mes œuvres. » Deidara fit un geste pour l'inviter à entrer dans la grotte, où ils pourraient continuer leur conversation à l'abri des regards et explorer un peu plus les mystères qui les entouraient.
La demande de Haruki de revenir au village après avoir exploré la grotte n'était pas exactement ce que Deidara espérait. Il avait envisagé de s'éloigner encore plus du village pour trouver un moyen discret de se débarrasser d'elle. Il était de plus en plus convaincu que sa curiosité pouvait devenir un problème. Cependant, il devait maintenir les apparences et ne pas éveiller les soupçons. Il pouvait sentir que Haruki était à la fois curieuse et méfiante, ce qui rendait la situation plus délicate. Il lui adressa un sourire cordial.
À mesure qu'ils progressaient à travers la grotte, il menait Haruki plus profondément dans l'obscurité mystérieuse. Les parois rupestres semblaient garder les secrets de cette caverne depuis des siècles, et des statues anciennes émergeaient peu à peu de l'obscurité, révélant des créations sculptées avec une grande précision.
Soudainement, alors qu'ils approchaient du bout de la grotte, il fit un geste rapide pour fermer l'entrée derrière eux, obstruant ainsi le chemin de la lumière du soleil. Un grincement sinistre se fit entendre alors que la paroi rocheuse couvrait l'ouverture grâce à sa manipulation du doton. L'obscurité enveloppa immédiatement la grotte, créant une atmosphère oppressante. Il se tourna vers Haruki, son sourire de vendeur ayant disparu, remplacé par une expression plus sérieuse. Son regard se fixa sur elle, bien conscient de la gravité de la situation.
« Je crains que nous ne puissions pas retourner au village aussi facilement que vous le souhaitiez. Vous voyez, vous êtes trop proche d’un secret qui ne doit pas être révélé. Je suis désolé, mais vous ne pouvez pas quitter cet endroit. Mais soyez honorée, vous allez avoir l’honneur de faire partit de mon art. »
Deidara, conscient que sa couverture était compromise et que Haruki avait découvert trop de choses, prit une petite bombe argile de sa poche avec rapidité et la lança habilement vers elle. L'explosion qui suivit fut impressionnante malgré la petite taille de l'engin, créant un nuage de fumée et de poussière dans la grotte.
« C’est en remerciement à vos compliments et vôtre goût prononcé pour l’art. Dommage que nous nous soyons rencontrés dans ces circonstances.. Hmm.. ? »
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 23.10.23 11:16
La grotte s'ouvrit devant nous, révélant des parois couvertes de dessins et de gravures anciennes, évoquant un passé mystérieux et inexploré. La lumière du soleil filtrait à peine à travers l'entrée de la caverne, créant des motifs d'ombre et de lumière sur le sol sablonneux. L'endroit était imprégné d'une atmosphère mystique, une aura de secrets enfouis qui suscitait ma curiosité.
Je commentai l'endroit avec sincérité, exprimant mon désir de ne pas y rester trop longtemps. C'était un lieu fascinant, mais quelque chose dans l'atmosphère pesante me mettait mal à l'aise. Je pouvais percevoir que Deidara gardait le mystère intact, et cela me donnait encore plus envie de découvrir ce qui se cachait dans cette grotte. Lorsque Deidara évoqua la nécessité de garder ses créations à l'abri des regards indiscrets, il ne fit que renforcer mon désir de savoir ce qu'il cachait. Mon regard s'illumina à l'idée de voir certaines de ses œuvres. Il fit un geste pour m'inviter à entrer plus profondément dans la grotte, où nous pourrions discuter à l'abri des regards et explorer davantage ses mystères.
Cependant, ma demande de retourner au village après notre exploration ne semblait pas satisfaire pleinement Deidara. J'avais perçu un léger agacement dans son attitude, mais il conserva son sourire cordial. Je comprenais que ma curiosité pouvait devenir un problème pour lui, mais il était important de ne pas éveiller de soupçons. Pour le moment, il fallait jouer le jeu et maintenir une façade de coopération. Alors que nous progressions plus profondément dans la grotte, la magie de l'endroit ne fit que s'intensifier. Les parois rupestres semblaient garder les secrets de cette caverne depuis des siècles, et des statues anciennes surgirent peu à peu de l'obscurité, révélant des créations sculptées avec une grande précision. C'était un spectacle impressionnant, mais je pouvais sentir que Deidara avait d'autres intentions en tête.
Soudain, alors que nous approchions du bout de la grotte, Deidara fit un geste rapide pour fermer l'entrée derrière nous, plongeant la caverne dans l'obscurité la plus totale. Un frisson parcourut mon échine alors que je prenais conscience de la gravité de la situation. Mon cœur s'emballa, et je tâtonnai dans l'obscurité pour essayer de retrouver mes repères. Le sourire de vendeur de Deidara avait disparu, remplacé par une expression sérieuse. Son regard pénétrant se posa sur moi, m'indiquant que les choses allaient prendre un tournant très différent. C'était un tournant que je n'avais pas prévu, et je me demandais quelle direction allait prendre notre rencontre. Et mince, il semblerait que je me sois fait prendre à mon propre piège. La curiosité est un vilain défaut. Ce que tante Chiyo n’a jamais cessé de me répéter. J’aurais dû me taire et la jouer plus fine. Dire que je pensais avoir éviter de me faire exploser en pleine face… On pourra repasser… J’ai eu raison de mettre rapidement la main sur un de mes parfums que je gardais précieusement sur moi. Je possédais de nombreux parfums, mais celui-ci j’allais devoir l’utiliser, qu’importe si ma santé en pâtissait.
La tension dans l'air était palpable lorsque Deidara prit la parole, son ton calme contrastant avec la gravité de ses paroles. « Je crains que nous ne puissions pas retourner au village aussi facilement que vous le souhaitiez. Vous voyez, vous êtes trop proche d’un secret qui ne doit pas être révélé. Je suis désolé, mais vous ne pouvez pas quitter cet endroit. Mais soyez honorée, vous allez avoir l’honneur de faire partit de mon art. » La curiosité avait un prix et le pire, c’est que je le savais depuis le début. Deidara avait décidé que je ne pouvais pas partir, que j'étais devenue un obstacle à ses plans. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine alors que je prenais conscience de la véritable nature de l'homme en face de moi. Il n'était pas simplement un artiste ; il était aussi un combattant redoutable, prêt à utiliser la violence pour protéger ses secrets.
Dans un geste habile et rapide, Deidara sortit une petite bombe d'argile de sa poche et la lança vers moi. L'explosion qui suivit fut impressionnante malgré la petite taille de l'engin, créant un nuage de fumée et de poussière dans la grotte. La déflagration me poussa en arrière, me faisant trébucher sur une pierre. Mon souffle fut coupé, et je toussai en essayant de reprendre ma respiration.
Lorsque la fumée commença à se dissiper, je relevai les yeux vers Deidara. Son expression était calme, presque satisfaite. « C’est en remerciement à vos compliments et vôtre goût prononcé pour l’art. Dommage que nous nous soyons rencontrés dans ces circonstances... Hmm.. ? »
Malgré la situation précaire dans laquelle je me trouvais, une lueur de détermination brilla dans mes yeux. Je n'allais pas me laisser abattre si facilement. Mon esprit était en ébullition, cherchant frénétiquement une issue à cette impasse.
« Vous pensez peut-être que vous m'avez prise au piège, mais je ne suis pas sans ressources ! »
Déclarai-je d'une voix ferme, ignorant la douleur dans ma cheville blessée.
« Je peux être une artiste à ma manière, et je ne vais pas me laisser détruire si facilement. Votre art est incroyable, mais ne sous-estimez jamais les artistes de Suna ! »
Malgré ma situation précaire, je me redressai lentement, essayant de conserver une dignité dans l'adversité. Mon esprit était en alerte, cherchant des solutions, des moyens de m'échapper de cette situation. La confrontation avec Deidara était devenue un combat non seulement pour ma vie, mais aussi pour ma liberté et ma volonté de ne pas me laisser briser par les circonstances.
« Vous aimez l'art, n'est-ce pas ? Eh bien, laissez-moi vous montrer mon art en remerciement à votre démonstration ! »
Je dévissai le bouchon du flacon dont j’avais la main mise pour l’inhaler. J’utilisais dès le début mon parfum l’un des plus puissants, mais si il était bien un membre de l’Akatsuki, je n’avais pas le choix. Ils travaillaient toujours par deux, alors mon but était de fuir, mais j’allais le sonner. Je n'avais pas la puissance explosive de Deidara, mais je possédais la ruse et la connaissance des parfums. Mon flair artistique allait devenir mon avantage. Je dévissai le bouchon du flacon et le jetai avec précision en direction de Deidara. Une fine brume s'échappa de la fiole, enveloppant Deidara dans un nuage parfumé. Il toussa, surpris par la soudaine attaque olfactive. Le parfum était un mélange de roses et d'acacia, agréable pour certains, mais particulièrement puissant pour ceux qui y étaient exposés. Ce n’était rien de fatale, juste une diversion. J’en ai profiter afin de libérer une fine brume du flacon "Kasokuko," le parfum de l'accélération, je pris une grande inspiration, l'inhalant profondément. Une sensation d'énergie pure se propagea rapidement dans mon corps, et je sentis mes sens s'aiguiser. Mes réflexes s'améliorèrent considérablement, et je me mis en mouvement, me déplaçant à une vitesse vertigineuse.
Soudain, je me trouvais derrière Deidara, qui était encore pris au dépourvu par l'effet du parfum, cela devait lui piquer le nez et les yeux. Sans perdre de temps, j'ouvris un autre flacon, celui du parfum "Kaenko," le pyrogène. Ce parfum, lorsque inhalé, provoquait des brûlures intenses, faisant souffrir la cible de l'intérieur. Je pouvais l’utiliser aussi pour l’extérieur, en l’inhalant moi-même, ayant été habitué à ce parfum. Je laissai le parfum "Kaenko" se diffuser dans l'air pendant que je me déplaçais à une distance raisonnable de Deidara évitant au passage une attaque. Je crachai malheureusement un peu de sang à cause de l’effet de sa bombe un peu plus tôt. J’allais devoir attendre que le parfum fasse effet sur son système le dévorant de l’intérieur. On était enfermé, moi, mes poumons étaient habitués aux effets de Kaenko. Je souris amusé de voir comment ma « cible » allait se débattre.
Sauf que ce n'était pas le moment de me relâcher car mon adversaire n'était pas n'importe qui et un manque d'inattention et c'était ma mort.. Comme à cet instant.
Je commentai l'endroit avec sincérité, exprimant mon désir de ne pas y rester trop longtemps. C'était un lieu fascinant, mais quelque chose dans l'atmosphère pesante me mettait mal à l'aise. Je pouvais percevoir que Deidara gardait le mystère intact, et cela me donnait encore plus envie de découvrir ce qui se cachait dans cette grotte. Lorsque Deidara évoqua la nécessité de garder ses créations à l'abri des regards indiscrets, il ne fit que renforcer mon désir de savoir ce qu'il cachait. Mon regard s'illumina à l'idée de voir certaines de ses œuvres. Il fit un geste pour m'inviter à entrer plus profondément dans la grotte, où nous pourrions discuter à l'abri des regards et explorer davantage ses mystères.
Cependant, ma demande de retourner au village après notre exploration ne semblait pas satisfaire pleinement Deidara. J'avais perçu un léger agacement dans son attitude, mais il conserva son sourire cordial. Je comprenais que ma curiosité pouvait devenir un problème pour lui, mais il était important de ne pas éveiller de soupçons. Pour le moment, il fallait jouer le jeu et maintenir une façade de coopération. Alors que nous progressions plus profondément dans la grotte, la magie de l'endroit ne fit que s'intensifier. Les parois rupestres semblaient garder les secrets de cette caverne depuis des siècles, et des statues anciennes surgirent peu à peu de l'obscurité, révélant des créations sculptées avec une grande précision. C'était un spectacle impressionnant, mais je pouvais sentir que Deidara avait d'autres intentions en tête.
Soudain, alors que nous approchions du bout de la grotte, Deidara fit un geste rapide pour fermer l'entrée derrière nous, plongeant la caverne dans l'obscurité la plus totale. Un frisson parcourut mon échine alors que je prenais conscience de la gravité de la situation. Mon cœur s'emballa, et je tâtonnai dans l'obscurité pour essayer de retrouver mes repères. Le sourire de vendeur de Deidara avait disparu, remplacé par une expression sérieuse. Son regard pénétrant se posa sur moi, m'indiquant que les choses allaient prendre un tournant très différent. C'était un tournant que je n'avais pas prévu, et je me demandais quelle direction allait prendre notre rencontre. Et mince, il semblerait que je me sois fait prendre à mon propre piège. La curiosité est un vilain défaut. Ce que tante Chiyo n’a jamais cessé de me répéter. J’aurais dû me taire et la jouer plus fine. Dire que je pensais avoir éviter de me faire exploser en pleine face… On pourra repasser… J’ai eu raison de mettre rapidement la main sur un de mes parfums que je gardais précieusement sur moi. Je possédais de nombreux parfums, mais celui-ci j’allais devoir l’utiliser, qu’importe si ma santé en pâtissait.
La tension dans l'air était palpable lorsque Deidara prit la parole, son ton calme contrastant avec la gravité de ses paroles. « Je crains que nous ne puissions pas retourner au village aussi facilement que vous le souhaitiez. Vous voyez, vous êtes trop proche d’un secret qui ne doit pas être révélé. Je suis désolé, mais vous ne pouvez pas quitter cet endroit. Mais soyez honorée, vous allez avoir l’honneur de faire partit de mon art. » La curiosité avait un prix et le pire, c’est que je le savais depuis le début. Deidara avait décidé que je ne pouvais pas partir, que j'étais devenue un obstacle à ses plans. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine alors que je prenais conscience de la véritable nature de l'homme en face de moi. Il n'était pas simplement un artiste ; il était aussi un combattant redoutable, prêt à utiliser la violence pour protéger ses secrets.
Dans un geste habile et rapide, Deidara sortit une petite bombe d'argile de sa poche et la lança vers moi. L'explosion qui suivit fut impressionnante malgré la petite taille de l'engin, créant un nuage de fumée et de poussière dans la grotte. La déflagration me poussa en arrière, me faisant trébucher sur une pierre. Mon souffle fut coupé, et je toussai en essayant de reprendre ma respiration.
Lorsque la fumée commença à se dissiper, je relevai les yeux vers Deidara. Son expression était calme, presque satisfaite. « C’est en remerciement à vos compliments et vôtre goût prononcé pour l’art. Dommage que nous nous soyons rencontrés dans ces circonstances... Hmm.. ? »
Malgré la situation précaire dans laquelle je me trouvais, une lueur de détermination brilla dans mes yeux. Je n'allais pas me laisser abattre si facilement. Mon esprit était en ébullition, cherchant frénétiquement une issue à cette impasse.
« Vous pensez peut-être que vous m'avez prise au piège, mais je ne suis pas sans ressources ! »
Déclarai-je d'une voix ferme, ignorant la douleur dans ma cheville blessée.
« Je peux être une artiste à ma manière, et je ne vais pas me laisser détruire si facilement. Votre art est incroyable, mais ne sous-estimez jamais les artistes de Suna ! »
Malgré ma situation précaire, je me redressai lentement, essayant de conserver une dignité dans l'adversité. Mon esprit était en alerte, cherchant des solutions, des moyens de m'échapper de cette situation. La confrontation avec Deidara était devenue un combat non seulement pour ma vie, mais aussi pour ma liberté et ma volonté de ne pas me laisser briser par les circonstances.
« Vous aimez l'art, n'est-ce pas ? Eh bien, laissez-moi vous montrer mon art en remerciement à votre démonstration ! »
Je dévissai le bouchon du flacon dont j’avais la main mise pour l’inhaler. J’utilisais dès le début mon parfum l’un des plus puissants, mais si il était bien un membre de l’Akatsuki, je n’avais pas le choix. Ils travaillaient toujours par deux, alors mon but était de fuir, mais j’allais le sonner. Je n'avais pas la puissance explosive de Deidara, mais je possédais la ruse et la connaissance des parfums. Mon flair artistique allait devenir mon avantage. Je dévissai le bouchon du flacon et le jetai avec précision en direction de Deidara. Une fine brume s'échappa de la fiole, enveloppant Deidara dans un nuage parfumé. Il toussa, surpris par la soudaine attaque olfactive. Le parfum était un mélange de roses et d'acacia, agréable pour certains, mais particulièrement puissant pour ceux qui y étaient exposés. Ce n’était rien de fatale, juste une diversion. J’en ai profiter afin de libérer une fine brume du flacon "Kasokuko," le parfum de l'accélération, je pris une grande inspiration, l'inhalant profondément. Une sensation d'énergie pure se propagea rapidement dans mon corps, et je sentis mes sens s'aiguiser. Mes réflexes s'améliorèrent considérablement, et je me mis en mouvement, me déplaçant à une vitesse vertigineuse.
Soudain, je me trouvais derrière Deidara, qui était encore pris au dépourvu par l'effet du parfum, cela devait lui piquer le nez et les yeux. Sans perdre de temps, j'ouvris un autre flacon, celui du parfum "Kaenko," le pyrogène. Ce parfum, lorsque inhalé, provoquait des brûlures intenses, faisant souffrir la cible de l'intérieur. Je pouvais l’utiliser aussi pour l’extérieur, en l’inhalant moi-même, ayant été habitué à ce parfum. Je laissai le parfum "Kaenko" se diffuser dans l'air pendant que je me déplaçais à une distance raisonnable de Deidara évitant au passage une attaque. Je crachai malheureusement un peu de sang à cause de l’effet de sa bombe un peu plus tôt. J’allais devoir attendre que le parfum fasse effet sur son système le dévorant de l’intérieur. On était enfermé, moi, mes poumons étaient habitués aux effets de Kaenko. Je souris amusé de voir comment ma « cible » allait se débattre.
Sauf que ce n'était pas le moment de me relâcher car mon adversaire n'était pas n'importe qui et un manque d'inattention et c'était ma mort.. Comme à cet instant.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 23.10.23 18:04
Deidara observa attentivement la scène, une expression de détermination sur le visage malgré les difficultés auxquelles il était confronté. L'explosion de la bombe d'argile avait temporairement désorienté Haruki, mais elle avait rapidement repris pied, manifestant sa détermination à ne pas se laisser vaincre si facilement. Elle était parvenue à déployer son propre arsenal de parfums, utilisant son flair artistique et son ingéniosité pour créer une diversion inattendue.
La brume parfumée qui enveloppa Deidara le prit au dépourvu, provoquant une toux et une gêne évidente. Les parfums choisis par Haruki étaient puissants, bien qu'ils ne soient pas mortels, ils avaient clairement un effet immédiat. La diversion était en cours, mais ce n'était qu'une étape de son plan.
Soudain, Haruki se déplaça à une vitesse impressionnante, se positionnant derrière Deidara. Il se tourna brusquement, les yeux et le nez irrités par les parfums, cherchant à identifier la source de l'attaque. Son adversaire était en train de tirer parti de l'effet du parfum pour le prendre au dépourvu. La situation de Deidara devenait de plus en plus critique, et il sentait que le temps jouait contre lui. Cependant, il était un membre de l'Akatsuki, un artiste de l'explosion, et il n'allait pas être si facilement vaincu. Malgré les brûlures internes causées par le parfum "Kaenko," en effet, il sentit une sensation de brûlure, au début c’était un simplement picotement, mais il sentit que la douleur qui germait à l’intérieur de lui, devenait de plus en plus forte. Deidara rassembla sa détermination pour faire face à la situation. Il savait que sa seule chance de survie était de riposter de manière décisive. Il avait commis une erreur sous-estimer une artiste. Sûr qu’il se souviendrait d’elle… Son acolyte était un grand artiste de Suna, il devait l’admettre. Il aurait dû s’attendre à tomber sur une artiste dangereuse. Elle n’était pas de son calibre, quoi qu’il ne comprenait pas le système de cette vitesse vertigineuse dont elle venait de faire preuve.
Cependant, il était un membre de l'Akatsuki, un artiste de l'explosion, et il n'allait pas être si facilement vaincu. Malgré les brûlures internes causées par le parfum "Kaenko," Deidara rassembla sa détermination pour faire face à la situation. Il savait que sa seule chance de survie était de riposter de manière décisive.
Deidara, malgré les brûlures internes et l'irritation provoquée par les puissants parfums de Haruki, était déterminé à ne pas être vaincu. Il avait été pris au dépourvu, mais en tant qu'artiste de l'explosion, il savait qu'il avait encore des cartouches en réserve. Les explosions étaient son art, sa passion, et il ne reculerait devant rien pour préserver son secret, même si cela signifiait affronter une artiste aussi habile que Haruki.
Dans un mouvement rapide, Deidara créa une série de petits explosifs d'argile dans ses mains. Chacun d'entre eux était minutieusement conçu, prêt à être utilisé à tout moment. La fumée épaisse qui remplissait la grotte offrait une couverture idéale pour ses mouvements, lui permettant de se déplacer furtivement. Il se glissa silencieusement vers Haruki, utilisant les ombres pour se camoufler. Ses yeux scrutaient chaque détail de son environnement, à la recherche du moment parfait pour son prochain mouvement.
Soudain, il repéra Haruki à travers la fumée, tentant de reprendre ses esprits. La détermination brillait toujours dans les yeux de la jeune artiste. C'était un adversaire coriace, et Deidara ne pouvait pas se permettre de la sous-estimer. Il décida d'utiliser une tactique différente pour surprendre Haruki. Au lieu de lancer un explosif directement sur elle, il créa un nuage de petites bombes d'argile qu'il projeta au-dessus d'elle. Les explosifs plongèrent vers le sol, créant un effet de dispersion impressionnant.
« Je te l’accorde tu es une véritable artiste ! Hmm ! Mais, c’est finit pour toi ! Katsuu ! »
Lorsque les bombes d'argile touchèrent le sol, elles explosèrent en une série de détonations puissantes, soulevant la terre et projetant des fragments rocheux dans toutes les directions. Deidara, profitant de la confusion momentanée, se déplaça rapidement pour se rapprocher de sa cible. Il créa une bombe plus grosse dans sa main, prête à être lancée dès qu'il aurait une ligne de mire claire sur son adversaire. Toutefois, un autre ennemi se manifesta.
Les roches qui se détachaient du plafond de la grotte à cause de l'explosion formaient une menace bien réelle pour Deidara et Haruki. Les parois de la caverne étaient irrégulières, composées de strates de roches anciennes. L'explosion avait déstabilisé certaines parties du plafond, provoquant des chutes de pierres qui s'abattaient sur eux.
Ces roches variaient en taille, certaines n'étaient que des petits cailloux, tandis que d'autres étaient de véritables blocs de pierre massifs. La fumée et la poussière qui remplissaient la grotte rendaient difficile la prévision des trajectoires de ces projectiles improvisés. Les impacts des roches sur le sol et les parois créaient un vacarme assourdissant, ajoutant encore plus de chaos à la situation.
Deidara, tout en essayant de garder un œil sur Haruki, devait constamment esquiver les roches qui tombaient autour de lui. Sa capacité à utiliser ses bombes d'argile était entravée par le danger constant que représentaient ces projectiles imprévisibles. L'artiste de l'explosion détestait les espaces clos pour cette raison précise. Les grottes et les lieux confinés étaient des environnements où il ne pouvait pas pleinement exploiter son art sans risquer sa propre vie. Les roches qui tombaient menaçaient de mettre un terme prématuré à sa carrière artistique et à sa vie.
Il maîtrisait parfaitement l'art de la création d'explosifs, mais la nature capricieuse des chutes de pierres le rendait vulnérable. Sa frustration grandissait à mesure que les roches continuaient de pleuvoir, créant un obstacle imprévu à sa tentative de neutraliser Haruki. Pourtant, Deidara ne pouvait pas se permettre de perdre de vue sa cible. Haruki avait montré sa détermination et sa capacité à résister, même dans des circonstances aussi périlleuses. L'artiste de l'explosion se retrouvait ainsi dans une situation difficile, devant jongler entre la menace des chutes de pierres et la nécessité de s'occuper de Haruki. La grotte, autrefois un sanctuaire de mystères anciens, était devenue le théâtre d'un duel artistique intense, où la vie et la mort se côtoyaient à chaque instant. Le silence mystique qui régnait dans la caverne avait été remplacé par le tumulte chaotique des explosions et des chutes de pierres, créant un contraste frappant avec l'atmosphère initiale. Deidara devait à présent faire preuve de créativité pour surmonter ces obstacles inattendus et préserver son secret à tout prix.
Alors que Deidara tentait de gérer la menace des chutes de pierres tout en surveillant Haruki, il sentit soudainement ses poumons brûler, et l'air devint plus difficile à inhaler. Une douleur vive et insidieuse s'empara de sa poitrine, et il se plia en deux, pris au dépourvu par une sensation de suffocation.
« Qu'est-ce que cette garce m'a fait ? »
pensa-t-il, réalisant que Haruki avait dû utiliser un de ses parfums contre lui. L'artiste de l'explosion était temporairement vulnérable, son souffle court et ses mouvements entravés par l'effet du parfum.
Il émit un râle de frustration, presque inaudible sous le vacarme de la grotte. Le simple fait de respirer devenait un défi, et il dut s'agripper à une saillie rocheuse pour rester debout. Ses yeux larmoyaient, sa vision se troublait à cause du parfum. Il comprit qu'il devait réagir rapidement, car chaque instant de faiblesse augmentait le danger qui pesait sur lui.
Il fit un effort désespéré pour se redresser, mais alors qu'il tentait de se mettre à couvert, une énorme pierre s'effondra juste là où il se trouvait auparavant. Il roula en boule pour éviter de justesse d'être écrasé. La sueur perlait sur son front, et son corps lui faisait mal. La sensation de brûlure dans ses poumons s'intensifiait, et il toussa violemment.
Les obstacles semblaient s'accumuler contre lui. Les chutes de pierres, le parfum suffocant, et la persistance de Haruki le mettaient dans une situation précaire. Pour un artiste qui avait l'habitude de rester maître de la situation, cette lutte était particulièrement frustrante.
Malgré tout, Deidara ne pouvait pas se permettre de perdre, ni son art ni sa vie. Son esprit créatif devait lui fournir une solution pour surmonter ces difficultés. Alors, à genoux dans cette grotte dangereuse, il chercha un moyen de reprendre l'initiative et de se libérer de l'emprise de Haruki.
La brume parfumée qui enveloppa Deidara le prit au dépourvu, provoquant une toux et une gêne évidente. Les parfums choisis par Haruki étaient puissants, bien qu'ils ne soient pas mortels, ils avaient clairement un effet immédiat. La diversion était en cours, mais ce n'était qu'une étape de son plan.
Soudain, Haruki se déplaça à une vitesse impressionnante, se positionnant derrière Deidara. Il se tourna brusquement, les yeux et le nez irrités par les parfums, cherchant à identifier la source de l'attaque. Son adversaire était en train de tirer parti de l'effet du parfum pour le prendre au dépourvu. La situation de Deidara devenait de plus en plus critique, et il sentait que le temps jouait contre lui. Cependant, il était un membre de l'Akatsuki, un artiste de l'explosion, et il n'allait pas être si facilement vaincu. Malgré les brûlures internes causées par le parfum "Kaenko," en effet, il sentit une sensation de brûlure, au début c’était un simplement picotement, mais il sentit que la douleur qui germait à l’intérieur de lui, devenait de plus en plus forte. Deidara rassembla sa détermination pour faire face à la situation. Il savait que sa seule chance de survie était de riposter de manière décisive. Il avait commis une erreur sous-estimer une artiste. Sûr qu’il se souviendrait d’elle… Son acolyte était un grand artiste de Suna, il devait l’admettre. Il aurait dû s’attendre à tomber sur une artiste dangereuse. Elle n’était pas de son calibre, quoi qu’il ne comprenait pas le système de cette vitesse vertigineuse dont elle venait de faire preuve.
Cependant, il était un membre de l'Akatsuki, un artiste de l'explosion, et il n'allait pas être si facilement vaincu. Malgré les brûlures internes causées par le parfum "Kaenko," Deidara rassembla sa détermination pour faire face à la situation. Il savait que sa seule chance de survie était de riposter de manière décisive.
Deidara, malgré les brûlures internes et l'irritation provoquée par les puissants parfums de Haruki, était déterminé à ne pas être vaincu. Il avait été pris au dépourvu, mais en tant qu'artiste de l'explosion, il savait qu'il avait encore des cartouches en réserve. Les explosions étaient son art, sa passion, et il ne reculerait devant rien pour préserver son secret, même si cela signifiait affronter une artiste aussi habile que Haruki.
Dans un mouvement rapide, Deidara créa une série de petits explosifs d'argile dans ses mains. Chacun d'entre eux était minutieusement conçu, prêt à être utilisé à tout moment. La fumée épaisse qui remplissait la grotte offrait une couverture idéale pour ses mouvements, lui permettant de se déplacer furtivement. Il se glissa silencieusement vers Haruki, utilisant les ombres pour se camoufler. Ses yeux scrutaient chaque détail de son environnement, à la recherche du moment parfait pour son prochain mouvement.
Soudain, il repéra Haruki à travers la fumée, tentant de reprendre ses esprits. La détermination brillait toujours dans les yeux de la jeune artiste. C'était un adversaire coriace, et Deidara ne pouvait pas se permettre de la sous-estimer. Il décida d'utiliser une tactique différente pour surprendre Haruki. Au lieu de lancer un explosif directement sur elle, il créa un nuage de petites bombes d'argile qu'il projeta au-dessus d'elle. Les explosifs plongèrent vers le sol, créant un effet de dispersion impressionnant.
« Je te l’accorde tu es une véritable artiste ! Hmm ! Mais, c’est finit pour toi ! Katsuu ! »
Lorsque les bombes d'argile touchèrent le sol, elles explosèrent en une série de détonations puissantes, soulevant la terre et projetant des fragments rocheux dans toutes les directions. Deidara, profitant de la confusion momentanée, se déplaça rapidement pour se rapprocher de sa cible. Il créa une bombe plus grosse dans sa main, prête à être lancée dès qu'il aurait une ligne de mire claire sur son adversaire. Toutefois, un autre ennemi se manifesta.
Les roches qui se détachaient du plafond de la grotte à cause de l'explosion formaient une menace bien réelle pour Deidara et Haruki. Les parois de la caverne étaient irrégulières, composées de strates de roches anciennes. L'explosion avait déstabilisé certaines parties du plafond, provoquant des chutes de pierres qui s'abattaient sur eux.
Ces roches variaient en taille, certaines n'étaient que des petits cailloux, tandis que d'autres étaient de véritables blocs de pierre massifs. La fumée et la poussière qui remplissaient la grotte rendaient difficile la prévision des trajectoires de ces projectiles improvisés. Les impacts des roches sur le sol et les parois créaient un vacarme assourdissant, ajoutant encore plus de chaos à la situation.
Deidara, tout en essayant de garder un œil sur Haruki, devait constamment esquiver les roches qui tombaient autour de lui. Sa capacité à utiliser ses bombes d'argile était entravée par le danger constant que représentaient ces projectiles imprévisibles. L'artiste de l'explosion détestait les espaces clos pour cette raison précise. Les grottes et les lieux confinés étaient des environnements où il ne pouvait pas pleinement exploiter son art sans risquer sa propre vie. Les roches qui tombaient menaçaient de mettre un terme prématuré à sa carrière artistique et à sa vie.
Il maîtrisait parfaitement l'art de la création d'explosifs, mais la nature capricieuse des chutes de pierres le rendait vulnérable. Sa frustration grandissait à mesure que les roches continuaient de pleuvoir, créant un obstacle imprévu à sa tentative de neutraliser Haruki. Pourtant, Deidara ne pouvait pas se permettre de perdre de vue sa cible. Haruki avait montré sa détermination et sa capacité à résister, même dans des circonstances aussi périlleuses. L'artiste de l'explosion se retrouvait ainsi dans une situation difficile, devant jongler entre la menace des chutes de pierres et la nécessité de s'occuper de Haruki. La grotte, autrefois un sanctuaire de mystères anciens, était devenue le théâtre d'un duel artistique intense, où la vie et la mort se côtoyaient à chaque instant. Le silence mystique qui régnait dans la caverne avait été remplacé par le tumulte chaotique des explosions et des chutes de pierres, créant un contraste frappant avec l'atmosphère initiale. Deidara devait à présent faire preuve de créativité pour surmonter ces obstacles inattendus et préserver son secret à tout prix.
Alors que Deidara tentait de gérer la menace des chutes de pierres tout en surveillant Haruki, il sentit soudainement ses poumons brûler, et l'air devint plus difficile à inhaler. Une douleur vive et insidieuse s'empara de sa poitrine, et il se plia en deux, pris au dépourvu par une sensation de suffocation.
« Qu'est-ce que cette garce m'a fait ? »
pensa-t-il, réalisant que Haruki avait dû utiliser un de ses parfums contre lui. L'artiste de l'explosion était temporairement vulnérable, son souffle court et ses mouvements entravés par l'effet du parfum.
Il émit un râle de frustration, presque inaudible sous le vacarme de la grotte. Le simple fait de respirer devenait un défi, et il dut s'agripper à une saillie rocheuse pour rester debout. Ses yeux larmoyaient, sa vision se troublait à cause du parfum. Il comprit qu'il devait réagir rapidement, car chaque instant de faiblesse augmentait le danger qui pesait sur lui.
Il fit un effort désespéré pour se redresser, mais alors qu'il tentait de se mettre à couvert, une énorme pierre s'effondra juste là où il se trouvait auparavant. Il roula en boule pour éviter de justesse d'être écrasé. La sueur perlait sur son front, et son corps lui faisait mal. La sensation de brûlure dans ses poumons s'intensifiait, et il toussa violemment.
Les obstacles semblaient s'accumuler contre lui. Les chutes de pierres, le parfum suffocant, et la persistance de Haruki le mettaient dans une situation précaire. Pour un artiste qui avait l'habitude de rester maître de la situation, cette lutte était particulièrement frustrante.
Malgré tout, Deidara ne pouvait pas se permettre de perdre, ni son art ni sa vie. Son esprit créatif devait lui fournir une solution pour surmonter ces difficultés. Alors, à genoux dans cette grotte dangereuse, il chercha un moyen de reprendre l'initiative et de se libérer de l'emprise de Haruki.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 24.10.23 9:48
Alors que je m'étais lancé dans un combat féroce avec Deidara, ma détermination et ma créativité avaient été mises à l'épreuve. Les explosions et les bombes d'argile avaient créé un véritable chaos dans la grotte, et j'avais utilisé tous les moyens à ma disposition pour riposter. Cependant, malgré ma vitesse accrue grâce à mon parfum d'accélération, il était impossible d'éviter toutes les bombes et les rochers qui tombaient. Les explosions avaient créé des ondes de choc puissantes qui me secouaient, même lorsque je me trouvais à une certaine distance. Les secousses avaient eu un impact sur mon équilibre, me faisant trébucher à plusieurs reprises. J'avais été frappé par des fragments de roche, des éraflures et des blessures mineures qui saignaient, mais ma détermination à ne pas abandonner n'avait pas faibli.
Malgré la douleur et les obstacles, je m'étais acharné à me rapprocher de Deidara. Mon objectif était clair : le désarmer et mettre fin à cette bataille chaotique. Cependant, Deidara était un adversaire rusé, et il avait utilisé la fumée et la poussière à son avantage pour échapper à ma vigilance.Tout à coup, alors que je tentais de reprendre ma respiration et de me remettre de l'explosion la plus proche, une douleur lancinante traversa ma jambe. J'ai réalisé que j'avais été touché par un fragment de roche, causant une blessure plus profonde que les précédentes. C'était douloureux, mais cela ne m'a pas empêché de continuer. Mon parfum d'accélération m'aidait à compenser la douleur en décuplant ma vitesse.
La grotte était toujours remplie de fumée et de chaos, mais je me suis efforcé de me frayer un chemin à travers les obstacles. La bataille faisait rage autour de moi, les explosions de Deidara créant des feux d'artifice improbables dans l'obscurité. Les roches continuaient de tomber, et j'avais appris à anticiper leurs trajectoires autant que possible. Cependant, ma vision se brouillait de plus en plus à cause de la fumée et de l'irritation causée par les parfums. Mes mouvements étaient plus lents, et ma concentration commençait à faiblir. Je ne pouvais pas maintenir mon rythme effréné indéfiniment.
Soudain, j'ai vu Deidara à travers la fumée, prêt à lancer une nouvelle série de bombes d'argile. Il avait récupéré, et il était déterminé à ne pas me laisser gagner. Mes sens m'avaient averti de son approche, mais je savais que je ne pouvais pas éviter une autre explosion directe.
Au lieu de cela, j'ai utilisé mon parfum "Kasokuko," l'accélération, pour augmenter ma vitesse à un niveau encore jamais atteint, connaissant bien le risque. Si une dose n’était pas mortelle, la seconde, puis plus étaient dangereuses pour mon organisme. J’avais cinq minutes pour prendre un antidote à partir de maintenant. J'ai couru droit vers Deidara, le dépassant en un éclair, et j'ai plongé sous ses pieds. Ma main a attrapé la jambe de Deidara, et j'ai utilisé toute ma force pour le faire trébucher.
L'artiste de l'explosion a perdu l'équilibre et est tombé au sol, ses bombes d'argile s'éparpillant autour de lui. Je me suis relevé malgré la douleur, me sentant à bout de forces. La grotte était un champ de bataille chaotique, et il était temps que cela prenne fin. Dans cet environnement chaotique, je me suis retrouvé submergé par l'explosion soudaine des bombes d'argile créées par Deidara. L'impact de l'explosion a secoué la grotte, projetant des fragments de roche dans toutes les directions. J'ai été momentanément désorienté par la puissance de cette explosion, mais ma détermination n'a pas flanché. Deidara avait réussi à créer un véritable chaos, mais je devais rester concentré.
Cependant, les débris qui tombaient des parois de la grotte étaient devenus une menace supplémentaire. La situation devenait de plus en plus périlleuse, et ma capacité à éviter les projectiles était compromise. Les rochers de différentes tailles tombaient tout autour de moi, créant un environnement particulièrement hostile.
Deidara, malgré les difficultés auxquelles il était confronté, continuait de lancer des attaques explosives. Sa détermination à me vaincre était palpable, et je savais que je ne devais pas le sous-estimer. Il était un artiste de l'explosion, un membre de l'Akatsuki, et il ne reculerait devant rien pour protéger son art. Lorsque Deidara a créé une bombe plus imposante dans sa main, j'ai senti l'urgence de la situation. Mon instinct m'a poussé à agir rapidement, car je savais que cette bombe était une menace sérieuse. Cependant, un autre danger s'est présenté sous la forme des rochers qui tombaient du plafond de la grotte.
Les roches tombaient de manière imprévisible, et la fumée et la poussière qui remplissaient la grotte rendaient difficile la prévision de leur trajectoire. L'impact des roches sur le sol et les parois ajoutait encore au chaos ambiant. Deidara, tout en essayant de garder un œil sur moi, devait esquiver les rochers qui tombaient.
Je me suis rendu compte que j'étais aussi dans une situation critique. Les explosions, les chutes de pierres et les effets du parfum d’accélération, rendaient ce combat extrêmement dangereux. Ma respiration devenait laborieuse, et la douleur dans mes poumons s'intensifiait. Alors que Deidara luttait pour éviter les rochers et était victime des effets du parfum pyrogène, je tentais de trouver une solution pour m'en sortir. Les roches continuaient de tomber, et la grotte était devenue un véritable champ de bataille. Pourtant, ma détermination restait intacte, et je savais que je devais trouver un moyen de reprendre l'initiative dans ce combat chaotique.
Dans cet environnement périlleux, alors que les roches continuaient de pleuvoir et que l'air était imprégné de mon propre parfum "Kaenko," j'ai réalisé qu'il était temps de changer de tactique. Deidara, bien qu'affaibli par les effets de mon parfum, demeurait un adversaire redoutable, et je devais agir rapidement pour reprendre l'avantage.
Je me suis donc redressé, malgré la douleur qui brûlait dans mes poumons, et j'ai jeté un regard déterminé à Deidara à travers la fumée et les éclats de pierre. Ma voix, bien que légèrement enrouée par les effets de mon propre parfum, a résonné dans la grotte.
« Deidara, tu es vraiment un artiste exceptionnel. Mais il est temps de mettre fin à ce petit numéro, ne penses-tu pas ? Regarde bien, Deidara. L'art peut prendre de nombreuses formes, même dans une situation aussi chaotique que celle-ci. »
En effet, je venais de lui faire comprendre que je connaissais son nom. Maintenant, que je pouvais voir son visage, je savais qui il était… Il n’était pas « Dara ». C’était un criminel.
J'ai esquivé habilement les roches en utilisant ma vitesse accrue, glissant entre les failles et les interstices. Chacun de mes mouvements était calculé, une danse artistique à travers le danger. Le parfum de corrosion que j'avais également préparé était maintenant actif, et il commença à s'attaquer aux rochers qui m'entouraient. Les pierres se désintégraient lentement, révélant un chemin sûr à travers la tempête chaotique.
« Tu as créé un véritable festival d'explosions, Deidara. Mais as-tu déjà vu une danse comme la mienne ? »
Un sourire… Puis, j’ai décidé de disparaître, de fuir à cause des blessures et des effets secondaires de mon parfum « Kasokuko ». Dans un élan désespéré, je me suis propulsé à travers la grotte, ma vitesse exacerbée par les effets du parfum d'accélération. La douleur brûlante dans ma poitrine se mêlait à la sensation de suffocation, chaque inspiration se transformant en un supplice. Chaque pas que je faisais était une lutte, mais la pensée de ma fuite imminente m'insufflait une énergie nouvelle.
Les parois de la grotte semblaient se refermer sur moi, des échos lointains de l'explosion de Deidara résonnaient dans mes oreilles. Je pouvais sentir les vibrations sous mes pieds, signe que la grotte était en train de s'effondrer lentement autour de moi. Mon souffle haletant se mêlait aux grondements de la terre, créant une symphonie macabre de destruction. Soudain, j'ai vu une lueur à travers l'obscurité de la grotte en train de s'effondrer. C'était la sortie, un mince filet de lumière qui représentait ma seule chance de survie. J'ai redoublé d'efforts, ignorant la douleur qui se propageait dans tout mon corps, et me suis précipité vers cette lueur d'espoir.
Finalement, j'ai émergé de la grotte en ruine, titubant sur le sol rocailleux à l'extérieur. L'air frais a brûlé mes poumons alors que je reprenais ma respiration, mes mains tremblantes pressant ma poitrine meurtrie. Le soulagement de l'air libre était de courte durée, car la réalité de mes blessures me rattrapait rapidement. Je me suis traîné aussi loin que possible de l'entrée de la grotte, cherchant désespérément un abri. À l'ombre d'un mur en ruine, je me suis effondré, crachant du sang tandis que mes blessures me faisaient atrocement mal. Ma main tremblante a fouillé ma poche à la recherche de l'antidote que j'avais préparé à l'avance. J'ai réussi à le trouver, mes doigts tachés de sang tenant le petit flacon.
Avec une force que je ne pensais pas avoir, j'ai ouvert le flacon et avalé l'antidote, espérant que ses effets agiraient rapidement. Les secondes semblaient s'étirer en une éternité, mais enfin, une lueur de soulagement a traversé la douleur qui me ravageait. Les effets du parfum d'accélération se sont dissipés lentement, ramenant ma vitesse à sa normale. Cependant, l'antidote n'était pas une panacée. Mes blessures restaient, et la douleur persistante était un rappel constant de l'assaut que j'avais subi.
Je me suis allongé sur le sol, mes yeux se tournant vers le ciel azur au-dessus de moi. Un sourire ironique a dansé sur mes lèvres, mêlé à un rire faible et fatigué. La folie de cette journée m'a submergé. Les événements chaotiques, l'affrontement avec Deidara, ma fuite désespérée – tout cela semblait presque surréaliste. Je savais que je ne pouvais plus avertir les clients des colliers d'argile du danger qui les guettait. Mon épuisement physique et mental m'a finalement rattrapé, et je me suis laissé emporter par l'épuisement. Mon esprit s'est embrouillé, mon rire s'est éteint, et j'ai sombré dans l'inconscience.
C'est ainsi que j'ai été emporté par l'ombre, mon corps fragile reposant parmi les décombres. Mon aventure, aussi rocambolesque qu'elle ait été, avait atteint son point culminant. Et tandis que le soleil se couchait, le village était plongé dans l'ignorance, ignorant la menace qui pesait sur eux.
Malgré la douleur et les obstacles, je m'étais acharné à me rapprocher de Deidara. Mon objectif était clair : le désarmer et mettre fin à cette bataille chaotique. Cependant, Deidara était un adversaire rusé, et il avait utilisé la fumée et la poussière à son avantage pour échapper à ma vigilance.Tout à coup, alors que je tentais de reprendre ma respiration et de me remettre de l'explosion la plus proche, une douleur lancinante traversa ma jambe. J'ai réalisé que j'avais été touché par un fragment de roche, causant une blessure plus profonde que les précédentes. C'était douloureux, mais cela ne m'a pas empêché de continuer. Mon parfum d'accélération m'aidait à compenser la douleur en décuplant ma vitesse.
La grotte était toujours remplie de fumée et de chaos, mais je me suis efforcé de me frayer un chemin à travers les obstacles. La bataille faisait rage autour de moi, les explosions de Deidara créant des feux d'artifice improbables dans l'obscurité. Les roches continuaient de tomber, et j'avais appris à anticiper leurs trajectoires autant que possible. Cependant, ma vision se brouillait de plus en plus à cause de la fumée et de l'irritation causée par les parfums. Mes mouvements étaient plus lents, et ma concentration commençait à faiblir. Je ne pouvais pas maintenir mon rythme effréné indéfiniment.
Soudain, j'ai vu Deidara à travers la fumée, prêt à lancer une nouvelle série de bombes d'argile. Il avait récupéré, et il était déterminé à ne pas me laisser gagner. Mes sens m'avaient averti de son approche, mais je savais que je ne pouvais pas éviter une autre explosion directe.
Au lieu de cela, j'ai utilisé mon parfum "Kasokuko," l'accélération, pour augmenter ma vitesse à un niveau encore jamais atteint, connaissant bien le risque. Si une dose n’était pas mortelle, la seconde, puis plus étaient dangereuses pour mon organisme. J’avais cinq minutes pour prendre un antidote à partir de maintenant. J'ai couru droit vers Deidara, le dépassant en un éclair, et j'ai plongé sous ses pieds. Ma main a attrapé la jambe de Deidara, et j'ai utilisé toute ma force pour le faire trébucher.
L'artiste de l'explosion a perdu l'équilibre et est tombé au sol, ses bombes d'argile s'éparpillant autour de lui. Je me suis relevé malgré la douleur, me sentant à bout de forces. La grotte était un champ de bataille chaotique, et il était temps que cela prenne fin. Dans cet environnement chaotique, je me suis retrouvé submergé par l'explosion soudaine des bombes d'argile créées par Deidara. L'impact de l'explosion a secoué la grotte, projetant des fragments de roche dans toutes les directions. J'ai été momentanément désorienté par la puissance de cette explosion, mais ma détermination n'a pas flanché. Deidara avait réussi à créer un véritable chaos, mais je devais rester concentré.
Cependant, les débris qui tombaient des parois de la grotte étaient devenus une menace supplémentaire. La situation devenait de plus en plus périlleuse, et ma capacité à éviter les projectiles était compromise. Les rochers de différentes tailles tombaient tout autour de moi, créant un environnement particulièrement hostile.
Deidara, malgré les difficultés auxquelles il était confronté, continuait de lancer des attaques explosives. Sa détermination à me vaincre était palpable, et je savais que je ne devais pas le sous-estimer. Il était un artiste de l'explosion, un membre de l'Akatsuki, et il ne reculerait devant rien pour protéger son art. Lorsque Deidara a créé une bombe plus imposante dans sa main, j'ai senti l'urgence de la situation. Mon instinct m'a poussé à agir rapidement, car je savais que cette bombe était une menace sérieuse. Cependant, un autre danger s'est présenté sous la forme des rochers qui tombaient du plafond de la grotte.
Les roches tombaient de manière imprévisible, et la fumée et la poussière qui remplissaient la grotte rendaient difficile la prévision de leur trajectoire. L'impact des roches sur le sol et les parois ajoutait encore au chaos ambiant. Deidara, tout en essayant de garder un œil sur moi, devait esquiver les rochers qui tombaient.
Je me suis rendu compte que j'étais aussi dans une situation critique. Les explosions, les chutes de pierres et les effets du parfum d’accélération, rendaient ce combat extrêmement dangereux. Ma respiration devenait laborieuse, et la douleur dans mes poumons s'intensifiait. Alors que Deidara luttait pour éviter les rochers et était victime des effets du parfum pyrogène, je tentais de trouver une solution pour m'en sortir. Les roches continuaient de tomber, et la grotte était devenue un véritable champ de bataille. Pourtant, ma détermination restait intacte, et je savais que je devais trouver un moyen de reprendre l'initiative dans ce combat chaotique.
Dans cet environnement périlleux, alors que les roches continuaient de pleuvoir et que l'air était imprégné de mon propre parfum "Kaenko," j'ai réalisé qu'il était temps de changer de tactique. Deidara, bien qu'affaibli par les effets de mon parfum, demeurait un adversaire redoutable, et je devais agir rapidement pour reprendre l'avantage.
Je me suis donc redressé, malgré la douleur qui brûlait dans mes poumons, et j'ai jeté un regard déterminé à Deidara à travers la fumée et les éclats de pierre. Ma voix, bien que légèrement enrouée par les effets de mon propre parfum, a résonné dans la grotte.
« Deidara, tu es vraiment un artiste exceptionnel. Mais il est temps de mettre fin à ce petit numéro, ne penses-tu pas ? Regarde bien, Deidara. L'art peut prendre de nombreuses formes, même dans une situation aussi chaotique que celle-ci. »
En effet, je venais de lui faire comprendre que je connaissais son nom. Maintenant, que je pouvais voir son visage, je savais qui il était… Il n’était pas « Dara ». C’était un criminel.
J'ai esquivé habilement les roches en utilisant ma vitesse accrue, glissant entre les failles et les interstices. Chacun de mes mouvements était calculé, une danse artistique à travers le danger. Le parfum de corrosion que j'avais également préparé était maintenant actif, et il commença à s'attaquer aux rochers qui m'entouraient. Les pierres se désintégraient lentement, révélant un chemin sûr à travers la tempête chaotique.
« Tu as créé un véritable festival d'explosions, Deidara. Mais as-tu déjà vu une danse comme la mienne ? »
Un sourire… Puis, j’ai décidé de disparaître, de fuir à cause des blessures et des effets secondaires de mon parfum « Kasokuko ». Dans un élan désespéré, je me suis propulsé à travers la grotte, ma vitesse exacerbée par les effets du parfum d'accélération. La douleur brûlante dans ma poitrine se mêlait à la sensation de suffocation, chaque inspiration se transformant en un supplice. Chaque pas que je faisais était une lutte, mais la pensée de ma fuite imminente m'insufflait une énergie nouvelle.
Les parois de la grotte semblaient se refermer sur moi, des échos lointains de l'explosion de Deidara résonnaient dans mes oreilles. Je pouvais sentir les vibrations sous mes pieds, signe que la grotte était en train de s'effondrer lentement autour de moi. Mon souffle haletant se mêlait aux grondements de la terre, créant une symphonie macabre de destruction. Soudain, j'ai vu une lueur à travers l'obscurité de la grotte en train de s'effondrer. C'était la sortie, un mince filet de lumière qui représentait ma seule chance de survie. J'ai redoublé d'efforts, ignorant la douleur qui se propageait dans tout mon corps, et me suis précipité vers cette lueur d'espoir.
Finalement, j'ai émergé de la grotte en ruine, titubant sur le sol rocailleux à l'extérieur. L'air frais a brûlé mes poumons alors que je reprenais ma respiration, mes mains tremblantes pressant ma poitrine meurtrie. Le soulagement de l'air libre était de courte durée, car la réalité de mes blessures me rattrapait rapidement. Je me suis traîné aussi loin que possible de l'entrée de la grotte, cherchant désespérément un abri. À l'ombre d'un mur en ruine, je me suis effondré, crachant du sang tandis que mes blessures me faisaient atrocement mal. Ma main tremblante a fouillé ma poche à la recherche de l'antidote que j'avais préparé à l'avance. J'ai réussi à le trouver, mes doigts tachés de sang tenant le petit flacon.
Avec une force que je ne pensais pas avoir, j'ai ouvert le flacon et avalé l'antidote, espérant que ses effets agiraient rapidement. Les secondes semblaient s'étirer en une éternité, mais enfin, une lueur de soulagement a traversé la douleur qui me ravageait. Les effets du parfum d'accélération se sont dissipés lentement, ramenant ma vitesse à sa normale. Cependant, l'antidote n'était pas une panacée. Mes blessures restaient, et la douleur persistante était un rappel constant de l'assaut que j'avais subi.
Je me suis allongé sur le sol, mes yeux se tournant vers le ciel azur au-dessus de moi. Un sourire ironique a dansé sur mes lèvres, mêlé à un rire faible et fatigué. La folie de cette journée m'a submergé. Les événements chaotiques, l'affrontement avec Deidara, ma fuite désespérée – tout cela semblait presque surréaliste. Je savais que je ne pouvais plus avertir les clients des colliers d'argile du danger qui les guettait. Mon épuisement physique et mental m'a finalement rattrapé, et je me suis laissé emporter par l'épuisement. Mon esprit s'est embrouillé, mon rire s'est éteint, et j'ai sombré dans l'inconscience.
C'est ainsi que j'ai été emporté par l'ombre, mon corps fragile reposant parmi les décombres. Mon aventure, aussi rocambolesque qu'elle ait été, avait atteint son point culminant. Et tandis que le soleil se couchait, le village était plongé dans l'ignorance, ignorant la menace qui pesait sur eux.
Re: Infiltration à Suna - Deidara - Haruki - 24.10.23 10:21
Deidara était étalé au sol, désorienté par l'explosion soudaine provoquée par les bombes d'argile qu’étaient les siennes, mais aussi à cause de ce maudit parfum qu’elle lui avait jeté en pleine face. Les vibrations du sol et le vacarme de l'explosion résonnaient dans ses oreilles, et il lutta pour reprendre son souffle. Sa vision était encore trouble en raison des effets du parfum "Kaenko" de son adversaire. La douleur dans sa poitrine était persistante, mais malgré tout, son esprit artistique demeurait inébranlable. Il savait qu'il ne pouvait pas se permettre de rester à terre.
Se relevant péniblement, il tourna son regard dans la direction où Haruki avait disparu. Il pouvait sentir qu'elle avait utilisé son parfum "Kasokuko" pour accélérer, mais il était incertain de la direction qu'elle avait prise. La grotte, toujours remplie de fumée et de chaos, offrait une multitude de cachettes potentielles. Deidara était confronté à un dilemme. Il devait récupérer rapidement s'il voulait avoir une chance de retrouver Haruki. Cependant, il était également conscient des roches qui tombaient sporadiquement dans la grotte. La menace des projectiles improvisés restait une préoccupation constante. Il pouvait sentir la tension dans l'air, les vibrations dans le sol, annonciatrices de nouvelles chutes de pierres.
Un sourire ironique se dessina sur le visage de Deidara alors qu'il réfléchissait à sa situation. Il avait sous-estimé Haruki, et il payait le prix de son arrogance. Mais cela ne signifiait pas que l'artiste de l'explosion allait abandonner. Au contraire, il se préparait à déployer sa créativité de manière encore plus spectaculaire. Il commença par déployer son chakra, une aura caractéristique émanant de son corps. Ses yeux scrutaient la fumée et la poussière qui remplissaient la grotte, cherchant tout signe de la jeune artiste. Il entendit un faible bruissement, presque inaudible, provenant d'une alcôve rocheuse à sa droite. Ses yeux se posèrent sur une ombre furtive, une silhouette qui se mouvait à la vitesse de l'éclair. Haruki était revenue à la charge, profitant de la confusion pour le surprendre.
La situation de Deidara devenait de plus en plus tendue, mais son expérience en tant que membre de l'Akatsuki lui avait appris à faire face à l'adversité. En un éclair, il créa une petite bombe d'argile dans chaque main. Les explosifs étaient prêts à être utilisés à tout moment. Il attendit patiemment que Haruki se rapproche, déterminé à ne pas se laisser surprendre une deuxième fois. La jeune artiste apparut soudainement, passant à proximité de Deidara. Il n'avait qu'une fraction de seconde pour agir. D'un geste rapide, il lança les deux petites bombes en direction de Haruki. Les explosifs fusèrent vers elle, créant une pluie d'étincelles scintillantes. La grotte résonna du bruit des détonations, et la fumée s'épaissit davantage.
Haruki réagit avec une incroyable agilité. Elle se déplaça de côté, esquivant les explosifs avec une aisance déconcertante. Cependant, Deidara avait anticipé sa réaction. Les petites bombes d'argile étaient conçues pour exploser en une série d'explosions secondaires, projetant des éclats mortels dans toutes les directions. Haruki, malgré sa rapidité, ne put éviter complètement l'onde de choc résultante.
L'explosion devenait un ballet de feu et de fumée, et les roches environnantes tremblèrent sous la puissance de l'artiste de l'explosion. Deidara avait réussi à prendre l'initiative, forçant Haruki à se replier momentanément. Il se rapprocha rapidement de sa cible tout en créant une bombe d'argile plus massive dans sa main. Soudain, une pensée lui traversa l'esprit. Pourquoi se battait-il si férocement contre cette artiste ? Elle n'était pas son véritable adversaire, et il avait d'autres objectifs plus importants à accomplir au sein de l'Akatsuki. Bien sûr, il ne tolérait pas d'être sous-estimé, mais il comprenait qu'il ne pouvait pas se permettre de perdre de vue l'objectif principal de sa mission. En effet, il se devait de revenir auprès de son partenaire afin de mettre les choses au clair afin de mettre en avant son action d’enlever le Kazekage et puis, son état.. S’il ne prenait pas d’antidote… Il avait peur des risques..
Il revit Haruki et écouta ce qu’elle avait à dire.. Quand il la vit détruire des rochers en utilisant un flacon.. Il ne put que sourire… Ils se retrouveraient et cette fois, il lui ferait payer cet affront.
« C’était une belle danse.. Keuf.. Keuf.. Mais, ne crois-pas que je te laisse vivante… J’ai juste des choses beaucoup plus importantes et je ne peux pas mourir ici. »
Prenant une décision rapide, Deidara se retira brusquement. Il se glissa dans l'obscurité de la grotte, cherchant à échapper à Haruki. Ses yeux se posèrent sur une crevasse dans le mur de la grotte, une ouverture qui semblait mener plus profondément sous terre. C'était un endroit parfait pour se cacher et évaluer la situation. Alors qu'il s'éloignait, Deidara déclencha l'explosion de la bombe massive qu'il tenait dans sa main. L'explosion secoua la grotte, provoquant un éboulement mineur qui bloqua partiellement l'entrée de la crevasse. Il savait que cela ne retiendrait pas Haruki longtemps, mais c'était suffisant pour lui donner un bref répit.
Une fois à l'intérieur de la crevasse, Deidara se déplaça furtivement dans les profondeurs de la grotte. Il allait devoir attendre le moment propice pour réapparaître et poursuivre sa mission. Son esprit bouillonnait de créativité alors qu'il envisageait les différentes tactiques qu'il pourrait utiliser contre Haruki. Il était déterminé à préserver son secret artistique et à remplir son rôle au sein de l'Akatsuki, quelles que soient les embûches qui se dressaient sur son chemin.
Tandis qu'il avançait plus profondément dans la crevasse, il se demanda si cette confrontation avec Haruki allait être le début d'une rivalité artistique durable. Elle avait montré une créativité et une agilité remarquables, et Deidara ne pouvait s'empêcher de reconnaître son talent. Peut-être que, dans un avenir proche, ils se retrouveraient à nouveau face à face, prêts à se défier artistiquement pour déterminer qui était le véritable maître des explosions.
En attendant, il devait se concentrer sur ses objectifs immédiats au sein de l'Akatsuki. Les enjeux étaient élevés, et il était prêt à tout pour les atteindre. La bataille contre Haruki était peut-être terminée pour l'instant, mais Deidara savait qu'elle ne serait que le premier acte d'une histoire artistique qui restait à écrire.
Deidara, qui était en dehors de la grotte, commençait à ressentir les effets néfastes du combat. Les blessures mineures infligées par les explosions et les chutes de pierres, n'étaient rien en comparaison des ravages causés par le parfum pyrogène de Haruki. Alors qu'il s'éloignait rapidement de la grotte à bord de son oiseau d'argile, la douleur s'intensifiait.
Le parfum pyrogène brûlait l'intérieur de son corps, provoquant une sensation de chaleur insupportable et des douleurs lancinantes. Ses poumons semblaient en feu, chaque inspiration se transformant en une épreuve. Deidara savait qu'il ne pouvait pas attendre plus longtemps. Les dégâts causés par le poison de Haruki étaient trop graves, et ils se propageaient rapidement.
Il fixa son regard sur l'horizon, où il pouvait voir les nuages se profiler à l'horizon. Là-bas, à des kilomètres de là, se trouvait Sasori, son compagnon au sein de l'Akatsuki. Il devait atteindre Sasori au plus vite pour obtenir de l'aide. Mourir de cette façon, était une perspective terrifiante, surtout pour un artiste de l'explosion comme Deidara.
Se relevant péniblement, il tourna son regard dans la direction où Haruki avait disparu. Il pouvait sentir qu'elle avait utilisé son parfum "Kasokuko" pour accélérer, mais il était incertain de la direction qu'elle avait prise. La grotte, toujours remplie de fumée et de chaos, offrait une multitude de cachettes potentielles. Deidara était confronté à un dilemme. Il devait récupérer rapidement s'il voulait avoir une chance de retrouver Haruki. Cependant, il était également conscient des roches qui tombaient sporadiquement dans la grotte. La menace des projectiles improvisés restait une préoccupation constante. Il pouvait sentir la tension dans l'air, les vibrations dans le sol, annonciatrices de nouvelles chutes de pierres.
Un sourire ironique se dessina sur le visage de Deidara alors qu'il réfléchissait à sa situation. Il avait sous-estimé Haruki, et il payait le prix de son arrogance. Mais cela ne signifiait pas que l'artiste de l'explosion allait abandonner. Au contraire, il se préparait à déployer sa créativité de manière encore plus spectaculaire. Il commença par déployer son chakra, une aura caractéristique émanant de son corps. Ses yeux scrutaient la fumée et la poussière qui remplissaient la grotte, cherchant tout signe de la jeune artiste. Il entendit un faible bruissement, presque inaudible, provenant d'une alcôve rocheuse à sa droite. Ses yeux se posèrent sur une ombre furtive, une silhouette qui se mouvait à la vitesse de l'éclair. Haruki était revenue à la charge, profitant de la confusion pour le surprendre.
La situation de Deidara devenait de plus en plus tendue, mais son expérience en tant que membre de l'Akatsuki lui avait appris à faire face à l'adversité. En un éclair, il créa une petite bombe d'argile dans chaque main. Les explosifs étaient prêts à être utilisés à tout moment. Il attendit patiemment que Haruki se rapproche, déterminé à ne pas se laisser surprendre une deuxième fois. La jeune artiste apparut soudainement, passant à proximité de Deidara. Il n'avait qu'une fraction de seconde pour agir. D'un geste rapide, il lança les deux petites bombes en direction de Haruki. Les explosifs fusèrent vers elle, créant une pluie d'étincelles scintillantes. La grotte résonna du bruit des détonations, et la fumée s'épaissit davantage.
Haruki réagit avec une incroyable agilité. Elle se déplaça de côté, esquivant les explosifs avec une aisance déconcertante. Cependant, Deidara avait anticipé sa réaction. Les petites bombes d'argile étaient conçues pour exploser en une série d'explosions secondaires, projetant des éclats mortels dans toutes les directions. Haruki, malgré sa rapidité, ne put éviter complètement l'onde de choc résultante.
L'explosion devenait un ballet de feu et de fumée, et les roches environnantes tremblèrent sous la puissance de l'artiste de l'explosion. Deidara avait réussi à prendre l'initiative, forçant Haruki à se replier momentanément. Il se rapprocha rapidement de sa cible tout en créant une bombe d'argile plus massive dans sa main. Soudain, une pensée lui traversa l'esprit. Pourquoi se battait-il si férocement contre cette artiste ? Elle n'était pas son véritable adversaire, et il avait d'autres objectifs plus importants à accomplir au sein de l'Akatsuki. Bien sûr, il ne tolérait pas d'être sous-estimé, mais il comprenait qu'il ne pouvait pas se permettre de perdre de vue l'objectif principal de sa mission. En effet, il se devait de revenir auprès de son partenaire afin de mettre les choses au clair afin de mettre en avant son action d’enlever le Kazekage et puis, son état.. S’il ne prenait pas d’antidote… Il avait peur des risques..
Il revit Haruki et écouta ce qu’elle avait à dire.. Quand il la vit détruire des rochers en utilisant un flacon.. Il ne put que sourire… Ils se retrouveraient et cette fois, il lui ferait payer cet affront.
« C’était une belle danse.. Keuf.. Keuf.. Mais, ne crois-pas que je te laisse vivante… J’ai juste des choses beaucoup plus importantes et je ne peux pas mourir ici. »
Prenant une décision rapide, Deidara se retira brusquement. Il se glissa dans l'obscurité de la grotte, cherchant à échapper à Haruki. Ses yeux se posèrent sur une crevasse dans le mur de la grotte, une ouverture qui semblait mener plus profondément sous terre. C'était un endroit parfait pour se cacher et évaluer la situation. Alors qu'il s'éloignait, Deidara déclencha l'explosion de la bombe massive qu'il tenait dans sa main. L'explosion secoua la grotte, provoquant un éboulement mineur qui bloqua partiellement l'entrée de la crevasse. Il savait que cela ne retiendrait pas Haruki longtemps, mais c'était suffisant pour lui donner un bref répit.
Une fois à l'intérieur de la crevasse, Deidara se déplaça furtivement dans les profondeurs de la grotte. Il allait devoir attendre le moment propice pour réapparaître et poursuivre sa mission. Son esprit bouillonnait de créativité alors qu'il envisageait les différentes tactiques qu'il pourrait utiliser contre Haruki. Il était déterminé à préserver son secret artistique et à remplir son rôle au sein de l'Akatsuki, quelles que soient les embûches qui se dressaient sur son chemin.
Tandis qu'il avançait plus profondément dans la crevasse, il se demanda si cette confrontation avec Haruki allait être le début d'une rivalité artistique durable. Elle avait montré une créativité et une agilité remarquables, et Deidara ne pouvait s'empêcher de reconnaître son talent. Peut-être que, dans un avenir proche, ils se retrouveraient à nouveau face à face, prêts à se défier artistiquement pour déterminer qui était le véritable maître des explosions.
En attendant, il devait se concentrer sur ses objectifs immédiats au sein de l'Akatsuki. Les enjeux étaient élevés, et il était prêt à tout pour les atteindre. La bataille contre Haruki était peut-être terminée pour l'instant, mais Deidara savait qu'elle ne serait que le premier acte d'une histoire artistique qui restait à écrire.
Deidara, qui était en dehors de la grotte, commençait à ressentir les effets néfastes du combat. Les blessures mineures infligées par les explosions et les chutes de pierres, n'étaient rien en comparaison des ravages causés par le parfum pyrogène de Haruki. Alors qu'il s'éloignait rapidement de la grotte à bord de son oiseau d'argile, la douleur s'intensifiait.
Le parfum pyrogène brûlait l'intérieur de son corps, provoquant une sensation de chaleur insupportable et des douleurs lancinantes. Ses poumons semblaient en feu, chaque inspiration se transformant en une épreuve. Deidara savait qu'il ne pouvait pas attendre plus longtemps. Les dégâts causés par le poison de Haruki étaient trop graves, et ils se propageaient rapidement.
Il fixa son regard sur l'horizon, où il pouvait voir les nuages se profiler à l'horizon. Là-bas, à des kilomètres de là, se trouvait Sasori, son compagnon au sein de l'Akatsuki. Il devait atteindre Sasori au plus vite pour obtenir de l'aide. Mourir de cette façon, était une perspective terrifiante, surtout pour un artiste de l'explosion comme Deidara.